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L'oiseau qui avait le vertige
Collection : Suspense
Date de parution : 10/02/2022
Éditeurs :
L'Archipel

L'oiseau qui avait le vertige

Collection : Suspense
Date de parution : 10/02/2022
Un îlot en pleine mer, à moins d’un mille de la pointe du Grouin. Sur cet éperon rocheux, l’Hôtel des Flots, thalasso et spa pour clients haut de gamme.
Emir Karlovic,...
Un îlot en pleine mer, à moins d’un mille de la pointe du Grouin. Sur cet éperon rocheux, l’Hôtel des Flots, thalasso et spa pour clients haut de gamme.
Emir Karlovic, ancien des services spéciaux, y pose son sac pour un séjour d’une semaine. Dans ce sac, un arsenal : un...
Un îlot en pleine mer, à moins d’un mille de la pointe du Grouin. Sur cet éperon rocheux, l’Hôtel des Flots, thalasso et spa pour clients haut de gamme.
Emir Karlovic, ancien des services spéciaux, y pose son sac pour un séjour d’une semaine. Dans ce sac, un arsenal : un .44 magnum et un colt Cobra. Lors de son premier repas avec les pensionnaires, une employée de la résidence disparaît : la rousse et sulfureuse Jessica.
Parmi les suspects : Mme Desmoulins, l’accorte propriétaire des lieux. Le vindicatif docteur Billaud et sa femme, adepte du pouvoir magique des pierres. Francis et Alexis, un couple d’antiquaires adonnés à la culture physique. L’ex-ministre Barras qui lorgne sur Mehdi, le garçon de bain. Auguste Carrier, l’écrivain bien-pensant. Marcus, ex-maquereau marseillais. César et Monique Vadier, alias Moby Dick. Yann, le cuisinier siffloteur. Et puis Narcisse Blanc, discret employé d’agence immobilière… qui disparaît à son tour.
À l’adjudante Chanal et au commandant Robès de s’amuser avec les figurines de ce Cluedo, confinés sur leur rocher par une soudaine pandémie. Tout finira par un banquet bien arrosé…
Portraits aux petits oignons et meurtres patiemment mitonnés : le premier suspense de François Cérésa subvertit le genre avec délices.
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EAN : 9782809842944
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809842944
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MilleetunepagesLM 20/05/2022
    Le commentaire de Cathy : Emir Karlovic, tueur à gages, pose ses bagages à l'hôtel des Flots situé sur un îlot en pleine mer. Dans cet établissement, réservé à une riche clientèle, il a une mission à accomplir, mais ses plans vont devoir être changé suite à la découverte du corps d'une jeune femme et l'arrivée de la police qui a investi les lieux. J'ai été attiré par le résumé de ce roman, dès les premières pages, l'auteur nous propose une scène qui laissait supposer que cette histoire allait me plaire, il s'avère que cela n'a pas été le cas. François Cérésa nous présente un panel de personnages trop caricaturaux à mon goût, impossible de s'attacher ni de s'identifier à eux. L'écriture est agréable, mais il y a un manque de rythme flagrant. Je viens de passer un moment de lecture déroutant, je n'ai pas adhéré aux différentes personnalités et surtout à leurs idées. Ce roman trouvera son public, j'en suis sûre, je n'étais sans doute pas la cible.
  • Matatoune 25/04/2022
    Journaliste et écrivain, François Cérésa parachute ses lecteurs avec L’oiseau qui avait le vertige au cœur d’une enquête sur un huit clos avec meurtres, sensualité, histoire et belles lettres ! Émir Karkovic, tueur de son métier, fréquente les thermes de l’hôtel des flots implanté sur un îlot, au large de Cancale, près de la Pointe du Groin. Son nom nous dit bien quelque chose, peut-être, le joueur de tennis… Oui mais quand-même Émir ! En fait, c’est un serbe originaire de Bosnie! On comprend tout ! Normalement, il ne faisait que passer ! Seulement, un corps violenté est découvert au bas de la falaise. C’est une servante de l’hôtel, dont Émir n’a pas pu apprécié ni les formes, ni les bienfaits, trop tard débarqué. L’enquête est confiée à la gendarmerie de Cancale et notamment à l’Adjudant Géraldine Chanal, extrêmement attirante, et Sibeth (ça rappelle quelque chose) Baba, maréchal des logis qui « n’a pas inventé le fil à couper le beurre ». Le commandant Robès va les rejoindre depuis que les constatations ont conclu à un homicide. Et en plus, le premier confinement s’annonce ! Dans L’oiseau qui avait le vertige, François Cérésa mélange « les Jayne Manfield » de la proprio avec les citations littéraires sur fond d’agueusie, maintenant, qu’on connaît bien. L’écrivain s’inspire de la grande prêtresse du polar, Miss Agatha Christie, en bâtissant un huit clos des temps modernes avec une houle déchaînée qui frappe l’éperon rocheux. Ici, les docteurs ne sont pas médecins. Les écrivains n’écrivent rien. Un souverainiste est bien d’extrême droite. François Cérésa s’en amuse. Il pimente aussi son roman policier certainement à cause de la chaleur des eaux, de corps dénudés et de sensualité débordante. Mais, il n’oublie pas de petits clins d’œil vers la Révolution Française avec son sanguinaire Robespierre. Certes, tout est un peu trop marqué, trop manichéen, mais François Cérésa s’est certainement beaucoup amusé à caricaturer dans l’outrance, la démesure (la scène finale) et même l’improbable. Son intrigue dénonce notre société contemporaine. Malgré quelques longueurs, L’oiseau qui avait le vertige se découvre en revisitant un classique pour disséquer notre modernité.Journaliste et écrivain, François Cérésa parachute ses lecteurs avec L’oiseau qui avait le vertige au cœur d’une enquête sur un huit clos avec meurtres, sensualité, histoire et belles lettres ! Émir Karkovic, tueur de son métier, fréquente les thermes de l’hôtel des flots implanté sur un îlot, au large de Cancale, près de la Pointe du Groin. Son nom nous dit bien quelque chose, peut-être, le joueur de tennis… Oui mais quand-même Émir ! En fait, c’est un serbe originaire de Bosnie! On comprend tout ! Normalement, il ne faisait que passer ! Seulement, un corps violenté est découvert au bas de la falaise. C’est une servante de l’hôtel, dont Émir n’a pas pu apprécié ni les formes, ni les bienfaits, trop tard débarqué. L’enquête est confiée à la gendarmerie de Cancale et notamment à l’Adjudant Géraldine Chanal, extrêmement attirante, et Sibeth (ça rappelle quelque chose) Baba, maréchal des logis qui « n’a pas inventé le fil à couper le beurre ». Le commandant Robès va les rejoindre depuis que les constatations ont conclu à un homicide. Et en plus, le premier confinement s’annonce ! Dans L’oiseau qui avait le vertige, François Cérésa mélange « les Jayne Manfield » de la...
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  • Mousquetaire11 09/02/2022
    Un oiseau qui a le vertige, ça n'annonce rien de bon. Est-ce que celui-ci ne serait-il pas de mauvais augure? Est-ce que l'Hôtel des Flots, centre de thalasso situé en pleine mer ne risque t-il pas d'être maudit si le volatile se pose sur le toit? Alors qu'Emir Karlovic, tueur à gage missionné arrive sur l'îlot, ce dernier va se retrouver confronté à une situation inédite : un cadavre va être repêché alors même qu'il ne s'est pas servi de son 44 magnum ou de son colt Cobra. Commence alors une course contre la montre avec des enquêteurs de la côte pour éviter que de nouveaux résidents ne subissent le même sort. Emir Karlovic, ancien membre des services spéciaux va donc mener son investigation auprès de pensionnaires aussi atypiques qu'antipathiques. François Cérésa nous propose ici un huit-clos qui dépoussière et remet au goût du jour un célèbre roman policier d'Agatha Christie. Dans cette version contemporaine l'intrigue est intéressante mais les personnages sont tellement caricaturaux qu'il est malheureusement difficile de s'attacher à eux. En refermant cet ouvrage, je me suis fait la réflexion que si l'on me propose un séjour sur une île, j'y réfléchirais à deux fois avant d'accepter... Je tiens à remercier Netgalley, les Editions l'Archipel et François Cérésa pour la découverte de cet ouvrage.Un oiseau qui a le vertige, ça n'annonce rien de bon. Est-ce que celui-ci ne serait-il pas de mauvais augure? Est-ce que l'Hôtel des Flots, centre de thalasso situé en pleine mer ne risque t-il pas d'être maudit si le volatile se pose sur le toit? Alors qu'Emir Karlovic, tueur à gage missionné arrive sur l'îlot, ce dernier va se retrouver confronté à une situation inédite : un cadavre va être repêché alors même qu'il ne s'est pas servi de son 44 magnum ou de son colt Cobra. Commence alors une course contre la montre avec des enquêteurs de la côte pour éviter que de nouveaux résidents ne subissent le même sort. Emir Karlovic, ancien membre des services spéciaux va donc mener son investigation auprès de pensionnaires aussi atypiques qu'antipathiques. François Cérésa nous propose ici un huit-clos qui dépoussière et remet au goût du jour un célèbre roman policier d'Agatha Christie. Dans cette version contemporaine l'intrigue est intéressante mais les personnages sont tellement caricaturaux qu'il est malheureusement difficile de s'attacher à eux. En refermant cet ouvrage, je me suis fait la réflexion que si l'on me propose un séjour sur une île, j'y réfléchirais à deux fois avant d'accepter... Je tiens à remercier...
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  • Sharon 07/02/2022
    J’ai été attirée par la couverture, très belle, et par le résumé. Je m’attendais sans doute à …. un huis-clos, à une histoire dont l’île serait le coeur, le centre du problème, et j’avais même quelques titres de romans policiers sur la même thématique en tête. Je me suis trompée, ce sont des choses qui arrivent. Cependant, dès la scène d’ouverture, j’ai eu du mal, et je me suis dit : « encore un roman policier qui fait des femmes, encore et toujours, les victimes des hommes ». Raccourci, peut-être, parce qu’au moment de la lecture, je ne me suis même pas dit que le coupable pourrait être une femme, justement. Il est cependant un personnage que j’ai apprécié d’entrée de jeu, Marcel, le chat, que nous retrouverons, de temps en temps, se livrant à des activités de, eh bien de chat, c’est à dire ne faisant pas grand chose, mais n’étant pas coupable non plus : c’est un chat. Pour la suite, j’ai trouvé que les personnages étaient vraiment très nombreux, et j’avais vraiment du mal à m’y retrouver, entre ce qu’ils paraissaient être, ce qu’ils avaient été, et ce qu’ils étaient amenés à devenir, au cours de cette escapade à l’hôtel, hôtel de grand luxe, hôtel détox dans lequel les pensionnaires sont amenés à se couper de leur téléphone portable. Après… (oui, j’abuse des points de suspensions)… je me suis demandée ce qu’ils étaient tous venus faire dans cette galère, ce qu’ils espéraient trouver. Je me suis demandé aussi comment certains couples avaient pu rester ensemble – personnages de romans, oui, mais personnages qui se doivent d’avoir un passé commun. La sexualité est le seul lien qui se crée entre les personnages, pour ne pas dire des « coups tirés vite fait, à peu près bien faits ». Même le Covid s’invite, au beau milieu de ses hôtes qui portent presque tous des noms en lien avec la révolution française. Poussé jusqu’à l’absurde, cela aurait pu être drôle (j’ai aussi un titre en tête). Là, non. Bref, c’est avec une impression d’étrangeté que j’ai terminé ce livre, comme si je ne savais toujours pas où il avait voulu m’emmener.J’ai été attirée par la couverture, très belle, et par le résumé. Je m’attendais sans doute à …. un huis-clos, à une histoire dont l’île serait le coeur, le centre du problème, et j’avais même quelques titres de romans policiers sur la même thématique en tête. Je me suis trompée, ce sont des choses qui arrivent. Cependant, dès la scène d’ouverture, j’ai eu du mal, et je me suis dit : « encore un roman policier qui fait des femmes, encore et toujours, les victimes des hommes ». Raccourci, peut-être, parce qu’au moment de la lecture, je ne me suis même pas dit que le coupable pourrait être une femme, justement. Il est cependant un personnage que j’ai apprécié d’entrée de jeu, Marcel, le chat, que nous retrouverons, de temps en temps, se livrant à des activités de, eh bien de chat, c’est à dire ne faisant pas grand chose, mais n’étant pas coupable non plus : c’est un chat. Pour la suite, j’ai trouvé que les personnages étaient vraiment très nombreux, et j’avais vraiment du mal à m’y retrouver, entre ce qu’ils paraissaient être, ce qu’ils avaient été, et ce qu’ils étaient amenés à devenir, au cours de cette escapade à...
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  • lysiane31770 31/01/2022
    Coucou les amis bonjour me voici avec un nouveau livre: L'oiseau qui avait le vertige de François Cérésa des éditions de l'Archipel . Je remercie NetGalley ainsi que les éditions de l'Archipel de m'avoir permis de lire ce thriller qui ma plu, l'auteur a su bien répartir chaque chapitre , une belle écriture fluide , facile a lire avec beaucoup de rythmes et de suspens jusqu'au bout de cette histoire L'histoire se situe sur un ilot en pleine mer , au moins un mille de la pointe du Gouin, dans un hôtel des flots , il y a thalasso , et spa pour les gens de haut de gammes . Cela va se passer en huit clos . Emir Karlovic ancien des service spéciaux vient passer une semaine de repos dans le calme et bonne air de la mer , il a dans son sac a voyage vous l'aurez compris des armes comme un 44 magnum et un colt cobra que vient il faire ici ? Puis prend son repas avec les autres pensionnaires de cette hôtel , une employée de cette hôtel disparait c'est la belle rousse Jessica depuis au moins deux jours . Tout le monde se pose la question que lui est il arriver , puis une autre personne disparait a son tour , un certain Narcisse Blanc qui était un employer d'agence immobilière discret . Puis le propriétaire appel la police qui arrive sur ces entre fait , l'adjudante Chanal et le commandant Roles qui va s'amuser a faire peur a tos ses gens qui sont la pour se reposer et passer du bon temps , il interroge les gens pour savoir ou était les personnes au moment ou les personnes ont disparus . Cela ne va pas être facile , car ils vont s'apercevoir qu'ils sont seul sur cette ile , il va falloir faire avec . Puis en plus c'est le début de la pandémie le confinement , une cliente va être atteinte , puis l'adjudante Chanal qui vont être dans des chambres éloignées ,heureusement il y a un médecin , le docteur Billard qui va les soigner . Le directeur de cette hôtel va faire une exception a la règle de cette hôtel de manger normalement sans le régime . Puis notre commandant continue ses auditions et recherches ou il apprend des choses importantes . L'adjudante guéri et s'aperçois que son commandant n'est pas dans assiette et va demander a Emir Karlovic qu'esse qui se passe depuis le début et vont ils trouver le coupable ? Vraiment j'ai aimer ce thriller avec pleins de suspens jusqu'au bout et j'ai apprécier la fin de ce thriller . Je vous le recommande vivement vous passerez un bon petit moment de lecture . Ma note : 5/5Coucou les amis bonjour me voici avec un nouveau livre: L'oiseau qui avait le vertige de François Cérésa des éditions de l'Archipel . Je remercie NetGalley ainsi que les éditions de l'Archipel de m'avoir permis de lire ce thriller qui ma plu, l'auteur a su bien répartir chaque chapitre , une belle écriture fluide , facile a lire avec beaucoup de rythmes et de suspens jusqu'au bout de cette histoire L'histoire se situe sur un ilot en pleine mer , au moins un mille de la pointe du Gouin, dans un hôtel des flots , il y a thalasso , et spa pour les gens de haut de gammes . Cela va se passer en huit clos . Emir Karlovic ancien des service spéciaux vient passer une semaine de repos dans le calme et bonne air de la mer , il a dans son sac a voyage vous l'aurez compris des armes comme un 44 magnum et un colt cobra que vient il faire ici ? Puis prend son repas avec les autres pensionnaires de cette hôtel , une employée de cette hôtel disparait c'est la belle rousse Jessica depuis au moins deux jours . Tout le monde se pose la question que lui...
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