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Maigret se trompe
Maigret
Date de parution : 22/11/2012
Éditeurs :
Omnibus

Maigret se trompe

Maigret

Date de parution : 22/11/2012
Femme jalouse
Un matin pluvieux de novembre, Louise Filon est trouvée assassinée dans son appartement cossu de l'avenue Carnot. Où donc cette ancienne prostituée, connue dans le milieu du quartier de la... Un matin pluvieux de novembre, Louise Filon est trouvée assassinée dans son appartement cossu de l'avenue Carnot. Où donc cette ancienne prostituée, connue dans le milieu du quartier de la Chapelle sous le nom de Lulu, trouvait-elle les ressources nécessaires pour vivre depuis deux ans dans un immeuble occupé par... Un matin pluvieux de novembre, Louise Filon est trouvée assassinée dans son appartement cossu de l'avenue Carnot. Où donc cette ancienne prostituée, connue dans le milieu du quartier de la Chapelle sous le nom de Lulu, trouvait-elle les ressources nécessaires pour vivre depuis deux ans dans un immeuble occupé par la haute bourgeoisie ? Son amant de cœur, le musicien de bal musette Pierre Eyraud, dit Pierrot, semble bien incapable de lui assurer cette existence…
Adapté pour la télévision en 1981, dans une réalisation de Stéphane Bertin, avec Jean Richard (Commissaire Maigret), Georges Marchal (Professeur Gouin), Macha MérIl (Lucie Decaux) et en 1994, par Joyce Buñuel, avec Bruno Cremer (Commissaire Maigret), Danièle Lebrun (Mme Gouin), Bernadette Lafont (Désirée Brault), Brigitte Catillon (Antoinette Lollivier).

Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très “noirs” Romans durs
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EAN : 9782258097414
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258097414
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Pierreyvesjaquet 06/08/2023
    Un très bon Maigret. Comme d'habitude il y a beaucoup de psychologie et de description de personnages avec des caractères très différents. Maigret tourne autour d'un suspect ce qui force certaines personnes à dévoiler plus qu'elle ne le voudrait. A lire absolument...
  • lebelier 19/10/2021
    Par un matin de novembre brumeux, Maigret est averti du meurtre d'une jeune femme dans les beaux quartiers. Elle s'appelait Louise, était surnommée "Lulu", avait un musicien de musette pour amant de coeur et un chirurgien célèbre pour amant tout court. Celui-ci l'avait installée par commodité "à demeure", dans l'appartement juste sous le sien. L'homme en question passe pour un ponte à l'autorité naturelle et au charisme évident. Lorsque Maigret l'interroge, il se trouve face à un égal. Le commissaire baigne dans tous les milieux de ce Paris embrumé de novembre, depuis la guinguette à marlous jusqu'aux beaux quartiers. Dans les deux endroits, on ne cache pas ses amours mais cela grince un peu plus dans la famille du chirurgien car sa belle-soeur, bonne catholique et bibliothécaire acariâtre - cliché! car j'en connais de charmantes, ô combien! - n'approuve pas sa conduite et ses frasques. Maigret piétine un peu dans son enquête, recoupe les emplois du temps et hésite jusqu'au dernier moment pour interroger Gouin, le chirurgien, d'où le titre. On dirait qu'il s'ennuie, pris dans la torpeur de l'automne. On sent la routine. Il regarde Paris derrière les vitres embuées des bistrots et devant un marc de Bourgogne. Le style est du pur Simenon, l'ambiance est campée en une phrase courte et bien sertie. C'est le fameux understatement à la Hemingway : "On n'était qu'en novembre et pourtant la lampe était allumée. A la fenêtre Mme Maigret s'efforçait de distinguer, à travers le brouillard, les passants qui, les mains dans les poches, le dos courbé, se hâtaient vers leur travail." Excellent rendu de la banalité, de la grisaille et de l'ennui engendrés par les jours de novembre. Par un matin de novembre brumeux, Maigret est averti du meurtre d'une jeune femme dans les beaux quartiers. Elle s'appelait Louise, était surnommée "Lulu", avait un musicien de musette pour amant de coeur et un chirurgien célèbre pour amant tout court. Celui-ci l'avait installée par commodité "à demeure", dans l'appartement juste sous le sien. L'homme en question passe pour un ponte à l'autorité naturelle et au charisme évident. Lorsque Maigret l'interroge, il se trouve face à un égal. Le commissaire baigne dans tous les milieux de ce Paris embrumé de novembre, depuis la guinguette à marlous jusqu'aux beaux quartiers. Dans les deux endroits, on ne cache pas ses amours mais cela grince un peu plus dans la famille du chirurgien car sa belle-soeur, bonne catholique et bibliothécaire acariâtre - cliché! car j'en connais de charmantes, ô combien! - n'approuve pas sa conduite et ses frasques. Maigret piétine un peu dans son enquête, recoupe les emplois du temps et hésite jusqu'au dernier moment pour interroger Gouin, le chirurgien, d'où le titre. On dirait qu'il s'ennuie, pris dans la torpeur de l'automne. On sent la routine. Il regarde Paris derrière les vitres embuées des bistrots et devant un marc de Bourgogne. Le style est du...
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  • Lucas2 29/12/2020
    L'art de tourner autour du pot (et tourner… et tourner…). Louise Filon, dite "Lulu" est retrouvée morte dans son appartement, la moitié du crâne emporté. Après avoir vite écarté la thèse du suicide, on se rend compte qu'elle était entretenue, par le célèbre chirurgien Etienne Gouin... qui habite le même immeuble. Ainsi, sa femme, ses voisins, la concierge, tout le monde était au courant de ses infidélités. de quoi attiser quelques rancœurs... Á moins que son amant de cœur, Pierrot, ait aussi eu un rôle à jouer dans ce drame... Vous allez tout savoir sur le sieur Gouin. Tout, tout, tout, et encore plus. Mais finalement cette lecture s'avère bien pauvre en rebondissements. Deux évènements importants, pas plus de cinq suspects, un titre pompeux, et le tour est joué. Evidemment, vu le peu de protagonistes dans cette histoire, le peu d'indices aussi, le mobile est vite trouvé, le probable coupable aussi, peu de suspense. L'intérêt du roman ne repose donc que sur la prose de l'auteur et sur un épluchage de l'âme humaine. Un peu faiblard, cette fois-ci, Mr Simenon... Qui s'enferme là dans un stéréotype d'écrivain un peu lassant, mais qui lui sied, apparemment. Nous, on va vite passer au prochain titre de la collection, un Maigret à l'école bien plus intéressant... (plus d'avis sur PP)L'art de tourner autour du pot (et tourner… et tourner…). Louise Filon, dite "Lulu" est retrouvée morte dans son appartement, la moitié du crâne emporté. Après avoir vite écarté la thèse du suicide, on se rend compte qu'elle était entretenue, par le célèbre chirurgien Etienne Gouin... qui habite le même immeuble. Ainsi, sa femme, ses voisins, la concierge, tout le monde était au courant de ses infidélités. de quoi attiser quelques rancœurs... Á moins que son amant de cœur, Pierrot, ait aussi eu un rôle à jouer dans ce drame... Vous allez tout savoir sur le sieur Gouin. Tout, tout, tout, et encore plus. Mais finalement cette lecture s'avère bien pauvre en rebondissements. Deux évènements importants, pas plus de cinq suspects, un titre pompeux, et le tour est joué. Evidemment, vu le peu de protagonistes dans cette histoire, le peu d'indices aussi, le mobile est vite trouvé, le probable coupable aussi, peu de suspense. L'intérêt du roman ne repose donc que sur la prose de l'auteur et sur un épluchage de l'âme humaine. Un peu faiblard, cette fois-ci, Mr Simenon... Qui s'enferme là dans un stéréotype d'écrivain un peu lassant, mais qui lui sied, apparemment. Nous, on va vite passer...
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  • marc_tlse 09/05/2020
    Maigret trouve sur son chemin un chirurgien de haute renommée qui fait hésiter notre commissaire sur la façon de conduire son enquête. L'opposition entre ces deux personnages fait l'intérêt de ce roman.
  • Nadouch 16/01/2020
    Encore un excellent épisode de Maigret, à Paris, dans un drôle de milieu : une ancienne prostituée est assassinée dans un immeuble très bourgeois. Très vite, un lien avec un grand chirurgien, qui vit à l'étage du dessus, se fait jour... Voici de nouveau ce que j'aime chez Simenon, l'ambiance parisienne, Maigret qui bougonne et qui hésite un peu, encore lié à son milieu modeste d'origine, mais pourtant droit et incorruptible.
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