Mamma Maria

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• ColleenB69 11/04/2024

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  Je comprends pourquoi certain•es aiment tant les livres de l'autrice, ici le ton reste positif malgré des sujets compliqués (immigration), et le dépaysement est total : ce roman sent bon l'été et la Dolce vita italienne. On vit au rythme de ce petit village de la côte Almafitaine, où tout le monde se retrouve pour un bon café (ou un Almafito #x1f378) chez "Mamma Maria". Je préfère habituellement les romans qui prennent le temps d'installer et développer les personnages, mais ce court format se dévore très vite. Les chapitres alternent deux points de vue, et j'ai trouvé cette double narration intéressante. Oui c'est rempli de bons sentiments et la résolution de l'intrigue est un peu facile à mon goût (si seulement ça pouvait refléter la réalité), mais j'imagine que c'est justement ça qu'on recherche chez l'autrice : de jolies histoires qui font du bien. C'est un livre pour voyager et pour se réconforter avec le monde #x2600 (Et mes personnages préférés sont Franco, Rafaella, et Souma)
• liliesbookcorner 07/04/2024

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  Envie de dépaysement, de voyage coloré à coup d'espressos en terrasse au soleil, de cette atmosphère enjouée spécifique aux villages italiens tout en restant chez vous ? Ah ben ne cherchez pas plus loin! Serena Giuliano a le don de transporter ces lecteurs en Italie instantanément ! On ressent son amour pour son pays à chaque chapitre, et quel bonheur ! Dans ce roman, elle nous emmène dans un petit village situé sur la Côte Amalfitaine, auprès de Sofia, revenue au pays après une rupture. Elle se réfugie chaque jour au Mamma Maria, le café du village pour profiter de la "dolce vita". Tout semble aller pour le mieux, jusqu'à ce qu'un matin, Franco, un habitué du Mamma Maria, manque à l'appel. Et là... Je ne vous en dis pas plus, mis à part qu'une vague de bienveillance, de partage, d'amour et d'espoir va déferler sur ce village. Serena écrit avec douceur et humour sur des sujets sensibles tels que l'immigration, les différences, le deuil et nous offre ici une jolie leçon de vie. J'ai adoré ces moments passés en compagnie de Sofia, Maria, Franco... Les émotions se bousculent, jai ri, versé quelques larmes, voyagé avec leur petite bande. Je vous recommande vivement ce très joli romanEnvie de dépaysement, de voyage coloré à coup d'espressos en terrasse au soleil, de cette atmosphère enjouée spécifique aux villages italiens tout en restant chez vous ? Ah ben ne cherchez pas plus loin! Serena Giuliano a le don de transporter ces lecteurs en Italie instantanément ! On ressent son amour pour son pays à chaque chapitre, et quel bonheur ! Dans ce roman, elle nous emmène dans un petit village situé sur la Côte Amalfitaine, auprès de Sofia, revenue au pays après une rupture. Elle se réfugie chaque jour au Mamma Maria, le café du village pour profiter de la "dolce vita". Tout semble aller pour le mieux, jusqu'à ce qu'un matin, Franco, un habitué du Mamma Maria, manque à l'appel. Et là... Je ne vous en dis pas plus, mis à part qu'une vague de bienveillance, de partage, d'amour et d'espoir va déferler sur ce village. Serena écrit avec douceur et humour sur des sujets sensibles tels que l'immigration, les différences, le deuil et nous offre ici une jolie leçon de vie. J'ai adoré ces moments passés en compagnie de Sofia, Maria, Franco... Les émotions se bousculent, jai ri, versé quelques larmes, voyagé avec leur petite bande. Je...

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• Bagheera01 06/04/2024

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  "Mamma Maria" de Serena Giuliano est un roman qui m'a profondément touchée et captivée dès les premières pages. Ce fut un véritable coup de cœur littéraire pour moi, offrant une lecture fluide et immersive qui m'a transportée dans un monde plein de chaleur humaine et d'authenticité. L'un des aspects les plus remarquables de ce livre est la façon dont il nous plonge au cœur de la vie d'un village à travers le prisme d'un café. C'est une idée brillante et bien pensée de l'auteure, car le café devient le point de rencontre où les habitants se croisent, échangent des nouvelles, partagent des secrets et tissent des liens précieux. Ce cadre crée une atmosphère chaleureuse et familière qui invite le lecteur à faire partie intégrante de ce cadre. Les personnages de "Mamma Maria" sont authentiques et nuancés, chacun avec ses propres histoires, ses joies et ses peines. Serena Giuliano réussit brillamment à capturer la complexité des relations humaines et à rendre ses personnages vivants et mémorables. On ressent une véritable empathie pour eux, et même après avoir refermé le livre, ils continuent de résonner dans nos esprits. Le style d'écriture de Giuliano est à la fois fluide et captivant, ce qui rend la lecture de ce roman très agréable et addictive. Les pages se tournent rapidement, emportant le lecteur dans un tourbillon d'émotions et de découvertes. L'auteure sait doser habilement le suspense et les rebondissements, gardant ainsi le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page. Après avoir terminé "Mamma Maria", j'ai ressenti un sentiment de nostalgie pour le village et ses habitants attachants. C'est le signe d'un livre bien construit et d'une histoire qui laisse une empreinte durable. Je recommande vivement ce roman à tous ceux qui recherchent une lecture sincère, touchante et pleine de vie. Serena Giuliano a créé un petit bijou littéraire avec "Mamma Maria", et je suis certain que ce livre continuera à résonner dans le cœur des lecteurs bien après l'avoir refermé."Mamma Maria" de Serena Giuliano est un roman qui m'a profondément touchée et captivée dès les premières pages. Ce fut un véritable coup de cœur littéraire pour moi, offrant une lecture fluide et immersive qui m'a transportée dans un monde plein de chaleur humaine et d'authenticité. L'un des aspects les plus remarquables de ce livre est la façon dont il nous plonge au cœur de la vie d'un village à travers le prisme d'un café. C'est une idée brillante et bien pensée de l'auteure, car le café devient le point de rencontre où les habitants se croisent, échangent des nouvelles, partagent des secrets et tissent des liens précieux. Ce cadre crée une atmosphère chaleureuse et familière qui invite le lecteur à faire partie intégrante de ce cadre. Les personnages de "Mamma Maria" sont authentiques et nuancés, chacun avec ses propres histoires, ses joies et ses peines. Serena Giuliano réussit brillamment à capturer la complexité des relations humaines et à rendre ses personnages vivants et mémorables. On ressent une véritable empathie pour eux, et même après avoir refermé le livre, ils continuent de résonner dans nos esprits. Le style d'écriture de Giuliano est à la fois fluide et captivant, ce qui rend la lecture...

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• roksie_book 26/03/2024

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  Après avoir lu "Ciao Bella" et "Luna", j'étais contente de retrouver la jolie plume qui sent bon la Dolce Vita de Serena Giuliano. "Mamma Maria" m'attendais depuis un moment, stocké dans ma liseuse Kobo et ce fut un réel plaisir de le lire ! Il y a toujours tous les ingrédients qu'il faut dans les romans de cette autrice : humour, amour, bienveillance... Autant d'éléments qui raconte une belle histoire, nous offre aussi une leçon de vie, une ode à la différence et à l'altruisme ici, toujours accompagnée de personnages très attachants ! Je l'avoue, je ne me lasse pas de cette plume fluide qui me fait toujours voyager avec douceur et joie en Italie. J'ai bien évidemment adoré les personnages de Sofia et Maria, deux femmes fortes ! Leurs histoires sur fond de partage et de courage arrosées d'un peu d'Amalfitano bu à une terrasse ensoleillée, bien évidemment ! Le sujet de l'immigration n'est pas facile à aborder dans un livre dit "feel good", mais c'est plutôt réussi ici. En bref, une jolie lecture 😊
• UnepagedebonnEure 25/03/2024

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  Comme pour les autres, l’histoire se déroule en Italie plus précisément dans un café de village, celui de Maria! Maria le premier personnage clé de ce livre c’est la « Mamma » du village, fidèle Italienne, riche en valeur et tradition, elle a vu grandir et s’unir les gens du village. Elle fait vivre se café en pensant que c’est ce qui la fait vivre elle même… Tous le monde se retrouve dans ce café où la « mamma » veille. Rien ne lui échappe, tout le monde se confie… ou presque! Un matin un villageois trouve 2 migrants dans son jardin. Aucune hésitation, une maison bien trop grande pour lui tout seul, un cœur trop seul, il va les accueillir et les aimer. Alors qu’il partage son secret avec certaines filles du village (dont Sofia, je vous en parle juste après), Franco restera bien mystérieux au café afin de se protéger lui et sa nouvelle famille. Le livre met en évidence une réalité face à ce sujet d’actualité. Petit village, ville ou capitale, le problème est le même. On voit la différence, on en a peur, mais qui sont ces pauvres gens en quête d’espoir qui se retrouve sur nos terres, seuls, affamés, cherchant la plupart du temps un avenir meilleur pour leur enfants? Dans ce livre une fois de plus la magie italienne opère, le mot famille devient très fort, il ne s’agit plus de lien du sang mais d’amour, de partage, de bonheur. Sofia le second personnage clé de ce roman est une italienne, égarée à Paris et revenue dans son village natale suite à un chagrin d’amour, elle est très liée à Maria. Elle nous décrit dans des lettre la beauté et les secrets de son village, ses traditions, sa richesse… Dans ce livre Maria et Sofia vont se découvrir, s’ouvrir, s’épanouir. L’une dans son village, l’autre en s’en éloignant. Ce livre est beau. L’histoire est touchante. En le refermant on a le sentiment, comme à chaque fois, d’avoir voyagé.Comme pour les autres, l’histoire se déroule en Italie plus précisément dans un café de village, celui de Maria! Maria le premier personnage clé de ce livre c’est la « Mamma » du village, fidèle Italienne, riche en valeur et tradition, elle a vu grandir et s’unir les gens du village. Elle fait vivre se café en pensant que c’est ce qui la fait vivre elle même… Tous le monde se retrouve dans ce café où la « mamma » veille. Rien ne lui échappe, tout le monde se confie… ou presque! Un matin un villageois trouve 2 migrants dans son jardin. Aucune hésitation, une maison bien trop grande pour lui tout seul, un cœur trop seul, il va les accueillir et les aimer. Alors qu’il partage son secret avec certaines filles du village (dont Sofia, je vous en parle juste après), Franco restera bien mystérieux au café afin de se protéger lui et sa nouvelle famille. Le livre met en évidence une réalité face à ce sujet d’actualité. Petit village, ville ou capitale, le problème est le même. On voit la différence, on en a peur, mais qui sont ces pauvres gens en quête d’espoir qui se retrouve sur nos terres, seuls, affamés, cherchant...

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