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Manuel
Danielle Moyse (préface de)
Date de parution : 31/10/2012
Éditeurs :
12-21

Manuel

Danielle Moyse (préface de)
Date de parution : 31/10/2012

Comment faire en sorte que ce qui paraît destiné à nous emporter ne nous emporte pas ? Qu’est-ce qui pourrait subsister de nous dans ce que nous font parfois subir les turbulences...

Comment faire en sorte que ce qui paraît destiné à nous emporter ne nous emporte pas ? Qu’est-ce qui pourrait subsister de nous dans ce que nous font parfois subir les turbulences de la vie ? Le Manuel d’Épictète peut vous aider, comme il l’a fait pour des générations d’hommes et de...

Comment faire en sorte que ce qui paraît destiné à nous emporter ne nous emporte pas ? Qu’est-ce qui pourrait subsister de nous dans ce que nous font parfois subir les turbulences de la vie ? Le Manuel d’Épictète peut vous aider, comme il l’a fait pour des générations d’hommes et de femmes, leur permettant de trouver un peu de paix au milieu des difficultés de la vie.

Épictète tente de faire de nous des « athlètes » dont rien ne viendrait à bout parce que nous considérerions que ce qui nous échoit n’est en soi ni « bon » ni « mauvais », mais toujours une occasion de découvrir en nous la vertu apte à y répondre : courage, patience, force, intrépidité, etc.

Une sagesse concrète à la portée de tous.

 

TEXTE INTÉGRAL

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EAN : 9782266208802
Code sériel : 332
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782266208802
Code sériel : 332
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Donios 23/03/2024
    Pas trouvé " Aime ton prochain comme toi même " dans le texte . Dommage . Autrement , texte intéressant , mais trop de théorie ... La comparaison de deux personnages , voir même deux frères . L'un avec tout les bons comportements ( et leurs fruits ) et l'autre avec touts les mauvais ( et leurs résultats ... ) , aurai été plus claire , plus incisive . Quand on a bien compris un sujet , on peut et doit le partager avec des exemples simples , qui touchent les personnes qui lisent .
  • HeliopolisAthena 16/01/2024
    Certainement l'un des meilleurs livres que j'ai lu après le "Bushido" d'Inazô Nitobe, le "Manuel du Guerrier de la Lumière" de Paolo Coelho ou encore "Les Cercles de Lumière" de Cédric Haquart. Un vrai livre de chevet ! le "Manuel" d'Epictète (seconde génération romaine de stoïciens post-helleniques... sous réserve que mes souvenirs soient exacts) porte bien son nom. Un ouvrage qui signifie "manuel" ou bien "glaive" en latin et qui, comme tel, se porte toujours sur soi. Oeuvre légendaire incontournable de l'Ecole du Portique (Stoa). Une vraie ligne de conduite à tenir dans la vie de tous les jours bien loin de la folie superficielle des téléphones portables ;) ... Je le conseille !
  • Lorenko87 29/06/2023
    Épictète présente dans cette œuvre des concepts clés du stoïcisme. En effet, le Manuel est un guide pratique pour devenir libre intérieurement. Pour vivre heureux, il est nécessaire d'apprendre à distinguer ce qui dépend de nous de ce qui ne dépend pas de nous, de savoir se montrer indifférent face aux circonstances extérieures et de se développer intérieurement par la recherche de la vertu. Épictète nous présente une philosophie basée sur des idées et une mise en application de ces idées dans la vie de tous les jours faisant du stoïcisme une philosophie de la liberté intérieure, de la maîtrise de soi et de l'acceptation.
  • david41100 22/06/2023
    Dans cet ouvrage, l'auteur nous présente une version un peu modernisée des textes d'Épictète. On y trouve les grandes lignes du Stoïcisme et la vision épurée et droite de cette philosophie. J'avoue avoir eu un peu de mal avec l'adaptation moderne du texte, parlant football et euros... je suis un peu trop puriste, sûrement. Cet ouvrage est accessible, et c'est le plus important ! Après tout, l'objectif est de s'imprégner du Stoïcisme, pas de jouer les latinistes érudits !
  • Pavlik 05/06/2022
    Comme Socrate, Epictète n'a jamais rien écrit. C'est à un de ses disciples, Flavius Arrien, que l'on doit ce "Manuel". Il l'a conçu comme un condensé de la pensée de son maître, que l'on pouvait toujours avoir sur soi...une sorte de guide pratique de la vertu, selon Epictète. Je réalise, après lecture de ce livre, combien le stoïcisme, dont Epictète se réclamait, est une pensée fondatrice de la morale occidentale, car elle dût beaucoup influencer la morale chrétienne, en premier lieu, et, j'imagine, particulièrement le monachisme. En effet, vivre selon les préceptes d'Epictète, c'est un peu vivre comme un moine. Ce n'est donc pas donné à tout le monde et cela suppose une grande force morale, la défiance envers le désir, le plaisir et la peur de la douleur, la concentration sur les choses de l'esprit, sur l'exemplarité de son comportement...et la discipline nécessaire pour accepter les évènements tels qu'ils se présentent. Obligatoirement, on ne peut admettre cette vie que si l'on est convaincu du caractère déterminé d'un univers gouverné par une sagesse supérieur. Epictète ne fait pas mention d'un paradis qui accueillerait les justes après leur mort...Les chrétiens ont complété après lui. Chacun se fera son idée de cette doctrine, tout en sachant bien que chacun, dans nos contrée "occidentales", est pris, d'une manière ou d'une autre, dans la doctrine elle-même. On ne peut donc nier la valeur culturelle de la pensée stoïcienne (épistémologique, historique). Et personnellement, je suis assez fasciné par la façon dont les grecs envisageaient l'aspect pratique de la philosophie. C'est une parole simple, en apparence, que nous lègue Epictète mais une parole qui n'est pas aisée à mettre en acte. Ce n'est d'ailleurs sans doute pas obligatoire de le faire. Comme Socrate, Epictète n'a jamais rien écrit. C'est à un de ses disciples, Flavius Arrien, que l'on doit ce "Manuel". Il l'a conçu comme un condensé de la pensée de son maître, que l'on pouvait toujours avoir sur soi...une sorte de guide pratique de la vertu, selon Epictète. Je réalise, après lecture de ce livre, combien le stoïcisme, dont Epictète se réclamait, est une pensée fondatrice de la morale occidentale, car elle dût beaucoup influencer la morale chrétienne, en premier lieu, et, j'imagine, particulièrement le monachisme. En effet, vivre selon les préceptes d'Epictète, c'est un peu vivre comme un moine. Ce n'est donc pas donné à tout le monde et cela suppose une grande force morale, la défiance envers le désir, le plaisir et la peur de la douleur, la concentration sur les choses de l'esprit, sur l'exemplarité de son comportement...et la discipline nécessaire pour accepter les évènements tels qu'ils se présentent. Obligatoirement, on ne peut admettre cette vie que si l'on est convaincu du caractère déterminé d'un univers gouverné par une sagesse supérieur. Epictète ne fait pas mention d'un paradis qui accueillerait les justes après leur mort...Les chrétiens ont complété après lui. Chacun se fera son idée de cette doctrine,...
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