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Marie di Lola
Collection : Terres de France
Date de parution : 06/03/2014
Éditeurs :
Presses de la cité

Marie di Lola

Collection : Terres de France
Date de parution : 06/03/2014
« Lisez ce livre sensible, poétique et historique d’un temps d’avant, celui de Lola. »
Marcel Rufo

Marie di Lola se souvient…
De ses parents, Lola, sa mère paisana, et Joseph, son père pêcheur ; de...
« Lisez ce livre sensible, poétique et historique d’un temps d’avant, celui de Lola. »
Marcel Rufo

Marie di Lola se souvient…
De ses parents, Lola, sa mère paisana, et Joseph, son père pêcheur ; de sa nombreuse fratrie ; des veillées inoubliables à la bougie ; des croyances immuables de son île qui marqueront pour toujours la...
« Lisez ce livre sensible, poétique et historique d’un temps d’avant, celui de Lola. »
Marcel Rufo

Marie di Lola se souvient…
De ses parents, Lola, sa mère paisana, et Joseph, son père pêcheur ; de sa nombreuse fratrie ; des veillées inoubliables à la bougie ; des croyances immuables de son île qui marqueront pour toujours la petite fille ; de la cueillette des olives en plein maquis ; des Ambrosi, les voisins bruyants de l’étage du dessus, mais i vicini sò cucini ; de la pompe à eau, place Paoli, où « un jeune homme ne doit pas pomper trop fréquemment pour la même jeune fille, c’est compromettant » ; de la découverte du continent, Marseille, terre fantasmée par les insulaires…
Et tant d’autres rituels et coutumes, de souvenirs saillants et authentiques d’une enfance au tout début du XXe siècle à L’Ile-Rousse, en Corse.
 
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EAN : 9782258109094
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258109094
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bebi 21/10/2014
    J'ai dévoré ce livre en deux jours!!! L'auteur retrace son enfance dans les rues d'une petite ville corse. Les coutumes du début du siècle, loin des grandes villes européennes, restent ancrées dans les habitudes. J'ai particulièrement savouré la période où la jeune fille grandit et découvre la bienséance. Une femme ne peut accepter un cadeau d'un jeune homme sans se compromettre; Jamais, au grand jamais, elle ne doit rester seule avec un jeune homme, même s'ils sont fiancés. Une jeune fille ne se mariait pas sans avoir fait son trousseau: draps, dentelles, rideaux, couvertures... C'est affolant de voir à quelle vitesse tout cela a changé!! Les spécialités culinaires sont aussi largement décrites, pour le plus grand bonheur des gourmands. A cette époque, rien ne se perdait, tout se transformait. Les saucissons que l'on conservait, sêchés, tout l'hiver. Les tisanes que l'on fabriquait à partir de fleurs ramassés sur le bords des routes. Les liqueurs, les crèmes, les pains croustillants... Tout y est expliqué J'ai lu ces pages avec délices, sans avoir l'envie de le quitter, mais il est passé bien trop vite pourtant. Preuve s'il en est besoin que c'est un livre-bonheur... Un livre qui est reposant, tendre, intéressant, et instructif. J'ai très envie du coup de découvrir d'autres livres du même auteur, car vraiment, elle a su me convaincre totalement sur son talent. Je referme ce récit avec le sourire aux lèvres, le regard rêveur, et l'envie, déjà, de retrouver cette atmosphère bientôt.J'ai dévoré ce livre en deux jours!!! L'auteur retrace son enfance dans les rues d'une petite ville corse. Les coutumes du début du siècle, loin des grandes villes européennes, restent ancrées dans les habitudes. J'ai particulièrement savouré la période où la jeune fille grandit et découvre la bienséance. Une femme ne peut accepter un cadeau d'un jeune homme sans se compromettre; Jamais, au grand jamais, elle ne doit rester seule avec un jeune homme, même s'ils sont fiancés. Une jeune fille ne se mariait pas sans avoir fait son trousseau: draps, dentelles, rideaux, couvertures... C'est affolant de voir à quelle vitesse tout cela a changé!! Les spécialités culinaires sont aussi largement décrites, pour le plus grand bonheur des gourmands. A cette époque, rien ne se perdait, tout se transformait. Les saucissons que l'on conservait, sêchés, tout l'hiver. Les tisanes que l'on fabriquait à partir de fleurs ramassés sur le bords des routes. Les liqueurs, les crèmes, les pains croustillants... Tout y est expliqué J'ai lu ces pages avec délices, sans avoir l'envie de le quitter, mais il est passé bien trop vite pourtant. Preuve s'il en est besoin que c'est un livre-bonheur... Un livre qui est reposant, tendre, intéressant, et instructif. J'ai très envie du...
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  • Stemilou 21/10/2014
    Reçu dans le cadre de l’opération masse critique de Babelio, le livre de Michèle Castelli a été une belle surprise pour moi. La Corse pas si loin de ma ville natale, Nice, et le langage si proche de notre patois calabrais m’a fait entrer dans le récit de cette famille comme si c’était la mienne tant les ressemblances avec les histoires familiales sont nombreuses. Le récit se situe à Ile-Rousse, ville de Balagne en Corse, ce n’est pas un roman en tant que tel même si au fil des chapitres on suit l’histoire de la famille, mais plutôt des instants de vie qui servent à décrire le quotidien de ces habitants en ce début de XXe siècle, la pêche, les croyances, l’école, les différences de classe sociale, les jours de fête et les traditions qui les accompagnent, les spécialités culinaires très appréciées encore aujourd’hui, les bonnes manières, les champs d’oliviers et cette huile si précieuse, les soirées au coin du feu pour broder son trousseau, le début d’une vie d’adulte … et tout ceci c’est Marie une des filles de Lola qui nous le raconte. Marie di Lola. Elle nous confie ses moments heureux vécus entre voisins, les jours plus sombres de la grippe et de la mort, les années de guerres et de restrictions et la joie de se savoir toujours entouré de sa famille, de voisins considérés comme des cousins. Une vie simple mais dure qui n’a rien épargné à la famille. C’est une écriture simple que l’auteur nous conte la joie et la douleur, je n'ai eu aucun mal à me plonger dans les rues de la ville, de me promener moi aussi sur les sentiers sous le soleil, dans ce « monde » qui n’est plus et qui pourtant détenait tant de richesses, la vie sortait de terre ou de la mer pour qui savait la remercier. Des mots qui traduisent toutes la tendresse d’une époque révolue mais qui fait rêver. C’est un récit qui se lit très vite et je dois avouer que j’aimerais savoir ce qui est arrivé à Marie une fois installée à Marseille.Reçu dans le cadre de l’opération masse critique de Babelio, le livre de Michèle Castelli a été une belle surprise pour moi. La Corse pas si loin de ma ville natale, Nice, et le langage si proche de notre patois calabrais m’a fait entrer dans le récit de cette famille comme si c’était la mienne tant les ressemblances avec les histoires familiales sont nombreuses. Le récit se situe à Ile-Rousse, ville de Balagne en Corse, ce n’est pas un roman en tant que tel même si au fil des chapitres on suit l’histoire de la famille, mais plutôt des instants de vie qui servent à décrire le quotidien de ces habitants en ce début de XXe siècle, la pêche, les croyances, l’école, les différences de classe sociale, les jours de fête et les traditions qui les accompagnent, les spécialités culinaires très appréciées encore aujourd’hui, les bonnes manières, les champs d’oliviers et cette huile si précieuse, les soirées au coin du feu pour broder son trousseau, le début d’une vie d’adulte … et tout ceci c’est Marie une des filles de Lola qui nous le raconte. Marie di Lola. Elle nous confie ses moments heureux vécus entre voisins, les jours plus sombres de...
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  • feanora 15/10/2014
    C'est avec une grande joie que j'ai reçu ce livre envoyé par Babelio et les éditions Presses de la Cité, dans le cadre de l'opération Masse Critique et je les remercie chaleursement.. Il faut dire que je suis fan de la Balagne et de Isola Rossa en particulier. Ce livre retrace avec une grande sensibilité la vie, dans cette région nord de la Corse au début du vingtième siècle. Marie est une des filles de Lola, femme de pêcheur. Elle nous conte son enfance heureuse mais avec l'importante séparation entre le monde des pêcheurs et ouvriers et celui des bourgeois qui jamais ne se mêlent les uns aux autres. On y retrouve l'importante influence de l'église avec la célébration des fêtes religieuses qui sont célébrées avec un faste particulier, la présence indispensable à la messe pour éviter les remarques désagréables et puis la guerre entre l'école privée et l'école publique et laïque lorsqu’elle devient obligatoire. Jamais, je n'aurais pensé qu'une telle ségrégation entre riches et pauvres avait existé. La vie extérieure fait une part belle au "paraître" car le respect des traditions en tous genres régit la vie sociétale. Jeunes gens et jeunes filles ne peuvent se parler qu'en présence d'un tiers, même lorsqu'ils sont fiancés. Cette coutume existait aussi sur le continent, dans les villages.. Il ne faut pas oublier l'entraide entre les gens du même cercle qui voisinent et veillent ensemble. La vie publique se passe à l’église et sur la magnifique place Paoli qui reste le centre de la ville aujourd'hui. Bien sûr, il ne faut pas oublier les discussions politiques qui vont bon train lorsque des élections se profilent à l'horizon. Les femmes, bien qu’elles n'aient pas le droit de vote n'hésitent pas à affirmer leurs opinions politiques et leur choix pour tel candidat. Et pour couronner cette vie, la mer omniprésente avec ses somptueuses couleurs où les enfants vont se baigner en "chemise" malgré l'interdiction des parents et les promenades à la campagne pour rendre visite à la parentèle ou pour aller ramasser les olives qui permettront de faire de l'huile d'olives de Balagne, tellement courante dans la quotidienne. . J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre qui nous retrace, de belle manière une vie, maintenant disparue et qui pourtant a laissé bien des repères. Le style est fluide et permet vraiment de recréer les images de ce temps-làC'est avec une grande joie que j'ai reçu ce livre envoyé par Babelio et les éditions Presses de la Cité, dans le cadre de l'opération Masse Critique et je les remercie chaleursement.. Il faut dire que je suis fan de la Balagne et de Isola Rossa en particulier. Ce livre retrace avec une grande sensibilité la vie, dans cette région nord de la Corse au début du vingtième siècle. Marie est une des filles de Lola, femme de pêcheur. Elle nous conte son enfance heureuse mais avec l'importante séparation entre le monde des pêcheurs et ouvriers et celui des bourgeois qui jamais ne se mêlent les uns aux autres. On y retrouve l'importante influence de l'église avec la célébration des fêtes religieuses qui sont célébrées avec un faste particulier, la présence indispensable à la messe pour éviter les remarques désagréables et puis la guerre entre l'école privée et l'école publique et laïque lorsqu’elle devient obligatoire. Jamais, je n'aurais pensé qu'une telle ségrégation entre riches et pauvres avait existé. La vie extérieure fait une part belle au "paraître" car le respect des traditions en tous genres régit la vie sociétale. Jeunes gens et jeunes filles ne peuvent se parler qu'en présence d'un tiers, même lorsqu'ils sont fiancés. Cette...
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