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Mes hommages à la donzelle
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Mes hommages à la donzelle

Date de parution : 28/10/2010

"Il y a une multitude de choses dont j'ai horreur. Les jeunes filles de plus de quatre-vingt-dix-sept ans, tout d'abord.
Le poisson mal cuit, aussi. Puis les liaisons mal-t-à-propos ; les...

"Il y a une multitude de choses dont j'ai horreur. Les jeunes filles de plus de quatre-vingt-dix-sept ans, tout d'abord.
Le poisson mal cuit, aussi. Puis les liaisons mal-t-à-propos ; les ouatères de wagons de seconde classe ; les bitures de Bérurier et les imparfaits du subjonctif de Pinaud. Mais s'il...

"Il y a une multitude de choses dont j'ai horreur. Les jeunes filles de plus de quatre-vingt-dix-sept ans, tout d'abord.
Le poisson mal cuit, aussi. Puis les liaisons mal-t-à-propos ; les ouatères de wagons de seconde classe ; les bitures de Bérurier et les imparfaits du subjonctif de Pinaud. Mais s'il y a une chose qui m'énerve par-dessus tout, qui me file au bord du delirium très mince, c'est qu'on s'asseye sur mon chapeau... Surtout au cinéma... Surtout quand on l'a fait exprès... Surtout quand c'est le dargeot d'un truand qui est l'outrageur... Surtout quand tout ça cache le commencement d'une aventure insensée !"

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EAN : 9782265091054
Code sériel : 4
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091054
Code sériel : 4
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • TmbM 30/03/2023
    Basé sur des fuites de renseignements d'état et de secrets scientifiques, bien ficelé et très rythmé, Mes hommages à la donzelle est un roman noir clairement influencé par le harboiled classique et dans lequel on ne retrouve pas encore complètement la touche personnelle de l'auteur. Mais ça va venir. D'ailleurs, songeant sans doute à s'investir dans la série, ce à quoi l'encourage alors son éditeur, il commence à étoffer son casting puisqu'il y ébauche un personnage secondaire qui a les allures d'un Bérurier en puissance et qu'il nous présente officiellement Achille - même s'il ne porte pas encore de nom. Surtout, la différence par rapport aux épisodes précédents tient dans le fait que celui-ci, le quatrième, publié en 1952, la même année que Les confessions de l'Ange Noir, s'affranchit du contexte historique auquel obéissaient les volumes précédents. Il n'est donc plus question de la guerre ou de l'occupation et on ignore même en quelle année se situe l'action. Dorénavant, chaque roman se déroulera l'année de sa publication et s'adaptera à l'évolution de son époque, sans pour autant que les personnages ne vieillissent. Pratique ! Touchez mon blog, Monseigneur...
  • DR_Cloq 14/11/2022
    Et de 4 ! San Antonio toujours égal à lui-même. Cette fois encore il s'en sort sans une égratignure, ou presque ! Un ton enjoué, une écriture fluide, un vocabulaire qui n'appartient qu'à lui. J'ai suivi cette aventure avec plaisir, à 200 à l'heure, comme d'hab ! :o)
  • Veddy 11/05/2022
    San-Antonio ! J'ai un peu moins apprécier cet opus, malgré le fait que l'histoire se déroule en une seule et même journée, j'ai trouvé que certains passages tiraient un peu longueur. Surtout quand cela touchait la maison à Boulogne, j'ai trouvé que c'était long... Enfin, sinon en terme de texte, j'ai bien aimé, il faut dire que Frédéric Dard avec sa plume, nous pond une merveille en ce qui concerne l'argot et expressions ! Par contre, si un jour vous croisez une 4CV qui atteint les 160km/h, faites moi signe :) J'aimerai voir ça avant de mourir !
  • LectureChronique 01/05/2022
    Une enquête sur fond d'espionnage va occuper notre commissaire une bonne partie de l'après-midi jusqu'à minuit passé. Des morts qui s'amoncellent, des poursuites et des aveux extorqués sans demi-mesure à la force du poignet, de la rémoulade du rachis savamment moulue, sans oublier une belle donzelle à reluquer, San Antonio va devoir faire preuve de toute sa logique et son flair de flic pour trouver le traitre qui a usurpé des secrets d'un éminent professeur sur la mise au point d'une fusée. C'est toujours autant divertissant que de se plonger dans les livres de Frédéric Dard. J'adore sa façon de raconter les histoires, cette manière de parler et de décrire les choses. Il manipule les mots avec tellement d'aisance, l'histoire tient la route, la fluidité du texte fait que ça se lit vite. Un succès populaire qui n'est plus à démontrer. Une lecture légère à apprécier telle qu'elle, dans son jus d'époque.
  • MrVladdy 26/01/2022
    Depuis que j'ai découvert le premier tome, je suis sous le charme pour le moment des aventures de San Antonio et l'avantage que j'ai, c'est que puisque je ne les ai jamais lu, chaque nouvelle aventure que je lis dans son ordre chronologique, c'est une véritable découverte pour moi. Avec ce quatrième ouvrage, j'ai de nouveau pris mon pied. Au bout de trois livres, je commence à connaître la recette et même si le récit comporte de nombreuses facilités, c'est toujours la grande éclate que de me plonger dans cet univers. Il faut dire aussi que Frédéric Dard à le don de réinventé la langue française. J'ai déjà écrit à travers d'autres avis que le ton me faisait penser à du Audiard mais ça ne serait pas rendre justice à Frédéric Dard et à son immense faculté de jouer avec les mots. "Mes hommages à la donzelle" à beau avoir été publié en 1952, même si il est d'une époque que je n'ai pas connu, cela reste un texte accessible. C'est populaire mais dans le bon sens du terme et c'est aussi l'une des clés qui font que j'aime ses textes. Je me marre sans me prendre la tête alors que Frédéric Dard a du pour sa part bien se la prendre sa tête pour manipuler ses mots. C'est fluide, c'est dynamique et si l'on est client, on en a pour notre argent. Il n'y a pas une page où je ne me marre pas prenant même un certain plaisir à relire certaines phrases, certaines répliques, que je trouve tellement jouissive que je regrette de ne pas manipuler le jargon de Frédéric Dard de la même manière. Quant à l'histoire, je dois bien avouer que j'ai été agréablement surpris. Au-delà des facilités que j'évoque plus haut, j'ai énormément aimé le fait que cette aventure se recentre davantage sur l'enquête policière. On a de l'espionnage en toile de fond mais ce n'est jamais bien lourd (et c'est quelqu'un qui n'est pas spécialement fan d'histoires d'espionnage qui vous le dit !) et surtout, on s'éloigne un peu du décor de la seconde guerre mondiale que l'on pouvait avoir dans les précédents textes dont je n'étais pas très friand). Alors bien sûr, je m'emballe mais ça reste une aventure de San Antonio. On y va en sachant dans quoi on met les pieds (tout comme on sait ce que l'on va trouver trouver dans un James Bond par exemple dans un autre registre) mais c'est tout ce que je recherche ici. C'est frais et j'apprécie beaucoup également le fait que ça se lise très vite. Il y a bien sûr un petit côté frustrant dans cette rapidité (surtout que cette fois-ci l'intrigue se déroule sur quelques heures à peine) mais bon, j'en suis qu'au quatrième livre et Frédéric Dard en à écrit plus d'une centaine des San Antonio donc j'aurais vite de quoi compenser. Pour résumer, c'est encore un plaisir très sympathique pour moi que de découvrir San Antonio. J'en suis qu'au quatrième livre donc il est un peu tôt pour crier ma préférence mais c'est vrai qu'à ce jour "Mes hommages à la donzelle" reste quand même celui que je préfère des quatre premiers livres. Question de rythmique et de décors je pense. Quoiqu'il en soit, je ne regrette vraiment pas de me faire l'intégrale dans ma bibliothèque.Depuis que j'ai découvert le premier tome, je suis sous le charme pour le moment des aventures de San Antonio et l'avantage que j'ai, c'est que puisque je ne les ai jamais lu, chaque nouvelle aventure que je lis dans son ordre chronologique, c'est une véritable découverte pour moi. Avec ce quatrième ouvrage, j'ai de nouveau pris mon pied. Au bout de trois livres, je commence à connaître la recette et même si le récit comporte de nombreuses facilités, c'est toujours la grande éclate que de me plonger dans cet univers. Il faut dire aussi que Frédéric Dard à le don de réinventé la langue française. J'ai déjà écrit à travers d'autres avis que le ton me faisait penser à du Audiard mais ça ne serait pas rendre justice à Frédéric Dard et à son immense faculté de jouer avec les mots. "Mes hommages à la donzelle" à beau avoir été publié en 1952, même si il est d'une époque que je n'ai pas connu, cela reste un texte accessible. C'est populaire mais dans le bon sens du terme et c'est aussi l'une des clés qui font que j'aime ses textes. Je me marre sans me prendre la tête alors que Frédéric Dard...
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