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Ne mangez pas la consigne
Date de parution : 10/02/2011
Éditeurs :
12-21

Ne mangez pas la consigne

Date de parution : 10/02/2011

L'homme cagoulé est en train d'affûter la lame courbe d'un cimeterre. Le cimeterre marin dont causait Valéry. Ce cimeterre-là va m'expédier au cimetière sur une vraie meule. Une meule électrique siouplaît, ce qui m'inciterait à penser que nous sommes dans un atelier.

EAN : 9782265091511
Code sériel : 43
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091511
Code sériel : 43
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Citelle 09/02/2024
    Je n'avais lu aucun San Antonio et j'ai trouvé ce tome dans une boîte à livres. C'était donc l'occasion de découvrir le personnage et ses aventures. J'ai eu l'impression d'entrer dans un club fermé d'amateurs éclairés. Il y a beaucoup des personnages récurrents, que tout le monde semble connaître, sauf moi, ils sont présents dans ce roman ou seulement mentionnés. Apparemment , il y a des allusions à des aventures passées. Je suis donc passée un peu à côté de cet univers, mais j'ai apprécié le style d'écriture incroyable de Frédéric Dard, avec ses calembours et ses grivoiseries qu'il est le seul à pouvoir écrire. L'ensemble fleure bon les années 60. J'ai bien aimé, mais je ne sais pas si j'en lirai d'autres.
  • AlexandreAllamanche 14/08/2023
    Rien de bien fascinant pour San Antonio ce jour-là sauf peut-être la venue surprise de la cousine Adèle. Chiante et bigote au possible, notre commissaire échappe cependant aux paroles assommantes de sa parente parce qu'on a trouvé des têtes, séparées de leurs corps respectifs, dans des consignes de la gare Saint-Lazare... Et c'est parti pour une nouvelle enquête haute en couleur, laissant Béru et Pinuche plutôt de côté, mais un vaut son pesant de surprises...
  • mikaelunvoas 10/08/2023
    1961 et déjà le 43ème tome. Il s'agit d'un mix de plusieurs aventures déjà vécues par notre commissaire qui a toujours la fâcheuse tendance de tomber sur des cadavres ou de trouver des têtes coupées. L'occasion de revivre l'époque des consignes de gare où on trouvait toute sorte d'objets et de rouler en MG. Des américains en banlieue parisienne, une disparition de femme de notable, on a déjà vu ça. Nous faisons également la connaissance d'une tante "Adèle", bigote, ce qui a tout pour énerver San Antonio qui travaille plutôt en solo, Pinuche l'aide, mais Béru, de mariage, est constamment ivre et pas bon à grand chose.
  • TmbM 10/07/2023
    Par un caprice des pététés, ce n'est que quelques heures avant l'arrivée de la cousine Adèle que la lettre annonçant sa visite est glissée sous la porte de Félicie. San-A est donc appelé en catastrophe par sa mère pour aller accueillir à la gare celle qu'il présente comme, dans l'échelle des ennuis familiaux, se situant "entre le téléphone en dérangement et l'indigestion de moules". La cousine est tellement chargée que ses bagages ne rentrent dans la voiture. Le commissaire ouvre alors une consigne de gare et découvre, horreur ! une tête ! Une deuxième dans la suivante, puis une troisième... "Cela étant posé, MM, les lecteurs sont priés d'attacher leurs ceintures, car nous allons amorcer un virage grammatical et passer de l'imparfait au présent sans modifier notre vitesse de croisière. L'imparfait, comme son nom l'indique clairement, n'est pas satisfaisant, et son emploi est à déconseiller dans des récits aussi vivants que les miens." Pendant qu'il envoie Pinaud vérifier les consignes de toutes les gares de la capitale et qu'il met Béru - pas encore remis du mariage d'Alfred, l'amant de son épouse, avec sa shampouineuse - sur une affaire d'adultère qui l'encombre, San-Antonio entreprend d'identifier les victimes et de découvrir ce qui les lie. L'auteur, lui, va télescoper les deux enquêtes à grand renfort de coïncidences et de facilités scénaristiques, heureusement rehaussées de sulfureux jeux de mots, calembours, digressions et notes de bas de page. Quant à la cousine Adèle, disons que son portrait, impayable, compense le temps d'un épisode assez moyen la relative absence au casting des personnages secondaires de la série. Touchez mon blog, Monseigneur...Par un caprice des pététés, ce n'est que quelques heures avant l'arrivée de la cousine Adèle que la lettre annonçant sa visite est glissée sous la porte de Félicie. San-A est donc appelé en catastrophe par sa mère pour aller accueillir à la gare celle qu'il présente comme, dans l'échelle des ennuis familiaux, se situant "entre le téléphone en dérangement et l'indigestion de moules". La cousine est tellement chargée que ses bagages ne rentrent dans la voiture. Le commissaire ouvre alors une consigne de gare et découvre, horreur ! une tête ! Une deuxième dans la suivante, puis une troisième... "Cela étant posé, MM, les lecteurs sont priés d'attacher leurs ceintures, car nous allons amorcer un virage grammatical et passer de l'imparfait au présent sans modifier notre vitesse de croisière. L'imparfait, comme son nom l'indique clairement, n'est pas satisfaisant, et son emploi est à déconseiller dans des récits aussi vivants que les miens." Pendant qu'il envoie Pinaud vérifier les consignes de toutes les gares de la capitale et qu'il met Béru - pas encore remis du mariage d'Alfred, l'amant de son épouse, avec sa shampouineuse - sur une affaire d'adultère qui l'encombre, San-Antonio entreprend d'identifier les victimes et...
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  • anniefrance 10/07/2021
    Mon édition date de 1971; j'ai trouvé ce livre dans la boite que je mets à disposition: je suis ravie de ne pas être seule à l'alimenter. Je me suis laissée tenter: il y a si longtemps que je n'ai pas lu de S.A. Je l'ai retrouvé avec plaisir, j'avais un peu oublié son style inimitable. Béru est égal à lui-même (sans Berthe). Il y a toujours le Vioque et Félicie. L'histoire ne tient pas trop debout: trois têtes de couleur trouvées dans des cases de consigne SNCF, le mobile du tueur est léger par rapport au résultat; quant à la 4e tête, l'affaire est vite expédiée. C'est donc pour la langue que j'ai aimé ces retrouvailles, après une cinquantaine d'années!
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