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OSS 117 prend le maquis
Date de parution : 10/09/2020
Éditeurs :
Archipoche

OSS 117 prend le maquis

Date de parution : 10/09/2020
OSS 117 en Corse
Les romans cultes de Jean Bruce n’ont rien perdu de leur impertinence, de leur piquant… et de leur humour suranné ! Ces rééditions sont l’occasion de redécouvrir les aventures d’Hubert Bonisseur de la Bath, rendu célèbre à l’écran par Jean Dujardin.
Ça se corse pour oss 117! Informé que les Russes installent en divers points du globe des bases ultrasecrètes dans des grottes sous-marines, le chef du service action de la... Ça se corse pour oss 117! Informé que les Russes installent en divers points du globe des bases ultrasecrètes dans des grottes sous-marines, le chef du service action de la CIA envoie son agent OSS 117 sur l’île de Beauté, où vient de disparaître un homme-grenouille surentraîné. Mais tout se... Ça se corse pour oss 117! Informé que les Russes installent en divers points du globe des bases ultrasecrètes dans des grottes sous-marines, le chef du service action de la CIA envoie son agent OSS 117 sur l’île de Beauté, où vient de disparaître un homme-grenouille surentraîné. Mais tout se corse. Pour avoir oublié, dans le feu de l’action, que son Beretta ne contenait que huit balles au lieu des dix de son J. C. Higgins resté dans l’autre poche, Hubert Bonisseur de la Bath a failli perdre la vie... mais aussi Brigitta, pour qui il éprouve une immense tendresse.
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EAN : 9782377355211
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 120
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377355211
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 120
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Pat0212 15/08/2021
    Je profite de l’été pour essayer de me mettre à jour avec mes SPs de L’Archipel, ce qui m’a donné l’occasion de lire ce vieux roman d’espionnage réédité l’année dernière. Je l’ai demandé par curiosité, comme souvent… et je n’avais pas prévu la séquence nostalgie. Je ne vis pas du tout dans le passé et je voyage léger, les souvenirs sont encombrants. Pourtant au fil de ces deux cent pages, j’ai replongé en enfance. Mon père aimait beaucoup cette série dont il ne manquait aucune sortie. Les couvertures de l’époque étaient bien moins sobres que maintenant, on y voyait une jolie fille pas très vêtue. Cette série symbolisait pour moi les livres d’adultes (je suis née en 1963), mon père les lisait lorsque nous étions au bord du lac, nous surveillant d’un oeil, ma soeur et moi qui jouions dans l’eau avec un gros dauphin gonflable, lequel avait la fâcheuse tendance à se retourner dès que nous arrivions à l’enfourcher ! Il y avait des années que je n’avais plus pensé à ces vacances et soudain au fil des pages, je me suis revue dans l’eau, j’ai senti le parfum de la crème solaire, vu la cabane à glace. Une expérience un peu étrange et inhabituelle pour moi. Le roman nous transporte directement dans les années 1960, deux plongeurs explorent des grottes sous marines près de Bonifacio. Nicolas ne sait pas ce que cherche son client américain, qui n’a visiblement pas besoin de leçon de plongée. Mais peu importe son argent est toujours bon à prendre et on dit que le trésor de Rommel est englouti dans les parages. Ils découvrent une nouvelle cavité qui semble s’enfoncer loin sous la falaise. Le client se fait tuer lors de cette exploration, Nicolas s’enfuit. Son client est en fait un espion américain et OSS 117 est envoyé sur place pour enquêter. On est en pleine guerre froide, les services secrets russes sont aussi sur le coup, nous voici embarqués dans une aventure vintage très bien ficelée et cohérente, avec bien sûr une belle espionne (que j’ai tout de suite démasquée !). La technologie était encore balbutiante, les gadgets du héros se limitant à un stylo-lampe de poche, mais l’action s’enchaîne sans temps mort. Il y a quelques clichés, mais ce n’est pas gênant, ça participe à l’ambiance. Le monde était partagé en deux camps bien délimités et plutôt manichéens. On sent clairement la peur de la guerre nucléaire, qui a plombé ces années-là, notre monde n’est plus le même évidemment, mais il n’est pas plus sûr pour autant. Le roman a bien vieilli malgré tout, même si le communisme n’est plus ce qu’il a été. On voit toutefois un gros décalage dans les mentalités en particulier dans la place accordée aux femmes. Brigitta n’est pas sur pied d’égalité avec ses collègues espions et ils n’hésitent pas à la sacrifier pour se sauver, ce que notre héros ne peut laisser faire. Elle a pour unique rôle de séduire les hommes et Hubert n’hésite pas à lui faire des propositions qui lui vaudraient sans doute le tribunal aujourd’hui, et pour bien moins que cela. Un roman amusant et distrayant qui m’a fait passer un excellent moment, ce n’est pas de la grande littérature, mais un témoignage d’une époque révolue. Vu le succès de cette série à l’époque, je pense qu’elle a contribué à forger les mentalités et l’allergie au communisme de notre société. Un grand merci à Mylène de l’Archipel pour sa confiance renouvelée. #0SS117PRENDLEMAQUIS #NetGalleyFrance !Je profite de l’été pour essayer de me mettre à jour avec mes SPs de L’Archipel, ce qui m’a donné l’occasion de lire ce vieux roman d’espionnage réédité l’année dernière. Je l’ai demandé par curiosité, comme souvent… et je n’avais pas prévu la séquence nostalgie. Je ne vis pas du tout dans le passé et je voyage léger, les souvenirs sont encombrants. Pourtant au fil de ces deux cent pages, j’ai replongé en enfance. Mon père aimait beaucoup cette série dont il ne manquait aucune sortie. Les couvertures de l’époque étaient bien moins sobres que maintenant, on y voyait une jolie fille pas très vêtue. Cette série symbolisait pour moi les livres d’adultes (je suis née en 1963), mon père les lisait lorsque nous étions au bord du lac, nous surveillant d’un oeil, ma soeur et moi qui jouions dans l’eau avec un gros dauphin gonflable, lequel avait la fâcheuse tendance à se retourner dès que nous arrivions à l’enfourcher ! Il y avait des années que je n’avais plus pensé à ces vacances et soudain au fil des pages, je me suis revue dans l’eau, j’ai senti le parfum de la crème solaire, vu la cabane à glace. Une...
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  • Kenehan 10/02/2021
    Troisième jour, troisième tome. Ils se suivent et se ressemblent mais l'effet reste agréable. Publié cette fois en 1961, on suit Hubert dans notre bonne vieille Corse. Un agent de CIA est tué lors d'une exploration sous-marine. Seul survivant, un ex-OSS. S'ensuit alors une petite enquête pour lever le mystère. Toujours aussi caricaturale et sexiste, profond reflet de la culture des années 1960, la série mêle action et belles femmes sur fond d'espionnage. Rapide à lire, réduit à une trame essentielle, l'histoire permet de nous déconnecter quelques heures et ça fait du bien !
  • Nadge 19/10/2020
    Comme de nombreuses personnes je pense, OSS 117 est dans mon imaginaire représenté, voir incarné par Jean Dujardin. C'est donc une 1ère pour moi de lire une histoire du célèbre espion, je remercie donc @Babelio et @Archipel Poche pour cet envoi. Il s'agit d'une réédition des romans du célèbre Hubert Bonisseur de la Bath. J'appréhendais un peu le côté vintage voir dépassé (que l'on retrouve dans les films) compte tenu du fait que ces romans date des années 50. L'histoire de ce tome se passe à Bonifacio en Corse, sur la belle île de beauté, comme le titre le laisse entendre. Les descritions de l'île et de la cité sont magnifiques et permettent de bien comprendre l'ambiance qui y règne. On y retrouve Hubert qui va enquêter sur une disparition suspecte d'un espion de la CIA très entrainé lors d'une plongée sous marine. Un petit côté James Bond, mais très frenchy quand même! avec des répliques et des jeux de mots cultes et très drôles. J'adore les petits clichés sur les Corses, qui ne manquent pas de piquants (à prendre au second degré!). Brigitta, le personnage féminin, est lui aussi très cliché, mais ça passe plutôt bien! Et on lui découvre une certaine sensibilité, sous l'aspect volubile. Hubert va vouloir l'aider (et plus si affinités). Je n'ai pas vraiment remarqué que ce personnage a près de 70 ans!! c'est fluide et presque intemporel, même si cela se passe pendant la guerre froide. Bien sur, il n'y a pas tous les gadgets modernes (téléphones, ordinateur...) mais ça reste crédible et pas du tout désuet. L'histoire est agréable avec un style plutôt classique, j'aurais même aimé quelques chapitres de plus (roman relativement court!). Je recommande donc aux adeptes du style et à ceux qui aiment les polars. Je pense poursuivre avec Atout cœur à Tokyo. Point spécial (de la mini série, 4 romans sortis en même temps) : j'adore l'esthétique à la fois coloré et épuré, qui colle merveilleusement bien à l'esprit des romans, ça dépoussière le genre.Comme de nombreuses personnes je pense, OSS 117 est dans mon imaginaire représenté, voir incarné par Jean Dujardin. C'est donc une 1ère pour moi de lire une histoire du célèbre espion, je remercie donc @Babelio et @Archipel Poche pour cet envoi. Il s'agit d'une réédition des romans du célèbre Hubert Bonisseur de la Bath. J'appréhendais un peu le côté vintage voir dépassé (que l'on retrouve dans les films) compte tenu du fait que ces romans date des années 50. L'histoire de ce tome se passe à Bonifacio en Corse, sur la belle île de beauté, comme le titre le laisse entendre. Les descritions de l'île et de la cité sont magnifiques et permettent de bien comprendre l'ambiance qui y règne. On y retrouve Hubert qui va enquêter sur une disparition suspecte d'un espion de la CIA très entrainé lors d'une plongée sous marine. Un petit côté James Bond, mais très frenchy quand même! avec des répliques et des jeux de mots cultes et très drôles. J'adore les petits clichés sur les Corses, qui ne manquent pas de piquants (à prendre au second degré!). Brigitta, le personnage féminin, est lui aussi très cliché, mais ça passe plutôt bien! Et on lui découvre une certaine sensibilité, sous...
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  • liliaza 09/10/2020
    Comme beaucoup de personnes j’ai découvert Hubert Bonisseur de la Bath avec les films de Jean Dujardin. Je les ai beaucoup appréciés et je voulais savoir si le personnage était fidèle au roman. La réponse est non mais je me suis bien amusée quand même. Notre histoire commence par de la plongée sous-marine en Corse. Très vite nous partons dans un bon roman d’espionnage à l’état pur. OSS 117 c’est l’espionnage basé sur des faits réels. On combat toujours les mêmes ennemis, presque par les mêmes moyens. Ici pas de James Bond avec plein de gadgets mais un espion avec son révolver tout simplement. On retrouve le stéréotype des jeunes femmes qui aident Hubert pour ses missions... et plus si affinités. Je n’aime pas les romans d’espionnage ni les films d’espionnage mais là c'était très sympa. Je me suis prise au jeu. Ce roman est très court (192 pages). Cela peut sembler peu mais pour un roman d’espionnage c’est bien. Sinon on se lasse. Très vite je me suis dit : je lirais les autres tomes. Pas tous bien sûr mais c’est une bonne découverte. L'écriture est très basique et sans furioritures. On pourrait être déçu mais il faut se souvenir que l'auteur devait sortir entre 6 et 10 livres par an.Comme beaucoup de personnes j’ai découvert Hubert Bonisseur de la Bath avec les films de Jean Dujardin. Je les ai beaucoup appréciés et je voulais savoir si le personnage était fidèle au roman. La réponse est non mais je me suis bien amusée quand même. Notre histoire commence par de la plongée sous-marine en Corse. Très vite nous partons dans un bon roman d’espionnage à l’état pur. OSS 117 c’est l’espionnage basé sur des faits réels. On combat toujours les mêmes ennemis, presque par les mêmes moyens. Ici pas de James Bond avec plein de gadgets mais un espion avec son révolver tout simplement. On retrouve le stéréotype des jeunes femmes qui aident Hubert pour ses missions... et plus si affinités. Je n’aime pas les romans d’espionnage ni les films d’espionnage mais là c'était très sympa. Je me suis prise au jeu. Ce roman est très court (192 pages). Cela peut sembler peu mais pour un roman d’espionnage c’est bien. Sinon on se lasse. Très vite je me suis dit : je lirais les autres tomes. Pas tous bien sûr mais c’est une bonne découverte. L'écriture est très basique et sans furioritures. On pourrait être déçu mais il faut se souvenir que l'auteur...
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  • LesChroniquesDUneNantaise 01/10/2020
    J'ai beaucoup aimé me plonger dans des aventures d'OSS 117 que je ne connaissais, car comme beaucoup, c'est un personnage que j'ai découvert à travers les films. Je suis donc heureuse que les 8 romans soient réédités à l'occasion de la sortie du troisième film et j'espère lire prochainement d'autres aventures d'OSS 117 dont j'apprécie les rebondissements, le rythme ainsi que l'humour.
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  • Dans les médias
    Archipoche

    Les aventures d'OSS 117 sont de retour en librairie!

    Le 4 août 2021 sortira en salles "Alerte rouge en Afrique noire", le troisième opus de la série OSS 117 rendue célèbre par Jean Dujardin et ses répliques culte, qui ont déjà conquis 5 millions de spectateurs. Un film réalisé par Nicolas Bedos. Dès le 8 juillet, quatre aventures d'Hubert Bonisseur de la Bath, seront à nouveau disponibles.

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