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Pas de bavards à la Muette
Date de parution : 19/07/2012
Éditeurs :
12-21

Pas de bavards à la Muette

Date de parution : 19/07/2012

Les Nouveaux Mystères de Paris : 16e arrondissement

Il se passa alors quelque chose d’inattendu. Elle portait une longue et ample robe de satin noir, décolletée au maximum, d’où émergeaient...

Les Nouveaux Mystères de Paris : 16e arrondissement

Il se passa alors quelque chose d’inattendu. Elle portait une longue et ample robe de satin noir, décolletée au maximum, d’où émergeaient ses bras et ses épaules… et cette robe glissa brusquement du corps de la fille, s’amoncelant en un tas soyeux...

Les Nouveaux Mystères de Paris : 16e arrondissement

Il se passa alors quelque chose d’inattendu. Elle portait une longue et ample robe de satin noir, décolletée au maximum, d’où émergeaient ses bras et ses épaules… et cette robe glissa brusquement du corps de la fille, s’amoncelant en un tas soyeux autour de ses chevilles.
Et Suzanne m’apparut nue comme un ver, sans slip ni feuille de vigne, sans rien que sa beauté, et toute droite, sculpturale, ses seins menus, gonflés de jeune sève, frémissants, toute droite et immobile, magnifique d’impudicité, comme surgissant d’une fleur vénéneuse.
Je lâchai prise, un peu soufflé. Elle en connaissait des trucs pour vous couper le respir, cette Marie-Chantal !

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EAN : 9782265095106
Code sériel : 8
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265095106
Code sériel : 8
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jcjc352 06/06/2021
    La Muette sud du XVI arrt de Paris nouveau terrain d’aventure du privé Nestor Burma Le quartier huppé c’est de l’inédit pour lui. Nestor se verra confié par une rombière du XVI la recherche de ses bijoux volés par son chauffeur et accessoirement amant licencié. Job a sa portée plus a l’aise avec les petites frappes et les pétards que les ronds de jambes et les subtilité mondaines de salon. Peu enclin aux finesses du beau linge il aura même l’audace de souffleter madame en pleine crise de nerfs il est vrai moment pas très agréable nous dit-il mais au combien salvateur pour madame et lui-même aussi mais n’anticipons pas Surtout ne mettons pas la charrue avant les bourrins …comme Nestor Celui-ci qui envisageait une sinécure sans bavures et quelques biftons flambants neufs en sera pour ses frais et malgré sa maîtrise de situations demandant tact et doigté il verra son enquête se transformer en un tel imbroglio qu’il mettre tout un livre à le résoudre c’est dire l’ os sur lequel il est tombé! Coté barbeaux il rencontrera un ex petit patron d’une entreprise de service qui lui expliquera ce que sont les « ballets roses », un petit caïd judoka tout en ippon seoi nage et kata guruma que Nestor goûtera guère, et des grosses pointures du milieu dont quelques anciens ayant eu des liens avec la collaboration qui travaillait autrefois à la baignoire justement dans le quartier. Coté femme très bien servi par Hélène toujours aussi soyeuse et parfois cagole , irrévérencieuse et salariée, la vioque du XVI sainte nitouche en trompe l’œil, sa jolie nièce dans le cirage et la bonniche accorte (On ne pourrait pas dire la même chose de Nestor dans la mesure où l’adjectif masculin n’existe pas mais bon aimable peut-être ) de l’hôtel Coté bourres, Florimond Faroux jamais bien loin mais souvent après mais parfois, reconnaissons-le à temps pour éviter de gros désagrément à Nestor. Donc des bijoux à récupérer et peut-être carrément un trésor de l’ Abwehr de quoi mettre l’eau à la bouche de Nestor dont la trésorerie est toujours au plus bas et ce n’est pas une tentative d’homicide sur sa personne qui va le décourager. Toujours où il ne faut pas Nestor mais va-t-il se prendre, comme d’habitude, un coup sur l’occiput avec un objet contondant ? « Avez-vous déjà giflé une respectable dame d’une cinquantaine de piges ? » non répondrions-nous mais Burma si ! ce n’était pas de gaîté de coeur mais l’occasion fait le larron et puis c’était thérapeutique ! La Muette sud du XVI arrt de Paris nouveau terrain d’aventure du privé Nestor Burma Le quartier huppé c’est de l’inédit pour lui. Nestor se verra confié par une rombière du XVI la recherche de ses bijoux volés par son chauffeur et accessoirement amant licencié. Job a sa portée plus a l’aise avec les petites frappes et les pétards que les ronds de jambes et les subtilité mondaines de salon. Peu enclin aux finesses du beau linge il aura même l’audace de souffleter madame en pleine crise de nerfs il est vrai moment pas très agréable nous dit-il mais au combien salvateur pour madame et lui-même aussi mais n’anticipons pas Surtout ne mettons pas la charrue avant les bourrins …comme Nestor Celui-ci qui envisageait une sinécure sans bavures et quelques biftons flambants neufs en sera pour ses frais et malgré sa maîtrise de situations demandant tact et doigté il verra son enquête se transformer en un tel imbroglio qu’il mettre tout un livre à le résoudre c’est dire l’ os sur lequel il est tombé! Coté barbeaux il rencontrera un ex petit patron d’une entreprise de service qui lui...
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  • caryatide 23/02/2021
    Léo Malet l'a dit dans différentes interview, il n'aime pas le XVIe arrondissement et il le connait mal. Mais, moi qui ai passé sept ans de ma vie, pour des raisons scolaires, rue du Ranelagh, pratiquement en face de l'hôtel particulier dont la propriétaire a embauché Nestor Burma, le célèbre détective, j'ai tout retrouvé...Le hameau de Boulainvillier (mon lycée y débordait) et la rue du même nom ou Nestor prend des "vacances", la petite rue Berton (sur la couverture de l'édition de 1972), avec ses pavés (l'arrière de la maison de Balzac donne dans cette rue, et on dit que le maître s'y échappait quand les huissiers se faisaient trop pressants), le canyon de la rue de L'Alboni où passe le métro avant de s'élancer sur le pont de Bir Hakeim et bien sûr les coteaux de la Seine en bas de la rue Raynouard, puisque dans ce livre c'est à coup d'escalier que le crâne de Nestor est attaqué... Oui, voila Nestor Burma dans le beau monde. Madame Ailot a besoin de ses services. la dame est proche (peut être trop proche) de ses chauffeurs et le dernier en date, sans doute mécontent du cadeau de rupture est parti avec l'ensemble de ses bijoux.Nestor est envoyé en négociateur pour les récupérer, avec peut être un dédommagement. Il doit bien pouvoir faire ça en étant discret ? Oui, bien sûr ! Le voila installé dans le même hôtel que le chauffeur pour entamer la discussion. Mais les choses ne vont pas être si simples, on s'en doute. Le XVIe, c'est moins pittoresque que le Marais ou les Halles surtout à l'époque où les romans sont écrit mais on peut compter sur Léo Malet pour nous écrire une bonne histoire quand même...Léo Malet l'a dit dans différentes interview, il n'aime pas le XVIe arrondissement et il le connait mal. Mais, moi qui ai passé sept ans de ma vie, pour des raisons scolaires, rue du Ranelagh, pratiquement en face de l'hôtel particulier dont la propriétaire a embauché Nestor Burma, le célèbre détective, j'ai tout retrouvé...Le hameau de Boulainvillier (mon lycée y débordait) et la rue du même nom ou Nestor prend des "vacances", la petite rue Berton (sur la couverture de l'édition de 1972), avec ses pavés (l'arrière de la maison de Balzac donne dans cette rue, et on dit que le maître s'y échappait quand les huissiers se faisaient trop pressants), le canyon de la rue de L'Alboni où passe le métro avant de s'élancer sur le pont de Bir Hakeim et bien sûr les coteaux de la Seine en bas de la rue Raynouard, puisque dans ce livre c'est à coup d'escalier que le crâne de Nestor est attaqué... Oui, voila Nestor Burma dans le beau monde. Madame Ailot a besoin de ses services. la dame est proche (peut être trop proche) de ses chauffeurs et le dernier en date, sans doute mécontent du cadeau de rupture est parti avec...
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  • lehibook 22/02/2021
    Nestor chez les bourges !Mais dans les beaux quartiers ou dans la zone il voit les macchabés joncher son chemin et les horions s’abattre sur son crâne . On est ici dans le beau linge mais aussi dans le glauque :amours ancillaires , arnaques , et pas si vieilles histoires de l’Occupation . C’est noir , mais l’intrigue repose un peu trop sur des coïncidences par contre quelques dialogues savoureux entre poulet et privé.
  • ArnaultMDuprez 10/08/2018
    Vado avanti, sempre fino ad esaurimento, delle opere non mio, dei romanzi con protagonista Nestor Burma. Il quadro, ormai lo conoscete: Parigi. La cornice è la Parigi della mia infanzia, coi i Renault TN, pullman a piattaforma, le Citroen 2 cv, le Renault 4 cv e le Juva 4, con le donne che di tanto in tanto si giravano discretamente per riagganciare qualche reggicalze che lasciava. In questo romanzo siamo nel 16°, le quartier chic per excellenza, i Parioli di Roma o la Crocetta a Torino per fare un paragone. Silenzi e Hotel particulier, servitù in gilet ed autisti vestiti alla cavallerizza. Ma ovviamente, non tutto quello brilla è oro. A 10 anni della fine della guerra i postumi della suddetta si fanno ancora sentire, dei miti come il tesoro dell’Abwher sono ancora vivi e rodano più di una persona, sentimenti antisemiti sempre molti forti provocano danni, per questo non si è evoluto granché. Tutto ciò condito la scrittura surrealista di Malet fanno una miscela esplosiva.
  • Marti94 08/03/2017
    Une nouvelle enquête de Nestor Burma qui, une fois n'est pas de mise, se passe dans les beaux quartiers. "Pas de bavards à la muette" est le 8eme roman noir de l'excellente série de Léo Malet "Les nouveaux mystères de Paris". Publié en 1956, c'est dans le 16eme arrondissement de Paris que l'enquête du détective privé va se dérouler. Mme Ailot est riche. Elle vit dans un hôtel particulier du quartier de la Muette mais elle va devoir faire appel à Nestor Burma pour éviter un scandale car elle s'est fait voler des bijoux par son ex-chauffeur Celestin (qui se nomme en réalité Yves Benech). Elle a peur que son mari le découvre et qu'il s'interroge sur les raisons de ce vol. Burma décide donc de s'installer dans l'hôtel du gigolo mais on apprend vite que, contrairement aux apparences, le quartier n'est pas si calme qu'il en a l'air. Coup monté et mise en scène nous montrent que les voyous ne vivent pas que dans les quartiers populaires. Il semblerait que chez les riches il y a pas mal de gens mal intentionnés. Ce sont ses allures de roman social et historique qui donnent beaucoup d'intérêt à ce polar.
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