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Passez-moi la Joconde
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Passez-moi la Joconde

Date de parution : 28/10/2010

Un petit loulou de Poméranie qui se tortille dans la clarté de mes phares. Il vient de se faire ratatiner par une voiture.

Moi, bonne pomme, je descends pour lui administrer la potion calmante et définitive.

Et voilà !

Je viens de mettre le doigt dans un engrenage qui conduit à une Joconde au sourire plutôt inquiétant.

EAN : 9782265091108
Code sériel : 9
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091108
Code sériel : 9
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 06/04/2023
    Le neuvième San Antonio. Cette fois notre héros est en vacances. Enfin, en principe. Car un chien (mort, écrasé) va mettre entre parenthèses le repos de notre ami. Un collier (de chien) explosif va éparpiller « façon puzzle » ( et pourtant « ils ne connaissaient pas Raoul » !) deux personnes dans la voiture même de San Antonio. Du coup, exit les vacances il va bien falloir qu’il mène l’enquête, le pépère ! Celle-ci sera menée en butinant de « sauterelle en sauterelle » (vous connaissez le zig !) sans oublier de s’hydrater le gosier régulièrement, cela va s’en dire… Bref, un S.A. sympathique, dans la lignée des précédents.
  • galyalain 05/04/2023
    Nous sommes au 9° opus de la série, avec une situation assez particulière : SAN-A. en promenade avec Sonia, et son futur beau-papa. Mais le beau tableau ne va pas durer, vous vous en doutez ! Nous ne sommes pas encore dans « du grand SAN-A », mais il s’agit là d’une lecture plaisante annonciatrice, quoi que l'on en pense, de ce monument de la littérature.
  • lecassin 05/07/2022
    Passez-moi la Joconde, Fleuve Noir 1954, 1er trimestre. On est en1954, San-Antonio prend quelques vacances et prend également la route de Grenoble où un ami tient un hôtel ; le bon air de la montagne… a moins que ce ne soit l’air con de voir sa bagnole partir en l’air avec ses deux occupants, Sonia, une donzelle comaq qui se proposait d’épouser notre héros favori (j’en rigole encore) et son père. Tout ça pour avoir récupéré quelques jours plus tôt, l’étrange collier d’un chien buté sur la route… Un San-Antonio bien dans son époque : une intrigue correcte, de la vigueur, du rythme… Bon… Néanmoins, pas de Béru si ce n’est dans des citations du genre : « comme dit mon collègue Bérurier », une fois… Donc, le compte n’y est pas… Patience, ça va venir. A noter l’ouverture du Kâmasûtra imagé de notre tombeur de commissaire : Elle avait un petit talent de société. Elle son vice, c'était la brouette chinoise ». Et toujours ce langage ciselé qui fait mouche à tous les coups « Comme quoi, y’a des flics qui sont marqués par le destin, comme dit Félicie, ma brave femme de mère. Ainsi ma pomme, par exemple ! Je suis dans un coinceteau de montagne, peinard comme Baptiste à enfourailler une poupée de l’espèce sublime, et voilà que mon p… de destin vient me faire du contrecarre ». Une lecture plaisante, malgré tout, pour qui se passionne comme moi de la littérature de cet après-guerre qui produira tant de chef d’œuvres. Passez-moi la Joconde, Fleuve Noir 1954, 1er trimestre. On est en1954, San-Antonio prend quelques vacances et prend également la route de Grenoble où un ami tient un hôtel ; le bon air de la montagne… a moins que ce ne soit l’air con de voir sa bagnole partir en l’air avec ses deux occupants, Sonia, une donzelle comaq qui se proposait d’épouser notre héros favori (j’en rigole encore) et son père. Tout ça pour avoir récupéré quelques jours plus tôt, l’étrange collier d’un chien buté sur la route… Un San-Antonio bien dans son époque : une intrigue correcte, de la vigueur, du rythme… Bon… Néanmoins, pas de Béru si ce n’est dans des citations du genre : « comme dit mon collègue Bérurier », une fois… Donc, le compte n’y est pas… Patience, ça va venir. A noter l’ouverture du Kâmasûtra imagé de notre tombeur de commissaire : Elle avait un petit talent de société. Elle son vice, c'était la brouette chinoise ». Et toujours ce langage ciselé qui fait mouche à tous les coups « Comme quoi, y’a des flics qui sont marqués par le destin, comme dit Félicie, ma brave femme de mère. Ainsi ma pomme, par exemple ! Je...
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  • cegeglyx 13/04/2022
    Excellent petit polar dont le style très parigot est un plaisir de chaque instant. L'intrigue est certes simple, mais raconter une histoire compliquée n'est pas l'objectif de l'auteur. Non, ce qu'il veut, c'est nous faire rire, nous faire vibrer, et restituer le langage argotique d'une certaine époque, si imagé, en le déformant le moins possible. Ah oui, et notez que le personnage principal est totalement déjanté, ceux qui souhaitent des livres moraux peuvent passer leur chemin.
  • MrVladdy 04/04/2022
    Neuvième aventure de notre Commissaire San Antonio et ses histoires se suivent... et ne se ressemble pas. Alors oui, en surface, la recette est la même. On est dans du San Antonio et il suffit de prendre n'importe quel page de l'ouvrage au hasard pour s'en rendre compte. Le style est inimitable tant Frédéric Dard le manie avec brio. Mais l'auteur parvient toujours à nous surprendre avec son style, son phrasé et l'intelligence de son récit malgré ses apparences légères. Je peux comprendre après que le style ne plaise pas à tout le monde mais pour ma part, je suis toujours conquis. Il faut remettre ce texte dans son époque mais au moins, c'est assumé à fond. C'est d'ailleurs ici que l'on découvre les premières positions loufoques du Kâmasûtra san-antonien qui même si elle ne sont pas décrites, nous font sourire juste avec leurs noms (La brouette chinoise, la fleur tropicale, le soleil de minuit, papa-maman chez les turcs...). Ca se lit vite, c'est fluide, c'est rapide et c'est toujours plaisant pour moi.
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