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Petite musique de la mort
Hélène Prouteau (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018
Éditeurs :
12-21
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Petite musique de la mort

Hélène Prouteau (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018

Assassinée, la cantatrice Ida Rosenkrantz n’a pas fini de taire ses secrets. Les pistes sont minces et la liste vertigineuse de ses amants multiplie les suspects. Pour pénétrer le caractère...

Assassinée, la cantatrice Ida Rosenkrantz n’a pas fini de taire ses secrets. Les pistes sont minces et la liste vertigineuse de ses amants multiplie les suspects. Pour pénétrer le caractère complexe et instable de la victime, Max Liebermann devra pousser plus loin que jamais son raisonnement. Mais il est difficile...

Assassinée, la cantatrice Ida Rosenkrantz n’a pas fini de taire ses secrets. Les pistes sont minces et la liste vertigineuse de ses amants multiplie les suspects. Pour pénétrer le caractère complexe et instable de la victime, Max Liebermann devra pousser plus loin que jamais son raisonnement. Mais il est difficile de faire parler les morts quand les vivants s’en mêlent… 

Frank Tallis nous livre un éclatant final et pose avec maestria la dernière note à sa partition viennoise.

Traduit de l’anglais Hélène Prouteau 

INEDIT

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EAN : 9782823868876
Code sériel : 4461
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823868876
Code sériel : 4461
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Crazynath 02/07/2022
    Sixième volet de la série de Frank Tallis intitulée « Les carnets de Max Liebermann », « petite musique de la mort » va nous emmener, comme on peut s’en douter au vu de son titre, dans le monde de la musique. Un milieu dans lequel ne peuvent que se plaire les deux mélomanes que sont l’inspecteur Oskar Reinhardt et son ami le psychiatre Max Liebermann. Une cantatrice relativement célèbre à Vienne est retrouvée morte à son domicile. Si on peut penser au début qu’il s’agit d’un suicide, des éléments vont faire comprendre à Reinhardt qu’il s’agit d’un meurtre. Mais qui pouvait donc avoir intérêt à tuer cette jeune femme qui était assez volage, il faut le dire ? Les suspects ne vont pas manquer, et c’est tout naturellement qu’Oskar et Max vont se tourner vers les musiciens qui travaillaient avec la jeune femme. Leur enquête va leur faire rencontrer le directeur de l’opéra de Vienne, Gustav Mahler. Une rencontre qui va marquer les deux héros, car Mahler est connu pour sa forte personnalité. Un épisode qui est aussi étroitement lié à la politique de l’Autriche-Hongrie, et l’on d’ailleurs croiser le vieil empereur François-Joseph. A l’issue de la lecture de cet épisode, je ne peux que confirmer le fait que j’aime vraiment beaucoup cette série… Challenge Mauvais Genres 2022 Challenge A travers l’histoire 2022 Sixième volet de la série de Frank Tallis intitulée « Les carnets de Max Liebermann », « petite musique de la mort » va nous emmener, comme on peut s’en douter au vu de son titre, dans le monde de la musique. Un milieu dans lequel ne peuvent que se plaire les deux mélomanes que sont l’inspecteur Oskar Reinhardt et son ami le psychiatre Max Liebermann. Une cantatrice relativement célèbre à Vienne est retrouvée morte à son domicile. Si on peut penser au début qu’il s’agit d’un suicide, des éléments vont faire comprendre à Reinhardt qu’il s’agit d’un meurtre. Mais qui pouvait donc avoir intérêt à tuer cette jeune femme qui était assez volage, il faut le dire ? Les suspects ne vont pas manquer, et c’est tout naturellement qu’Oskar et Max vont se tourner vers les musiciens qui travaillaient avec la jeune femme. Leur enquête va leur faire rencontrer le directeur de l’opéra de Vienne, Gustav Mahler. Une rencontre qui va marquer les deux héros, car Mahler est connu pour sa forte personnalité. Un épisode qui est aussi étroitement lié à la politique de l’Autriche-Hongrie, et l’on d’ailleurs croiser le vieil empereur François-Joseph. A l’issue de la lecture de cet épisode, je ne...
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  • nanouche 18/04/2022
    Vienne, 1903. Une chanteuse d'opéra à succès, Ida Rosenkrantz, est retrouvée morte dans sa chambre. Accident, suicide par excès de laudanum ? A l'autopsie la découverte d'une côte cassée laisse penser qu'elle aurait pu être assassinée. L'inspecteur Rheinhardt mène l'enquête dans les plus hautes sphères de la société viennoise que fréquentait Ida. Comme d'habitude Rheinhardt reçoit l'aide de son ami, le psychiatre Max Liebermann. En parallèle de cette enquête dans le présent Max Liebermann s'interroge aussi sur la mort prématurée, 40 ans plus tôt, du compositeur David Freimark. Là aussi l'accident apparent ne serait-il pas en fait un crime ? C'est la musique -plus ses talents professionnels- qui permettra au psychiatre de résoudre cette deuxième affaire que j'ai trouvée plus intéressante que la première. Enfin notre héros progresse dans sa relation avec miss Lydgate à partir du moment où celle-ci décide de prendre un peu les choses en main. J'ai retrouvé avec plaisir les personnages de cette série que j'apprécie et qui m'a procuré un bon moment de lecture. L'arrière-plan historique nous montre un empereur François-Joseph vieillissant, fragilisé par des scandales et par la montée de l'antisémite Lueger, bourgmestre de Vienne. Dans les confins de l'empire les minorités s'agitent et nos personnages s'en inquiètent tout en voulant croire que le pire ne viendra pas : "- Le bourgmestre, le palais et comme si ça ne suffisait pas, maintenant la Serbie ! - La Serbie ? - Les assassinats ! Mon collègue Hohenwart pense qu'il va y avoir une guerre. - C'est impossible. La Serbie n'est pas un pays assez important. Quelques escarmouches, peut-être..." La quatrième de couverture nous annonce que cet ouvrage est le dernier de la série. Pourtant à la lecture je ne trouve rien de définitif. Moi aussi je veux croire que cela ne sera pas.Vienne, 1903. Une chanteuse d'opéra à succès, Ida Rosenkrantz, est retrouvée morte dans sa chambre. Accident, suicide par excès de laudanum ? A l'autopsie la découverte d'une côte cassée laisse penser qu'elle aurait pu être assassinée. L'inspecteur Rheinhardt mène l'enquête dans les plus hautes sphères de la société viennoise que fréquentait Ida. Comme d'habitude Rheinhardt reçoit l'aide de son ami, le psychiatre Max Liebermann. En parallèle de cette enquête dans le présent Max Liebermann s'interroge aussi sur la mort prématurée, 40 ans plus tôt, du compositeur David Freimark. Là aussi l'accident apparent ne serait-il pas en fait un crime ? C'est la musique -plus ses talents professionnels- qui permettra au psychiatre de résoudre cette deuxième affaire que j'ai trouvée plus intéressante que la première. Enfin notre héros progresse dans sa relation avec miss Lydgate à partir du moment où celle-ci décide de prendre un peu les choses en main. J'ai retrouvé avec plaisir les personnages de cette série que j'apprécie et qui m'a procuré un bon moment de lecture. L'arrière-plan historique nous montre un empereur François-Joseph vieillissant, fragilisé par des scandales et par la montée de l'antisémite Lueger, bourgmestre de Vienne. Dans les confins de l'empire les minorités s'agitent et nos personnages s'en...
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  • Nitocris2021 13/04/2022
    Un opus savoureux qui fait la part belle à la musique tant dans l'intrigue principale que dans l'intrigue secondaire. L'histoire de Liebermann et Amelia Lydgate bouge enfin et on croise l'empereur François-Joseph. Une lecture savoureuse et instructive.
  • Selket 19/07/2021
    Une soprano de l'Opéra de Vienne est découverte morte. Oskar et Max enquête dans le milieu très fermé de la musique et son confrontés à ses ramifications politiques. L'enquête est peu développée et c'est surtout le contexte historique (prémisses de la première guerre mondiale) qui se trouve au premier plan.
  • Sharon 25/11/2020
    Roman facile à lire. C’est un premier point, je l’ai lu très rapidement, comme les tomes 1 et 2 de la série. Roman facile et donc agréable à lire ne suffit pourtant pas un roman superficiel. Nous sommes dans la Vienne du début du XXe siècle et s’il est un fait qui domine, qui (me) choque, c’est l’antisémitisme profondément ancré dans la société. Ce n’est pas détesté, conspué un être humain à cause de sa religion qui est considéré comme anormal, c’est l’apprécier, être ami avec lui, comme le commissaire avec Max Liebermann. Affaire délicate s’il en est : la cantatrice Ida Rosenkrantz est morte. Un suicide ? Cela arrangerait à peu près tout le monde. Le problème est que ce n’est pas le cas, Ida Rosenkrantz a été assassinée. Qui avait intérêt à la faire taire ? Quel secret a-t-elle emporté dans la tombe ? Avec elle, nous découvrons l’opéra de Vienne, et nous suivons Gustav Malher, directeur, chef d’orchestre peu apprécié par ses musiciens, par ses chanteurs. Pourquoi ? Oh, c’est très simple, ai-je envie de dire. Pour Malher, seule la musique compte. Exigeant, il demande le meilleur à son orchestre, à ses chanteurs. Il est hors de question pour lui de laisser les approximations, d’oublier des notes, voire même des instruments parce que son titulaire est parti – il avait autre chose à faire que rester jusqu’au bout du concert. Quand on bouscule les habitudes, quand on demande de la rigueur et de l’investissement, cela peut générer de l’animosité, et certains musiciens sont prêts à aller très loin pour nuire au maître. La musique ? Elle ne semble même pas avoir d’intérêt pour eux, pas même pour les cantatrices qui, dans la vie, cherchent tout autre chose qu’une belle carrière, des rôles magnifiques. Non : le mariage, une belle position sociale leur convient mieux. Est-ce là la véritable cause de la mort de Ida Rosenkrantz ? Peut-être. L’enquête ne nous fait pas seulement découvrir l’opéra, il nous mène aussi tout prêt de la cour impériale – Ida n’était-elle pas soignée par le médecin de feu l’impératrice ? Déplaire à l’empereur, débusquer un de ses secrets, c’est la disgrâce assurée. Ou pire. Il faut toujours prévoir le pire dans cette ville où une vie ne vaut pas tant que cela. Petite musique de la mort est un roman policier et historique riche d’enseignement et de questionnement, sur la place des femmes dans la société et dans l’art. Si je suis plus circonspecte sur l’aspect « psychanalytique », en revanche, j’ai été sensible au personnage de Max Liebermann et Oskar Reinhart, qui s’interrogent, justement, sur ce qu’ils croient savoir sur la femme, sur ses désirs, sur ce qu’elle est capable de faire ou pas. Une belle enquête musicale.Roman facile à lire. C’est un premier point, je l’ai lu très rapidement, comme les tomes 1 et 2 de la série. Roman facile et donc agréable à lire ne suffit pourtant pas un roman superficiel. Nous sommes dans la Vienne du début du XXe siècle et s’il est un fait qui domine, qui (me) choque, c’est l’antisémitisme profondément ancré dans la société. Ce n’est pas détesté, conspué un être humain à cause de sa religion qui est considéré comme anormal, c’est l’apprécier, être ami avec lui, comme le commissaire avec Max Liebermann. Affaire délicate s’il en est : la cantatrice Ida Rosenkrantz est morte. Un suicide ? Cela arrangerait à peu près tout le monde. Le problème est que ce n’est pas le cas, Ida Rosenkrantz a été assassinée. Qui avait intérêt à la faire taire ? Quel secret a-t-elle emporté dans la tombe ? Avec elle, nous découvrons l’opéra de Vienne, et nous suivons Gustav Malher, directeur, chef d’orchestre peu apprécié par ses musiciens, par ses chanteurs. Pourquoi ? Oh, c’est très simple, ai-je envie de dire. Pour Malher, seule la musique compte. Exigeant, il demande le meilleur à son orchestre, à ses chanteurs. Il est hors de question...
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