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P.S.: Tu me manques
Maud Ortalda (traduit par)
Date de parution : 05/09/2019
Éditeurs :
12-21

P.S.: Tu me manques

Maud Ortalda (traduit par)
Date de parution : 05/09/2019
Cilla, la soeur aînée d’Evie, n’est plus là. Enceinte à seize ans, elle a été envoyée en pension à des centaines de kilomètres… Alors, Evie lui écrit chaque jour ou... Cilla, la soeur aînée d’Evie, n’est plus là. Enceinte à seize ans, elle a été envoyée en pension à des centaines de kilomètres… Alors, Evie lui écrit chaque jour ou presque : elle lui raconte son quotidien d’adolescente, le collège, la comédie musicale à laquelle elle participe, l’arrivée à l’école... Cilla, la soeur aînée d’Evie, n’est plus là. Enceinte à seize ans, elle a été envoyée en pension à des centaines de kilomètres… Alors, Evie lui écrit chaque jour ou presque : elle lui raconte son quotidien d’adolescente, le collège, la comédie musicale à laquelle elle participe, l’arrivée à l’école d’une nouvelle, June, qui fait battre son coeur un peu trop fort… Pour toute réponse, Evie ne reçoit que deux lettres, glaciales, comme si Cilla voulait couper les ponts. Convaincue que sa soeur est en danger, Evie part à sa recherche…
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EAN : 9782823855135
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823855135
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • barangermelanie 20/10/2023
    Ce roman... ❤️ Une couverture magnifique, un résumé attrayant et une histoire !! Une histoire merveilleuse. C’est un véritable coup de cœur. Dès personnages principaux et secondaires touchants parfaitement travaillé, avec des émotions qui nous transportent complètement des les premieres pages. Tant et si bien que j'ai eu un mal fou à décrocher du livre... c'est finalement mon homme qui, au vu de l'heure m'a obligé a m'arrêter... a 5 chapitres de la fin !! J'ai du attendre le lendemain, quel supplice ! C'est un vrai bonheur d'avoir pu découvrir ce roman !!
  • SidOly 30/05/2023
    Ce premier roman est un roman épistolaire. Evie, 12 ans, écrit à Cilla, sa sœur aînée qui a été envoyée chez la grande tante Maureen, au fin fond d'une vieille ferme à 6h de route. Cilla et ses parents, très religieux, se sont opposés très violemment parce qu'à 16 ans, elle s'est retrouvée enceinte. Elle s'est d'abord battue pour garder son bébé puis a fini par céder, accepter de le faire adopter, de partir vivre la fin de la grossesse chez la tante Maureen et envisager d'aller dans un internat pour ne pas revenir à la maison. Mais Evie ne l'entend pas de cette oreille : Cilla lui manque et elle lui écrit, souvent, longtemps. Malgré l'absence de réponse, elle continue. Et elle raconte, l'ambiance à la maison, les questions qu'elle se pose par rapport à la naissance du bébé, au projet d'adoption, et sa vie, la rentrée qui approche... J'ai été très touchée par cette correspondance à sens unique, par cette petite sœur qui ose dire son amour pour sa grande sœur, qui en écrivant se pose des questions et se forge progressivement son opinion. Beaucoup de sujet sont abordés par Evie, au-delà de la grossesse adolescente, les premières relations amoureuses, la religion, les contradictions voire les mensonges des parents et, la découverte de son homosexualité. Un très beau roman jeunesse ! Ce premier roman est un roman épistolaire. Evie, 12 ans, écrit à Cilla, sa sœur aînée qui a été envoyée chez la grande tante Maureen, au fin fond d'une vieille ferme à 6h de route. Cilla et ses parents, très religieux, se sont opposés très violemment parce qu'à 16 ans, elle s'est retrouvée enceinte. Elle s'est d'abord battue pour garder son bébé puis a fini par céder, accepter de le faire adopter, de partir vivre la fin de la grossesse chez la tante Maureen et envisager d'aller dans un internat pour ne pas revenir à la maison. Mais Evie ne l'entend pas de cette oreille : Cilla lui manque et elle lui écrit, souvent, longtemps. Malgré l'absence de réponse, elle continue. Et elle raconte, l'ambiance à la maison, les questions qu'elle se pose par rapport à la naissance du bébé, au projet d'adoption, et sa vie, la rentrée qui approche... J'ai été très touchée par cette correspondance à sens unique, par cette petite sœur qui ose dire son amour pour sa grande sœur, qui en écrivant se pose des questions et se forge progressivement son opinion. Beaucoup de sujet sont abordés par Evie, au-delà de la grossesse adolescente, les premières...
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  • whatslunareading 13/04/2021
    P.S Tu me manques est un roman épistolaire dans lequel nous lisons les lettres de la jeune Evie, dont la sœur a quitté le foyer familial en raison de sa grossesse. Cilla a 16 ans quand elle tombe enceinte, elle souhaite garder le bébé, mais ses parents qui sont catholiques et stricts ne sont pas du même avis, ils l’envoient alors loin, chez une grande-tante pour la suite de sa grossesse. Evie ne comprend pas et n’accepte pas le choix de ses parents. Pour que sa sœur ne l’oublie pas, elle commence à lui envoyer des lettres, dans lesquelles elle raconte sa vie à l’école, ses doutes, ses sentiments, de la haine, mais aussi de l’amour, et la remise en question de sa religion mais également son orientation sexuelle. Evie aime June, mais elle ne l’aime pas comme elle aime Katie et Maggie, ses copines d’école. C’était un roman contemporain intéressant, sûrement issu du problem novel, le résumé m’avait attirée, je lis très peu de romans épistolaires et je me suis dit que ça me changerait de mes lectures habituelles. Malheureusement, j’ai trouvé le début vraiment très long à se mettre en place et je suis rentrée dans la lecture qu’à la première réponse aux lettres d’Evie (c’est-à-dire à la moitié du roman !). Je pense que le format des lettres y est pour quelque chose, mais aussi parce que ce n’était pas vraiment intéressant, faut dire que la vie de la petite collégienne de 12 ans n’est pas franchement folichonne, mais c’est le but aussi j’imagine. Ça n’a pas vraiment marché sur moi, je ne suis pas du genre à abandonner une lecture donc j’ai persisté, j’ai accroché aux cinquante dernières pages, au dénouement en fait. J’étais curieuse de savoir la fin, mais finalement je m’attendais à mieux, dans le sens où j’avais déjà deviné grâce à certains indices donnés dès le début, ce qu’il en advenait de toute cette histoire. La fin était néanmoins très émouvante, j’avoue que j’ai lâché quelques larmes, mais ce n’est pas une lecture qui me marquera, ça j’en suis certaine. La relation de June et Evie était très mignonne, ce sot peut-être les seuls passages que je n’ai pas sautés. Finalement, ce qui est intéressant ce sont les thèmes principaux du roman : la découverte de sa sexualité, la remise en question de sa religion et la grossesse de Cilla. Je pense qu’on aurait pu aller à l’essentiel avec ce roman, simplement, donc pour ma part, c'était sympa, un trop long, bien sur la fin mais sans plus.P.S Tu me manques est un roman épistolaire dans lequel nous lisons les lettres de la jeune Evie, dont la sœur a quitté le foyer familial en raison de sa grossesse. Cilla a 16 ans quand elle tombe enceinte, elle souhaite garder le bébé, mais ses parents qui sont catholiques et stricts ne sont pas du même avis, ils l’envoient alors loin, chez une grande-tante pour la suite de sa grossesse. Evie ne comprend pas et n’accepte pas le choix de ses parents. Pour que sa sœur ne l’oublie pas, elle commence à lui envoyer des lettres, dans lesquelles elle raconte sa vie à l’école, ses doutes, ses sentiments, de la haine, mais aussi de l’amour, et la remise en question de sa religion mais également son orientation sexuelle. Evie aime June, mais elle ne l’aime pas comme elle aime Katie et Maggie, ses copines d’école. C’était un roman contemporain intéressant, sûrement issu du problem novel, le résumé m’avait attirée, je lis très peu de romans épistolaires et je me suis dit que ça me changerait de mes lectures habituelles. Malheureusement, j’ai trouvé le début vraiment très long à se mettre en place et je suis rentrée dans la lecture qu’à...
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  • leslecturesdeDoris 19/07/2020
    P.-S. : Tu me manques est un roman particulier dont je me souviendrai sûrement longtemps. Tout d’abord, c’est un roman épistolaire, composé des lettres qu’Evie, 12 ans, envoie à sa sœur Cilla, 16 ans, envoyée chez sa tante pour cacher une grossesse problématique dans leur famille catholique ultra-pratiquante. Il n’y a que ces lettres, restées pour la plupart sans réponse. Evie y évoque ses interrogations par rapport à sa sœur, mais se pose aussi des questions sur sa vie quotidienne : la place et l’intérêt de la religion, le fait que ses parents n’évoquent plus Cilla, mais aussi sa sexualité. On suit le cheminement intellectuel de cette petite fille, très mature, parfois trop. Pour autant, cela parait juste, même si les mots utilisés ne sont pas toujours ceux d’une enfant. Elle s’interroge sur son monde, sur le fonctionnement de sa famille en la comparant aux autres, sur elle-même. Écrire est en fait un moyen d’introspection pour elle qui n’a personne à qui se confier. C’est un roman qui se lit bien. L’action n’est pas vraiment présente. En tant que lecteur, on soupçonne le fond de l’intrigue, mais tout est amené très doucement, de façon à rendre les émotions encore plus intenses. J’ai été touchée par Evie et je pense que ses mots résonneront particulièrement chez les adolescents. En résumé, P.-S. : Tu me manques est un roman tout doux, mais à la fois très grave,qui trouvera sans aucun doute un écho chez son public cible.P.-S. : Tu me manques est un roman particulier dont je me souviendrai sûrement longtemps. Tout d’abord, c’est un roman épistolaire, composé des lettres qu’Evie, 12 ans, envoie à sa sœur Cilla, 16 ans, envoyée chez sa tante pour cacher une grossesse problématique dans leur famille catholique ultra-pratiquante. Il n’y a que ces lettres, restées pour la plupart sans réponse. Evie y évoque ses interrogations par rapport à sa sœur, mais se pose aussi des questions sur sa vie quotidienne : la place et l’intérêt de la religion, le fait que ses parents n’évoquent plus Cilla, mais aussi sa sexualité. On suit le cheminement intellectuel de cette petite fille, très mature, parfois trop. Pour autant, cela parait juste, même si les mots utilisés ne sont pas toujours ceux d’une enfant. Elle s’interroge sur son monde, sur le fonctionnement de sa famille en la comparant aux autres, sur elle-même. Écrire est en fait un moyen d’introspection pour elle qui n’a personne à qui se confier. C’est un roman qui se lit bien. L’action n’est pas vraiment présente. En tant que lecteur, on soupçonne le fond de l’intrigue, mais tout est amené très doucement, de façon à rendre les émotions encore plus intenses. J’ai été...
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  • Takalirsa 18/04/2020
    Les lettres touchantes d'une adolescente à sa sœur disparue. Depuis que Cilla est partie, rien ne va plus à la maison. Les parents passent leur temps à crier et se disputer ("Papa s'énerve quand les choses se cassent. Peut-être que pour lui, tu as cassé quelque chose. Notre famille. L'image qu'il avait de toi. Ton avenir"). Evie vient d'une famille catholique pratiquante et elle comprend qu'ils ont honte de leur aînée tombée enceinte à 16 ans. Sauf que leur colère rejaillit sur leur seule fille présente ("Ils se sont mis à me crier dessus aussi. Ils me traitaient comme si c'était moi qui étais tombée enceinte") et elle souffre de ce climat familial tendu. D'autant que personne ne lui explique rien. Ses parents refusant tout dialogue, s'enferment dans le silence. Ce qui choque le plus Evie, c'est lorsqu'ils la présentent comme leur fille unique à un vieil ami retrouvé... Pourquoi mentir? Pourquoi renier Cilla? Renier leur amour pour elle? "Ça ne ressemble pas du tout aux enseignements de Jésus"... Evie s'interroge, mais Cilla n'est plus là pour l'écouter, la conseiller ("Tu n'es pas là pour le faire avec moi. Tu n'es pas là pour parler avec moi")... Un flot d'émotions la traverse, la colère, le sentiment d'abandon et le manque, surtout ("Je t'aime toujours"). Dans ses lettres, elle évoque toutes sortes de souvenirs et d'anecdotes qu'elles ont en commun, espérant donner envie à sa sœur de revenir. Et puis écrire, "ça rend le silence un peu moins oppressant". La vie continue malgré tout, et Evie raconte son (morne) quotidien de collégienne, ce qui lui donne "presque l'impression que tu étais là avec moi". En réalité, "ces lettres sont le dernier lien qui me connecte à toi"... L'adolescente se rend compte qu'elle n'est pas "la seule à souffrir", il y a maman qui passe son temps à pleurer, Alex le père du bébé, les amies de sa sœur qui s'inquiètent également. Et elle, Cilla, "qui doit se sentir encore plus seule que moi" chez tante Maureen à la campagne. Et toujours cette question lancinante: pourquoi ne répond-elle pas aux lettres? Les reçoit-elle bien? Peu à peu les certitudes d'Evie s'ébranlent. Encore plus lorsqu'elle fait la connaissance de June qui va l'amener à s'interroger sur tout un tas de sujets, à commencer par sa foi en Dieu: "Croire en Dieu est une habitude dans laquelle je me suis engluée. A présent je réfléchis, je pose des questions". Et sa correspondance avec Cilla, même à sens unique, l'aide à y voir plus clair: "Ecrire est devenu ma façon de comprendre les choses". Il lui faudra du courage, beaucoup de courage, pour agir "comme la personne que je veux être" face à l'attitude de ses parents, leur jugement, leurs mensonges, leur intolérance, leurs regrets ("Papa et maman n'ont pas toujours raison. Je le sais maintenant"). Mais Evie en est désormais persuadée: "Les choses changeront. Les choses ont déjà changé. Les choses continuent de changer".Les lettres touchantes d'une adolescente à sa sœur disparue. Depuis que Cilla est partie, rien ne va plus à la maison. Les parents passent leur temps à crier et se disputer ("Papa s'énerve quand les choses se cassent. Peut-être que pour lui, tu as cassé quelque chose. Notre famille. L'image qu'il avait de toi. Ton avenir"). Evie vient d'une famille catholique pratiquante et elle comprend qu'ils ont honte de leur aînée tombée enceinte à 16 ans. Sauf que leur colère rejaillit sur leur seule fille présente ("Ils se sont mis à me crier dessus aussi. Ils me traitaient comme si c'était moi qui étais tombée enceinte") et elle souffre de ce climat familial tendu. D'autant que personne ne lui explique rien. Ses parents refusant tout dialogue, s'enferment dans le silence. Ce qui choque le plus Evie, c'est lorsqu'ils la présentent comme leur fille unique à un vieil ami retrouvé... Pourquoi mentir? Pourquoi renier Cilla? Renier leur amour pour elle? "Ça ne ressemble pas du tout aux enseignements de Jésus"... Evie s'interroge, mais Cilla n'est plus là pour l'écouter, la conseiller ("Tu n'es pas là pour le faire avec moi. Tu n'es pas là pour parler avec moi")... Un flot d'émotions la traverse,...
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