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Le 24 août 1572 reste l'un des jours les plus sanglants de l'histoire de France : c'est le massacre de la Saint-Barthélemy. Aux cris de «Tuez ! Tuez ! », des milliers de huguenots sont massacrés...
«Saignez, saignez. La saignée est aussi bonne en août qu’en mai!» Le 24 août 1572, en ce chaud dimanche d’été, jour de la Saint-Barthélemy, Paris n’est qu’un immense charnier. Près...
«Saignez, saignez. La saignée est aussi bonne en août qu’en mai!» Le 24 août 1572, en ce chaud dimanche d’été, jour de la Saint-Barthélemy, Paris n’est qu’un immense charnier. Près de 4 000 corps de gens tués ou noyés flottent sur la Seine. C’est l’épisode le plus douloureux de la...
«Saignez, saignez. La saignée est aussi bonne en août qu’en mai!» Le 24 août 1572, en ce chaud dimanche d’été, jour de la Saint-Barthélemy, Paris n’est qu’un immense charnier. Près de 4 000 corps de gens tués ou noyés flottent sur la Seine. C’est l’épisode le plus douloureux de la guerre de religion. Au fond du décor, un roi faible, Charles IX et une «gouvernante», Catherine de Médicis, qui cherche à tirer les ficelles de toutes les intrigues… La Saint-Barthélemy est peut-être, avant tout, le résultat des luttes d’ambition des grandes familles du royaume plutôt que des problèmes de l’hérésie.
Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter, chef du service politique et rédacteur en chef adjoint à Paris Presse, L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir et auteur producteur d'émissions historiques à TF1.
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