Lisez! icon: Search engine
Représailles
Hélène Hervieu (traduit par)
Date de parution : 26/01/2017
Éditeurs :
Presses de la cité

Représailles

Hélène Hervieu (traduit par)
Date de parution : 26/01/2017
Chronique de morts annoncées
Calle Collin, journaliste freelance, rédige pour un hebdomadaire le portrait de Kent, un adolescent mort des années plus tôt dans un tragique accident. Il rencontre son frère, Mattias, homme de... Calle Collin, journaliste freelance, rédige pour un hebdomadaire le portrait de Kent, un adolescent mort des années plus tôt dans un tragique accident. Il rencontre son frère, Mattias, homme de main et amant de Sara, redoutable femme d’affaires mafieuse.
Après avoir lu l’article, Anders Malmberg, célèbre chroniqueur, qui était en classe...
Calle Collin, journaliste freelance, rédige pour un hebdomadaire le portrait de Kent, un adolescent mort des années plus tôt dans un tragique accident. Il rencontre son frère, Mattias, homme de main et amant de Sara, redoutable femme d’affaires mafieuse.
Après avoir lu l’article, Anders Malmberg, célèbre chroniqueur, qui était en classe avec Kent, est choqué. Il décide de rétablir la vérité sur la personnalité de Kent, son harceleur, son pire cauchemar… au risque de provoquer Mattias, et surtout Sara, qui aurait préféré que certains secrets restent enfouis.
Les représailles de la jeune femme seront d’une cruauté proche de la folie, ne font que commencer. Personne ne sera à l’abri. 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258143876
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258143876
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JHJM1905 24/08/2019
    Je suis amoureuse des pays nordiques donc un thriller suédois avec quelques traversées Malmö/Copenhague, j'étais presque conquise d'avance. Et surtout avec une couverture magnifiquement mystérieuse qui en jette comme ça... shut up and take my money, quoi! À les lectures des premières lignes, j'ai été désenchantée très rapidement : de longs dialogues inintéressants dotés d'un humour bancal, des personnages caricaturaux assez mal construits. Je me demandais dans quelle galère j'avais mis les yeux. Le style littéraire change complètement au fil des pages, il évolue doucement pour se métamorphoser en plume maîtrisée; la chenille devient papillon. L'intrigue est bien ficelée, on s'attache même à certains personnages (qui étaient plutôt insipides quelques pages plus tôt). Ce n'est certainement pas le thriller de l'année, c'est quand même du déjà-vu sans être du réchauffé. Un moment de lecture plutôt agréable malgré tout et ce n'était pas gagné lors des premiers chapitres.
  • Cassy 03/04/2017
    Représailles est une histoire de vengeance, de haine et aussi de journalisme. Elle part d’un simple article dans le journal qui va provoquer un véritable effet boule de neige dont l’issue est à craindre… Dans Représailles, nous avons le plaisir de suivre tous les personnages impliqués dans l’histoire, aussi bien Calle le journaliste que Sara, une danoise propriétaire de boîtes de nuit qui n’a peur de rien et qui n’a pas une once de bienveillance. On suit donc le côté des « gentils » et le côté des « méchants ». Les chapitres défilent très vite et l’action est bien présente, il est donc difficile de s’ennuyer. Mais cette rapidité fait aussi qu’on n’a pas réellement le temps de s’attacher aux personnages. Ce thriller n’est pas spécialement original puisqu’il traite de la vengeance, un thème bien sûr récurrent du genre. Néanmoins, c’est un roman efficace qui prend aux tripes et qui offre une issue réaliste. En bref, pas forcément le meilleur moment du genre mais un titre avec lequel on passe un bon moment teinté d’hémoglobine !
  • DucalmeLucette 10/02/2017
    Je suis assez déroutée par ce roman. Annoncé comme un thriller, j’ai moi-même assez de mal à le situer réellement. Entre roman policier, polar et thriller, il chavire les codes et bouscule nos habitudes. J’ai adoré le lire, je l’ai dévoré même mais il y a un je-ne-sais-quoi qui m’a dérangée. Je ne m’attendais pas à ce dénouement, je ne le souhaitais pas peut-être, alors il m’a perturbée, j’ai besoin de le digérer. Pourtant, rien de compliqué dans son contenu. Tiens, d’ailleurs c’est surement cela qui me fait douter un peu. Je m’attendais à un scénario plus tordu, un peu plus psychologique. C’était un peu facile parfois. Et pourtant je l’ai aimé, oui, je n’en ai fait qu’une bouchée. Hans Koppel m’a fait passée un très bon moment. Je me suis attachée à Calle, le journaliste sensible en quête de vérité, j’ai aimé suivre l’obstination dévastatrice de Sara, la reine maquerelle calculatrice qui n’a pas froid aux yeux, j’ai adoré ce contraste entre la violence des faits et l’amour entre Calle et David, l’alternance entre familles et gangsters. Mais j’ai aussi la sensation d’inachevé. Les courts chapitres ont défilé, m’ont tenue en haleine, et tout est passé trop vite. Tout ne s’est pas déroulé comme je le voulais et j’aime cela, même si l’auteur m’a désarmée. Je suis le cul entre deux chaises. J’ai comme l’impression que l’auteur n’a pas sa langue dans la poche, qu’il a profité de son roman pour faire passer quelques messages. C’est la première fois que je le lis, mais c’est ce qui en résulte après avoir refermé Représailles. Était-ce les siennes ? Non, n’exagérons rien. Mais je serai curieuse de lire d’autres de ses romans afin d’appréhender plus précisément son style. « Les écrivains étaient un triste ramassis de gens bourrés d’espoir, et le pire qui pût leur arriver était précisément que leurs rêves se réalisent. Dans le meilleur des cas, ils obtenaient une poignée de critiques aimables, peut-être des interviews, voire quelques minutes dans un canapé de télévision ; mais ces miettes étaient tellement dispersées dans le temps que leur heure de gloire était déjà passée au moment où ils avaient enfin l’impression d’avoir atteint la notoriété. Quand les médias se détournaient d’eux, ils découvraient pour de bon ce qu’étaient le désespoir et l’amertume. Et plus ils avaient été sous les feux des projecteurs, plus dure était la chute. » Je suis certaine que ce roman ne fera pas l’unanimité parmi les fans du genre et je serai curieuse de récolter les différents avis, tout cela serait tellement intéressant ! Entre facilités et addiction, Hans Koppel, lui, ne nous facilite pas la tâche. Là où nous serons d’accord je pense, c’est que les pages se tournent à une vitesse fulgurante, et cela constitue pour moi un vrai point fort. Embarquer un lecteur, c’est déjà un bon chemin de fait vers la réussite. En bref, ce roman policier / polar / thriller regroupe un peu des trois mais n’en approfondit finalement aucun. En revanche, ne vous méprenez pas, j’ai été emportée dans cette folle histoire de vengeance, de violence et d’amour. Des facilités, certes. Le temps qui file beaucoup trop vite, assurément. À vous de vous faire votre propre avis sur ces Représailles déroutantes.Je suis assez déroutée par ce roman. Annoncé comme un thriller, j’ai moi-même assez de mal à le situer réellement. Entre roman policier, polar et thriller, il chavire les codes et bouscule nos habitudes. J’ai adoré le lire, je l’ai dévoré même mais il y a un je-ne-sais-quoi qui m’a dérangée. Je ne m’attendais pas à ce dénouement, je ne le souhaitais pas peut-être, alors il m’a perturbée, j’ai besoin de le digérer. Pourtant, rien de compliqué dans son contenu. Tiens, d’ailleurs c’est surement cela qui me fait douter un peu. Je m’attendais à un scénario plus tordu, un peu plus psychologique. C’était un peu facile parfois. Et pourtant je l’ai aimé, oui, je n’en ai fait qu’une bouchée. Hans Koppel m’a fait passée un très bon moment. Je me suis attachée à Calle, le journaliste sensible en quête de vérité, j’ai aimé suivre l’obstination dévastatrice de Sara, la reine maquerelle calculatrice qui n’a pas froid aux yeux, j’ai adoré ce contraste entre la violence des faits et l’amour entre Calle et David, l’alternance entre familles et gangsters. Mais j’ai aussi la sensation d’inachevé. Les courts chapitres ont défilé, m’ont tenue en haleine, et tout est passé trop vite. Tout...
    Lire la suite
    En lire moins
  • manue14 07/02/2017
    J’ai bien apprécié ce roman. L’histoire n’est pas forcément originale puisque l’on peut trouver quelques romans policiers dans lesquels la vengeance et les règlements de comptes sont les mobiles. Ce qui m’a par contre surprise c’est le fait que Hans Koppel décide de tout nous dévoiler. Vraiment tout ! Que ce soit les coupables mais aussi leurs raisons. Même si cela m’a un peu perturbée j’avoue avoir vraiment apprécié cette « solution ». On ne sait plus au final si on fait partis des gentils ou si on est complice des mauvais. Le rythme de l’histoire est prenant mais peut-être un peu trop selon moi. Il manque des moments de répit pour que l’on s’attache réellement aux protagonistes. Je pense que quelques passages nous évoquant la routine de certains d’entre eux auraient pu être intéressants. Il y a des scènes de la vie quotidienne mais elles servent surtout à amener un bouleversement de situations. Les chapitres sont assez courts. L’auteur utilise un point de vue externe pour tout son roman mais ce n’est pas gênant. Cela ne nous empêche pas du tout d’entrer très rapidement dans l’histoire pour ne plus avoir envie d’en sortir ! Les points de vue s’alternent bien. Hans Koppel nous tient en haleine et termine chacun de ces derniers par du suspense, ce que j’ai beaucoup apprécié. Les descriptions sont présentes mais sans alourdir le récit. J’aurais par contre peut-être aimé avoir quelques rappels physiques pour bien les différencier. En effet pour certains je ne me suis pas vraiment souvenue de leur rôle… C’est dommage. Comme dans tous les romans nordiques les noms des lieux sont malheureusement trop compliqués pour moi pour que je les retienne… Heureusement ce n’est pas le cas des personnages qui eux, ont des noms beaucoup plus simples. L’épilogue est dans la lignée de ce roman en y ajoutant une pointe de mystère. J’ai donc beaucoup apprécié cette fin. En résumé, un roman original, surprenant et que je vous conseille si vous n’avez encore jamais lu de livre écrit par cet auteur. J’ai bien apprécié ce roman. L’histoire n’est pas forcément originale puisque l’on peut trouver quelques romans policiers dans lesquels la vengeance et les règlements de comptes sont les mobiles. Ce qui m’a par contre surprise c’est le fait que Hans Koppel décide de tout nous dévoiler. Vraiment tout ! Que ce soit les coupables mais aussi leurs raisons. Même si cela m’a un peu perturbée j’avoue avoir vraiment apprécié cette « solution ». On ne sait plus au final si on fait partis des gentils ou si on est complice des mauvais. Le rythme de l’histoire est prenant mais peut-être un peu trop selon moi. Il manque des moments de répit pour que l’on s’attache réellement aux protagonistes. Je pense que quelques passages nous évoquant la routine de certains d’entre eux auraient pu être intéressants. Il y a des scènes de la vie quotidienne mais elles servent surtout à amener un bouleversement de situations. Les chapitres sont assez courts. L’auteur utilise un point de vue externe pour tout son roman mais ce n’est pas gênant. Cela ne nous empêche pas du tout d’entrer très rapidement dans l’histoire pour ne plus avoir envie d’en sortir ! Les points de vue s’alternent bien. Hans Koppel...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Carolivra 26/01/2017
    Grâce aux éditions Presses de la Cité, j’ai pu lire Représailles, sortie littéraire de la rentrée de janvier. Ce thriller plutôt court sort des sentiers battus. L’intrigue est assez simple même si le résumé de la quatrième de couverture ne rend pas justice au roman. Calle Collin est journaliste free-lance à Stockholm. Il rédige des chroniques sur des personnes décédées à la demande des familles, ultime hommage à leurs chers disparus. Il est un jour contacté par la mère de Kent, un adolescent mort tragiquement à 13 ans dans un accident de la route. Parallèlement, on suit Sara, une jeune danoise aux dents longues. Elle tient des boîtes de nuit aux allures de peep show à Copenhague, donne dans le proxénétisme et n’a aucun scrupule à supprimer les collaborateurs qui lui font faux bond. Son homme de main du moment s’appelle Mattias, frère de Kent. Tout ce petit monde va se retrouver dans une histoire bien tordue et Calle Collin va en souffrir bien malgré lui…. Dans ce roman, l’auteur n’y va pas par quatre chemins. L’intrigue file vite. Sara, la méchante, est plutôt flippante. C’est une femme froide, calculatrice, dénuée de tous sentiments. Elle fait exécuter à tout va sans que cela ne lui pose problème. Sa perversité est telle qu’elle parvient même à persuader un homme de se suicider!! Calle Collin incarne quant à lui un journaliste sans grandes ambitions amoureuses ni professionnelles. Les flics qui enquêtent forment un duo plutôt comique. Ils ne pensent qu’à manger et régler les choses le plus vite possible. Les personnages peuvent paraître superficiels, brouillons mais je pense qu’il s’agit d’une volonté propre de l’auteur. A part Sara, les personnages sont banals. On peut les croiser chaque jour dans la rue et je pense que c’est là que réside la force de ce thriller. La violence peut venir heurter chacun d’entre nous, comme ça, de plein fouet, pour une phrase anodine prononcée un peu trop fort. La fin du thriller est d’ailleurs assez déroutante. Là encore, l’auteur a choisi de brouiller les pistes. Il ne s’encombre pas de fausse morale ce qui laisse un goût bien amer voire acide au lecteur. Avec Représailles, Hans Koppel nous offre un thriller original et déroutant. Il brouille les pistes habituelles pour mieux perdre son lecteur dans les méandres de la violence la plus pure. Grâce aux éditions Presses de la Cité, j’ai pu lire Représailles, sortie littéraire de la rentrée de janvier. Ce thriller plutôt court sort des sentiers battus. L’intrigue est assez simple même si le résumé de la quatrième de couverture ne rend pas justice au roman. Calle Collin est journaliste free-lance à Stockholm. Il rédige des chroniques sur des personnes décédées à la demande des familles, ultime hommage à leurs chers disparus. Il est un jour contacté par la mère de Kent, un adolescent mort tragiquement à 13 ans dans un accident de la route. Parallèlement, on suit Sara, une jeune danoise aux dents longues. Elle tient des boîtes de nuit aux allures de peep show à Copenhague, donne dans le proxénétisme et n’a aucun scrupule à supprimer les collaborateurs qui lui font faux bond. Son homme de main du moment s’appelle Mattias, frère de Kent. Tout ce petit monde va se retrouver dans une histoire bien tordue et Calle Collin va en souffrir bien malgré lui…. Dans ce roman, l’auteur n’y va pas par quatre chemins. L’intrigue file vite. Sara, la méchante, est plutôt flippante. C’est une femme froide, calculatrice, dénuée de tous sentiments. Elle fait exécuter à tout va sans que cela ne...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions Presses de la Cité
Des comédies hilarantes aux polars les plus noirs, découvrez chaque mois nos coups de cœur et de nouvelles idées de lecture.