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San-Antonio chez les Mac
Date de parution : 10/02/2011
Éditeurs :
12-21

San-Antonio chez les Mac

Date de parution : 10/02/2011

Connaissez-vous Stinginess Castle ?
Au fin fond des Highlands, en Ecosse, ce château se dresse sur une colline dans les brumes britanniques.
Un nouveau fantôme le hante depuis quelque temps. Et un...

Connaissez-vous Stinginess Castle ?
Au fin fond des Highlands, en Ecosse, ce château se dresse sur une colline dans les brumes britanniques.
Un nouveau fantôme le hante depuis quelque temps. Et un fantôme de poids ! Il a pour nom : BERURIER !
Et si vous saviez ce que le Gros et votre...

Connaissez-vous Stinginess Castle ?
Au fin fond des Highlands, en Ecosse, ce château se dresse sur une colline dans les brumes britanniques.
Un nouveau fantôme le hante depuis quelque temps. Et un fantôme de poids ! Il a pour nom : BERURIER !
Et si vous saviez ce que le Gros et votre valeureux San-Antonio magouillent dans ce château de cauchemar, vous en auriez la chair de poule. Un renseignement : si vous entendez un craquement dans la pièce d'à-côté pendant que vous lisez ce chef-d'oeuvre, ne cherchez pas, c'est le fantôme de quelque Mac !

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EAN : 9782265091559
Code sériel : 47
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091559
Code sériel : 47
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sarcopte 14/01/2024
    Je l'avais lu au temps de ma folle jeunesse, et bien ça tient toujours parfaitement la route ! Bon, l'intrigue n'est pas des plus palpitantes ni des plus originales, mais on ne lit pas dans-Antonio pour ça. J'ai redécouvert des descriptions, ses diatribes, ses énumérations et son immortel Bérurier. Je considère Frédéric Dard comme un écrivain majeur du XXe siècle.
  • mikaelunvoas 12/11/2023
    San Antonio a déjà mené quelques enquêtes en Angleterre. A la fin du dernier épisode, il y effectuait un passage éclair. Il remet le couvert, en Ecosse cette fois et plus en solo mais accompagné de Béru. Bien sur il ne ménage ni l'avarice des écossais, ni l'humour, ni l'action. Il s'agit d'un tome assez drôle, mêlant une enquête compliquée, une tante et sa nièce, un château, une distillerie et donc beaucoup de whisky.
  • JML38 08/05/2020
    En début de récit, San-Antonio qui a réussi à abréger les vacances chez tatan Rose, s'apprête à faire les honneurs de son sweet home à sa dernière conquête rencontrée dans le train, lorsque son téléphone sonne nuitamment. Au bout du fil Achille, son Big Boss, qui le prie de foncer instamment chez son ami Petit-Littré, éditeur de son état, où une partie des invités se trouve en petite forme. le commissaire découvre un tableau tragi-comique, toutes les personnes ayant bu du whisky après le repas étant sous l'emprise d'une drogue. Chargé par son chef de remonter la piste du trafic, San-Antonio, un cadavre plus tard et après avoir récupéré le fidèle Béru en villégiature à Nanterre, prend la direction de Glasgow. Ville qui, chacun le sait dans la famille du Gros, se trouve au Japon, voire encore plus loin, au Danemark. Les bouteilles incriminées étant de la marque Mac Herrel, le duo de choc se rend dans le village de Mybackside-Ischicken, siège de la distillerie, avec l'idée de s'inviter au Castle des propriétaires, pour découvrir le poteau rose. Ce qui ne pose pas vraiment de problèmes lorsque l'on connaît l'imagination des deux policiers, si ce n'est que l'idée de faire passer Béru pour le domestique de Sana rencontre ses limites lorsqu'il est sollicité pour aider au service lors d'un repas. Rapidement tous les membres de la famille font partie des suspects potentiels, la vieille Mac Herrel, la sublime nièce Cynthia – non, y a pas de jeu de mots -, son fiancé Sir Concy, Mac Hornish le responsable de la distillerie, et James Mayburn, le majordome, à qui Béru répond naïvement lors des présentations : « Je ne déteste pas non plus les miennes ». Tout est en place pour un bon moment d'action et de grosse poilade, et c'est également l'occasion découvrir un peu mieux l'Écosse. De vérifier que la plupart des habitants s'appellent Mac-Quelque-Chose - ce qui permet à Frédéric dard de bien se faire plaisir -, de s'apercevoir que la spécialité liquide locale peut avoir des effets stupéfiants et avoir parfois beaucoup de corps, de constater que la pêche, dont Béru devient un grand adepte, peut réserver quelques surprises lorsqu'elle est pratiquée dans un loch, Ness ou pas. Je ne peux résister au plaisir de citer un personnage qui n'a aucun rôle majeur, mais alors vraiment aucun, dans l'histoire : Sir Constence Haggravente. Je sais, j'ai des joies simples.En début de récit, San-Antonio qui a réussi à abréger les vacances chez tatan Rose, s'apprête à faire les honneurs de son sweet home à sa dernière conquête rencontrée dans le train, lorsque son téléphone sonne nuitamment. Au bout du fil Achille, son Big Boss, qui le prie de foncer instamment chez son ami Petit-Littré, éditeur de son état, où une partie des invités se trouve en petite forme. le commissaire découvre un tableau tragi-comique, toutes les personnes ayant bu du whisky après le repas étant sous l'emprise d'une drogue. Chargé par son chef de remonter la piste du trafic, San-Antonio, un cadavre plus tard et après avoir récupéré le fidèle Béru en villégiature à Nanterre, prend la direction de Glasgow. Ville qui, chacun le sait dans la famille du Gros, se trouve au Japon, voire encore plus loin, au Danemark. Les bouteilles incriminées étant de la marque Mac Herrel, le duo de choc se rend dans le village de Mybackside-Ischicken, siège de la distillerie, avec l'idée de s'inviter au Castle des propriétaires, pour découvrir le poteau rose. Ce qui ne pose pas vraiment de problèmes lorsque l'on connaît l'imagination des deux...
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  • Wyoming 09/01/2019
    Le 47ème San-Antonio, paru en 1961, emmène les lecteurs dans les Highlands, pays du whisky et de la tourbe, pour une bonne enquête sur un trafic d'alcool. Beaucoup d'humour dans cet opus, avec un Bérurier très en verve, de bons jeux de mots et une enquête prétexte à un savoureux divertissement parmi les flowers of Scotland.
  • ntchoubis 22/06/2017
    I. San-A est en vacances, avec une gonzesse, prêt à examiner profondément une des questions primordiales de la physique quantique… Brusquement, un coup de téléphone l’arrache de ses pensées frivoles. Le devoir a ses exigences et le commissaire raccroche pour entendre la voix du Vieux à l’autre bout du fil. — Je vous ai appelé à tout hasard, bien que vous sachant en vacances, mon cher San-Antonio, car il vient de se produire quelque chose de très exceptionnel chez un de mes amis, M. Petit-Littré, l’éditeur bien connu. Figurez-vous qu’il donnait une soirée en son hôtel de Neuilly lorsque brusquement, les deux tiers de ses invités se sont trouvés incommodés. San-A suit strictement le conseil chanté par Renaud: «toujours la banane, toujours debout». Il se rend sur place et découvre un vrai désastre: Guillemet « Une vingtaine de personnes en tenue de soirée gisent sur les canapés ou sur les tapis. Elles remuent faiblement en poussant des vagissements ou des rires fluets. Elles ne paraissent pas souffrir, mais elles sont inconscientes… » L’enquête express du commissaire révèle que les défoncés (involontaires) «ont absorbé une forte quantité de stupéfiant». Ce sont les bouteilles de whisky «Mac Herrel», une marque pas très connue, mais, «in use for over 100 years», qui en contenaient. Et en une quantité terrifiante! L’homme qui a offert ce boisson douteux est mort. Ainsi, la seule piste chaude mène le commissaire San-Antonio et son loyal compagnon, l’inspecteur Bérurier, en Écosse, «à la distillerie de whisky puisque des bouteilles pourvues du capsulage d’origine contenaient de l’héroïne.» II. Ça y est, les gars! La mayonnaise a pris! Cette procédure littéraire devient de plus en plus multipliable cette année. Jugez-en par vous-même: «Du brut pour les brutes» (S.-A #039), «J’suis comme ça» (S.-A #040), «La fin des haricots» (S.-A #044). Comme vous voyez, des expériences réussies deviennent de plus en plus fréquentes. Et les traits communs, qui font leur succès sont: a) l’intégrité du contenu; b) la vivacité du récit; c) la grande liberté de plume. Et servez tout ça chaud et assaisonné avec du talent, de la persistance et de la passion de l’auteur. «San-Antonio chez les Mac», publié à la fin de l’année 1961, est une écriture savoureuse, burlesque, rythmée, avec un parfait tempo qui ne laisse pas de place aux temps morts. Et n’oublions pas d’autres ingrédients propres au style san-antonien, comme une langue truculente et gouailleuse. Le livre est bourré de digressions lyriques, d’énumérations loufoques, de calembours juteux et de lieux et personnages aux blazes marrants (p.ex.: il y a un bled en Écosse qui s’appelle «Mybackside-Istchicken», un sheriff dont le nom est Mac Heusdress, ou James Mayburn, majordome du château). Il y a aussi des renvois plaisants au bas de page, des métaphores inattendues et, bien sûr, des digressions kamasutresques. Félicie est de passage, Pinaud est à la retraite. Mais le duo San-A—Béru s’improvise avec brio. «San-Antonio chez les Mac» est un des rares volumes, où le commissaire San-Antonio est à l’aise en anglais. Admirez aussi Bérurier qui joue les larbins, fait le fantôme, chasse les monstres dans le lac et a même la chance d’être promu au grade d’inspecteur principal. III. À titre de synthèse sur ce volume. L’auteur a touché en plein dans le mille, en mêlant une verve étonnante du récit et des outrances hilarantes en pleine forme. «San-Antonio chez les Mac» se lit rapidement, tant l’histoire est passionnante. Impeccable, tout court. 2/ À NOTER : #9830; Berthe Bérurier a une sœur qui s’appelle Geneviève: «La Gravosse me désigne le catafalque: — Je vous présente ma sœur Geneviève.» #9830; Autrefois, Béru travaillait aux mœurs. («Gladys de Montrouge, une ancienne tapineuse que j’ai connue aut’fois quand c’est que j’étais aux mœurs.») #9830; Pour impressionner ses lecteurs, l’auteur met le paquet et utilise tous les moyens stylistiques qui lui tombent sous la main. Même, son nom de famille: «[…] plus industrieux qu’une abeille (d’ailleurs mon meilleur ami s’appelle Dard) j’en fabrique un avec un gros fil de fer et je me livre à la pêche au cadavre.» 4.0/5.0I. San-A est en vacances, avec une gonzesse, prêt à examiner profondément une des questions primordiales de la physique quantique… Brusquement, un coup de téléphone l’arrache de ses pensées frivoles. Le devoir a ses exigences et le commissaire raccroche pour entendre la voix du Vieux à l’autre bout du fil. — Je vous ai appelé à tout hasard, bien que vous sachant en vacances, mon cher San-Antonio, car il vient de se produire quelque chose de très exceptionnel chez un de mes amis, M. Petit-Littré, l’éditeur bien connu. Figurez-vous qu’il donnait une soirée en son hôtel de Neuilly lorsque brusquement, les deux tiers de ses invités se sont trouvés incommodés. San-A suit strictement le conseil chanté par Renaud: «toujours la banane, toujours debout». Il se rend sur place et découvre un vrai désastre: Guillemet « Une vingtaine de personnes en tenue de soirée gisent sur les canapés ou sur les tapis. Elles remuent faiblement en poussant des vagissements ou des rires fluets. Elles ne paraissent pas souffrir, mais elles sont inconscientes… » L’enquête express du commissaire révèle que les défoncés (involontaires) «ont absorbé une forte quantité de stupéfiant». Ce sont les bouteilles de whisky «Mac Herrel», une marque pas très connue, mais, «in use for...
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