Silver Spoon - La cuillère d'argent - tome 05

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• py314159 20/03/2023

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  Silver-Spoon, la cuillère d'argent est un manga de Hiromu Arakawa. Tome 5 (2012). Yûgo Hachiken, nouveau vice-président du club d'équitation doit trouver une activité inédite pour la fête de l'école. Un manga original et plaisant sur le monde agricole.
• Alfaric 22/06/2016

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  "Silver Spoon" est un manga de type « school life », plein de bonne volonté, plein de bonne humeur, mais surtout d'une réjouissante fraîcheur en plus d'être une ode à l'amitié et à la solidarité ! [masquer]C'est avec beaucoup d'humour qu'on nous présente Yûgo Hachiken, un adolescent qui pour rompre avec sa famille et la compétition scolaire a choisi un établissement où il compte briller sans trop se fouler… Au lycée agricole Ohezo il se retrouve sans aucune expérience de la ruralité dans une classe peuplée d'enfants de paysans qui comptent bien devenir paysans à leur tour, et alors que chacun a un destin déjà tracé lui n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie, ce qui accentue son malaise avant qu'en travaux pratiques il ne soit obligé de manipuler volailles, porcins et bovins dans le cadre de la section « production animal »… C'est le choc culturel pour le personnage principal tant que pour le lecteur, volontiers citadins voire tokyoite, et nous découvrons le monde merveilleux de la campagne à travers les yeux ! ^^ Si on croise à l'occasion les élèves des sections sciences de l'agriculture, recherche agroalimentaire et ingénierie agricole et forestière, c'est les camarades de classe de Yûgo qui se taillent la part du lion : Aki Mikage, amoureuse des chevaux condamnée à reprendre la ferme de ses parents ; Ichiro Komaba, amoureux du base-ball, voisin d'Aki, qui a déjà plus ou moins repris la ferme de ses parents depuis la mort de son père ; Shinnosuke Aikawa, qui veut devenir vétérinaire mais qui ne gère pas spécialement bien ses relations à la vie et à la mort ; Tamako Inada, adoratrice du Veau d'Or qui ne jure que par l'argent et la loi du plus fort, et qui se voit déjà comme une actrice majeure de la guerre agricole mondiale (et qui perd et prend du poids à volonté, dans l'ordre de plusieurs dizaines de kilos ^^) ; l'espiègle Mayumi Yoshino qui compte bien ouvrir une fromagerie pour bonifier le lait produit par ses parents, Keiji Tokiwa, un bétin qui ne comprend rien à rien mais qui est prédestiné à reprendre l'élevage de volailles de ses parents ; Nishikawa Hajime, un paysan complètement otaku qui n'hésite pas à tuner tracteurs et chariots… On nous décrit les petites exploitations familiales qui se battent pour survivre, les coopératives qui luttent pour presque autant pour exister que pour se développer, et les grosses boîtes productivistes qui mettent le pognon au-dessus de l'homme et de l'environnement… Pendant ce temps, on construit autour du personnage de Yûgo qui se prend d'affection pour Noisette le cheval, Côtelette le cochon et Vice-président le chiot tout une réflexion sur les relations entre hommes et animaux… Et ce dernier exclut d'emblée le végétarisme, car il comprend immédiatement qu'en s'engageant dans cette voie il condamne à l'extinction les animaux d'exploitation dont il veut améliorer la condition : inutile de dire que c'est autrement plus fin et autrement plus convaincant qu'Aymeric Caron dans "Antispéciste". Pourquoi ? Parce que la mangaka Hiromu Arakawa est native d'Hokkaido, issue d'une famille de paysans et est passée par les bancs d'un lycée agricole parce que ses parents ne pouvaient lui offrir mieux à l'image de nombreux personnages de son manga, et que donc elle connaît son sujet niveau ruralité et agriculture (dans tous les cas, mieux que les journalistes bobos hipsters qui s'aventurent guère au-delà du périphérique de Paris). Nous savons tous que le système scolaire japonais est impitoyable, avec élitisme, compétition et sélection, mais démarrer la journée à 4 heures pour finir à plus de 22 heures, trop c'est trop ! C'est même contre productif puisque le corps ne peut plus se régénérer et l'esprit ne peut plus rien assimiler à part du bourrage de crâne… Exagération ou réalité ? Les chiffres de suicides et de crises de surmenage parmi les adolescents sont assez affolants au Japon… (encore que le taux de suicide des jeunes le plus inquiétant est celui de la Finlande, dont le système scolaire est réputé cool, fun et bienveillant : il faudra un jour que tous ceux qui en ont font une référence m'explique le pourquoi du comment)[/masquer] Un tome 5 très sympa encore une fois, qui comment par Yûgo qui réalise un vieux rêve en adoptant le trop kawaï chiot vice-précédent : il est tellement motivé, qu’il comble rapidement son déficit d’autorité ! ^^ Et encore une fois un tome très remplis avec les matches de base-ball de l’équipe du Lycée d’ Ohezo, les progrès de Yûgo au sein du club d’équitation qui améliore ses relations avec le cheval vétéran Noisette (et le running gag de Black King / Kokuo). Mais la fête de l’école approche et tout le monde met la main à la pâte pour que cela soit au succès (notamment avec l’organisation d’une course Ban-ei !) : Yûgo qui est sollicité de tous les côtés et qui se lève chaque jour à 3h30 se rapproche du burnout…"Silver Spoon" est un manga de type « school life », plein de bonne volonté, plein de bonne humeur, mais surtout d'une réjouissante fraîcheur en plus d'être une ode à l'amitié et à la solidarité ! [masquer]C'est avec beaucoup d'humour qu'on nous présente Yûgo Hachiken, un adolescent qui pour rompre avec sa famille et la compétition scolaire a choisi un établissement où il compte briller sans trop se fouler… Au lycée agricole Ohezo il se retrouve sans aucune expérience de la ruralité dans une classe peuplée d'enfants de paysans qui comptent bien devenir paysans à leur tour, et alors que chacun a un destin déjà tracé lui n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie, ce qui accentue son malaise avant qu'en travaux pratiques il ne soit obligé de manipuler volailles, porcins et bovins dans le cadre de la section « production animal »… C'est le choc culturel pour le personnage principal tant que pour le lecteur, volontiers citadins voire tokyoite, et nous découvrons le monde merveilleux de la campagne à travers les yeux ! ^^ Si on croise à l'occasion les élèves des sections sciences de l'agriculture, recherche agroalimentaire et ingénierie agricole et forestière, c'est les camarades...

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• Takalirsa 04/04/2015

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  La recette fonctionne toujours aussi bien, avec un Yûgo qui a le chic pour se mettre dans des situations ridicules (se faire renverser par une vache, rater le saut d'obstacles que même les débutants réussissent, se laisser dominer par le chiot...) ! Le dessin est ultra expressif et l'on rit chaque fois de bon cœur ! Et en même temps, il est attendrissant ce héros généreux et altruiste, soutenu quoi qu'il arrive par la douce Aki... Osera-t-il un jour lui avouer qu'il en est amoureux ?!
• zazimuth 12/01/2015

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  ce volume est axé sur les préparatifs de la fête de l'école au cours de laquelle chaque club va essayer de promouvoir sa passion. Par ailleurs, Yûgo demande la permission d'adopter un petit chien découvert errant dans les locaux. Il commence à accumuler les responsabilités, ne sachant dire non à personne... Il doit également faire face à sa peur de rater les examens et les compétitions, dans le cadre du saut d'obstacle, qui perturbe sa relation avec sa monture.
• Hiromichi 11/10/2014

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  Au début de ce volume, les élèves du lycée doivent faire un ramassage d’ordures, c’est ainsi que Yûgo découvre un petit chiot tout sale. Craquant pour la petite boule de poils, Yûgo espère qu’il pourra la garder à l’école. Mais ce n’est pas tout, entre les cours mettant en pratique le toucher rectal d’une vache, les championnats de base-ball où Ichiro s’investit à fond, la préparation de la fête de l’école et la compétition d’automne que l’établissement organise, Yûgo n’est pas sorti de l’auberge et reste sous une pression constante. C’est toujours avec un agréable sentiment qu’on ouvre cette série, son humour léger concernant l’école agricole, ses situations rocambolesques avec des élèves ayant des centres d’intérêts un peu différents. Malgré la bonne humeur, lorsqu’il s’agit d’Ichiro on ressent toujours une certaine mélancolie... Encore une fois, on nous fait comprendre qu’il ne peut pas perdre au base-ball. Il démontre également la difficulté de gérer une ferme : rares sont les possibilités de se défaire des corvées ; les bêtes ont besoin de soins en permanence ! De plus, ce volume se concentre sur l’apprentissage de Yûgo en saut d’obstacles à cheval. On y apprend des choses vraiment intéressantes et Yûgo comprend de plus en plus les liens qu’un cavalier créé avec son compagnon. Voilà un volume très intéressant, toujours fluide et dont le scénario s’approche de la fête de l’école qui s’annonce intense pour tout notre petit monde.Au début de ce volume, les élèves du lycée doivent faire un ramassage d’ordures, c’est ainsi que Yûgo découvre un petit chiot tout sale. Craquant pour la petite boule de poils, Yûgo espère qu’il pourra la garder à l’école. Mais ce n’est pas tout, entre les cours mettant en pratique le toucher rectal d’une vache, les championnats de base-ball où Ichiro s’investit à fond, la préparation de la fête de l’école et la compétition d’automne que l’établissement organise, Yûgo n’est pas sorti de l’auberge et reste sous une pression constante. C’est toujours avec un agréable sentiment qu’on ouvre cette série, son humour léger concernant l’école agricole, ses situations rocambolesques avec des élèves ayant des centres d’intérêts un peu différents. Malgré la bonne humeur, lorsqu’il s’agit d’Ichiro on ressent toujours une certaine mélancolie... Encore une fois, on nous fait comprendre qu’il ne peut pas perdre au base-ball. Il démontre également la difficulté de gérer une ferme : rares sont les possibilités de se défaire des corvées ; les bêtes ont besoin de soins en permanence ! De plus, ce volume se concentre sur l’apprentissage de Yûgo en saut d’obstacles à cheval. On y apprend des choses vraiment intéressantes et Yûgo comprend de plus en plus...

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