Soigner sa tête sans médicaments... ou presque

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• LeGuideDuLivre 22/05/2023

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  LE LIVRE DE MA SEMAINE DE VACANCES : Le psychiatre passe en revue les différentes alternatives à la médecine prescriptive de médicaments en les classant en fonction de leur efficacité. Toute forme de stress allant de la dépression au burn-out pourrait être soignée autrement pour éviter les effets à long terme de la prise de médicaments. Electre 2014 Soigner sa tête sans médicaments ou presque : dépression, stress, insomnie. ce qui marche vraiment LIVRE Lemoine, Patrick 1950 - ... R. Laffont impr. 2014 Réponses
• Takalirsa 11/04/2022

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  Ce livre complète bien ma lecture précédente de développement personnel, « Surmonter peurs, anxiétés et phobies avec les thérapies cognitives et comportementales ». J’ai beaucoup aimé le ton passionné de l’auteur (bien que parfois il m’ait semblé un peu prétentieux) qui revendique une médecine moins chimique (il se bat contre la prescription systématique de médicaments encouragée par le lobbying de l’industrie pharmaceutique) et plus humaine (« Les patients ne doivent plus avoir une attitude passive vis-à-vis de leur maladie et de leur traitement, ils doivent prendre les armes, faire alliance avec leur médecin. », pour peu que ce dernier l’accepte...). Psychiatre, le Dr Lemoine s’appuie sur des cas concrets pour encourager des méthodes alternatives. Certaines ont retenu mon attention : la méditation bien sûr (« L'un des meilleurs moyens que les psys aient inventé contre l'hyperactivisme du corps comme de l'esprit »), mais aussi la méthode cognitive (rationaliser, prendre de la distance par rapport à la situation anxiogène) et la méthode émotionnelle (s’exposer aux émotions concernées et s’entraîner à y réagir) que j’ai découvertes récemment et commencé à mettre en pratique (c’est plutôt efficace). De même, la psychothérapie interpersonnelle (TIP) aide (normalement avec un psychologue) à repérer les situations relationnelles « qui risquent de rompre l’équilibre psychologique » comme les situations de transition dans l’existence (divorce, maladie, ménopause, retraite, etc.). Ce chapitre m’a aidée à analyser certaines émotions qui me perturb(ai)ent sur le moment (la prise d’indépendance de mon aîné). J’ai également trouvé très intéressant le passage sur l’auto-hypnose ou autosuggestion qui permettrait « d’activer les ressources propres et les compétences du patient ». L’EFT, technique de libération émotionnelle consistant à tapoter des points corporels sensibles en répétant une « phrase d’inversion psychologique » (« Même si j’ai ce problème, je m’aime et je m’accepte complètement ») demande à être testée. Par contre la partie diététique est décevante : je m’attendais à une liste d’aliments bienfaiteurs pour la santé, il n’est question que de gélules de micronutriments. Pareil pour les plantes, l’auteur donne peu de détails, j’ai juste retenu le ginseng pour le stress, la valériane pour l’insomnie et le millepertuis pour la dépression (mais sous quelle forme ?). La dernière information à m’avoir interpelée concerne le lapsus corporel : « De même que l’inconscient psychologique s’exprimerait par des lapsus verbaux, l’inconscient physique le ferait par des lapsus corporels [sursauts involontaires] ». Serait-ce ce genre de phénomène qui malmène notre squelette et nous mène chez l’ostéopathe ? Je crois que le cerveau humain et ses interactions mystérieuses avec le corps, a encore bien des secrets à nous révéler !Ce livre complète bien ma lecture précédente de développement personnel, « Surmonter peurs, anxiétés et phobies avec les thérapies cognitives et comportementales ». J’ai beaucoup aimé le ton passionné de l’auteur (bien que parfois il m’ait semblé un peu prétentieux) qui revendique une médecine moins chimique (il se bat contre la prescription systématique de médicaments encouragée par le lobbying de l’industrie pharmaceutique) et plus humaine (« Les patients ne doivent plus avoir une attitude passive vis-à-vis de leur maladie et de leur traitement, ils doivent prendre les armes, faire alliance avec leur médecin. », pour peu que ce dernier l’accepte...). Psychiatre, le Dr Lemoine s’appuie sur des cas concrets pour encourager des méthodes alternatives. Certaines ont retenu mon attention : la méditation bien sûr (« L'un des meilleurs moyens que les psys aient inventé contre l'hyperactivisme du corps comme de l'esprit »), mais aussi la méthode cognitive (rationaliser, prendre de la distance par rapport à la situation anxiogène) et la méthode émotionnelle (s’exposer aux émotions concernées et s’entraîner à y réagir) que j’ai découvertes récemment et commencé à mettre en pratique (c’est plutôt efficace). De même, la psychothérapie interpersonnelle (TIP) aide (normalement avec un psychologue) à repérer les situations relationnelles « qui risquent de rompre l’équilibre psychologique » comme les...

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