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Son Espionne royale et l'héritier australien - Tome 7
Blandine Longre (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 06/05/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Son Espionne royale et l'héritier australien - Tome 7

Blandine Longre (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 06/05/2021

Entre Downton Abbey et Miss Marple, une série d’enquêtes royales so British !

Comté du Kent, Angleterre, 1934.
Passer un smoking pour le dîner, utiliser une fourchette pour la viande, une autre pour le poisson… Franchement, quel intérêt à toutes ces simagrées ? C’est...

Comté du Kent, Angleterre, 1934.
Passer un smoking pour le dîner, utiliser une fourchette pour la viande, une autre pour le poisson… Franchement, quel intérêt à toutes ces simagrées ? C’est pourtant bien ce à quoi va devoir se plier Jack Altringham, héritier du duc d’Eynsford fraîchement débarqué d’Australie.
Pour l’aider, une...

Comté du Kent, Angleterre, 1934.
Passer un smoking pour le dîner, utiliser une fourchette pour la viande, une autre pour le poisson… Franchement, quel intérêt à toutes ces simagrées ? C’est pourtant bien ce à quoi va devoir se plier Jack Altringham, héritier du duc d’Eynsford fraîchement débarqué d’Australie.
Pour l’aider, une seule candidate, la charmante Georgie. Mais, dès son arrivée à Kingsdowne Place, dans le Kent, elle découvre que certains membres de la famille d’Eynsford se donnent beaucoup de mal pour mener la vie dure à son élève. Et quelques jours plus tard, le duc meurt poignardé.
Aux yeux de tous, Jack est le suspect parfait. Sauf pour Georgie qui va tout faire pour démêler le faux du vrai entre petits secrets, rancune de classe et vengeance à froid…

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EAN : 9782221255254
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221255254
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • katell 27/03/2024
    Londres 1934, Georgie est toujours aussi fauchée, malgré une mère richissime avec laquelle elle court les boutiques londoniennes. Tout irait bien si la mère de notre Lady de Rannoch n’avait pas abrégé son séjour à Londres pour rejoindre au plus vite son amant allemand, plantant sa fille sans hésitation pour une villégiature en Italie. Sans le sou et quasiment sans toit sur la tête, Georgie ne sait plus comment s’en sortir. La solution arrive du palais de Buckingham : la Reine Mary appelle Georgie pour lui confier une mission. Non, cette fois pas de David à espionner. Comme elle connaît l’étiquette sur le bout des doigts, elle se voit confier la lourde tâche d’éduquer l’héritier de Kingsdowne Place, dans le Kent, qui débarque, frais émoulu de la lointaine et sauvage Australie, pour faire de lui un parfait Duc d’Eynsford. Notre Lady est, pour un temps, à l’abri du besoin et prend la route du Kent. A Kingsdowne Place, elle se trouve confrontée à une ambiance familiale quelque peu tendue : Edwina, la Duchesse douairière a du laisser les rênes du domaine à son second fils Cédric, le Duc d’Eynsford, très antipathique, plus préoccupé par ses lubies architecturales et artistiques ou de ses « étourneaux », jeunes gens du monde spectacle auxquels il s’est attaché, que par le bien-être des gens du Domaine. Il a recueilli, bon gré mal gré, sa sœur et ses trois enfants, suite au départ de l’époux avec une maîtresse. Tout est fait pour rappeler que ces dames et jeunes gens ne sont là que parce qu’il le veut bien. Aussi quand est annoncée l’arrivée du fils de l’aîné de la Duchesse douairière, tombé au champ d’honneur dans les tranchées de 14-18, la nouvelle perturbe l’équilibre de ce petit monde et exacerbe les rancoeurs. Au point que le Duc d’Eynsford, dans un moment de colère, annonce qu’il adopte son majordorme français. En a-t-il le droit ? Tout le monde se pose la question. Entre les folies théâtrales de la troupe de jeunes gens efféminés dont s’est entouré l’antipathique et égoïste duc, les paroles acerbes de ce dernier envers les siens, les jumeaux qu’un précepteur tente, vaille que vaille, d’instruire et surtout d’éduquer à la mode anglaise, une jeune fille clouée dans un fauteuil roulant, un Darcy plus élégant et séduisant que jamais, un jeune berger australien très rustre, des tantes excentriques, un personnel de maison digne de celui de Downton Abbey et Queenie la femme de chambre reine des gaffes, Georgie aura le chic de tomber sur un cadavre et de se lancer dans une enquête surprenante. « Son espionne royale et l’héritier australien » m’a, une fois de plus, entraînée avec jubilation à la suite de Lady de Rannoch, toujours aussi stricte sur ce que doit être une jeune aristocrate appartenant à la famille royale. Rhys Bowen souligne la condition des femmes de l’aristocratie anglaise qui peuvent être dépouillées de tout car un titre ne se transmet qu’aux hommes. Georgie commence à comprendre combien l’attitude de son amie Belinda ressemble à celle de sa mère, entre égoïsme, superficialité, opportunisme cynique et légèreté des mœurs, ce qui la rend beaucoup moins sympathique que dans les précédents opus. L’auteure aborde le choc des cultures entre l’Angleterre et ses traditions immuables et l’Australie, dominion lointain et contestataire. Chacun a son imagerie de l’autre dans sa tête : sauvagerie rustre d’un côté, esprit guindé et étriqué de l’autre. Une aventure qui m’a beaucoup plu grâce a tout une galerie de personnages secondaires hauts en couleur et à des situations loufoques. Traduit de l’anglais par Blandine LongreLondres 1934, Georgie est toujours aussi fauchée, malgré une mère richissime avec laquelle elle court les boutiques londoniennes. Tout irait bien si la mère de notre Lady de Rannoch n’avait pas abrégé son séjour à Londres pour rejoindre au plus vite son amant allemand, plantant sa fille sans hésitation pour une villégiature en Italie. Sans le sou et quasiment sans toit sur la tête, Georgie ne sait plus comment s’en sortir. La solution arrive du palais de Buckingham : la Reine Mary appelle Georgie pour lui confier une mission. Non, cette fois pas de David à espionner. Comme elle connaît l’étiquette sur le bout des doigts, elle se voit confier la lourde tâche d’éduquer l’héritier de Kingsdowne Place, dans le Kent, qui débarque, frais émoulu de la lointaine et sauvage Australie, pour faire de lui un parfait Duc d’Eynsford. Notre Lady est, pour un temps, à l’abri du besoin et prend la route du Kent. A Kingsdowne Place, elle se trouve confrontée à une ambiance familiale quelque peu tendue : Edwina, la Duchesse douairière a du laisser les rênes du domaine à son second fils Cédric, le Duc d’Eynsford, très antipathique, plus préoccupé par ses lubies architecturales et artistiques ou de...
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  • triple_l_de_mag 08/03/2024
    J’ai lu le tome précédent il y a 2 ans, j’avais peur d’avoir laissé passer trop de temps entre ces deux tomes mais j’ai réussi à me replonger dans cette série sans aucun souci. Quel plaisir de retrouver Georgie ! C’est une série que j’aimais beaucoup et j’ai vite retrouvé pourquoi. L’écriture est fluide et agréable, l’histoire est dynamique avec de l’humour et les personnages sont bien attachants. Un cosy mystery dans une ambiance royale et dans les années 1930, un vrai régal. Vivement le tome suivant !
  • Jaes_Hunt 23/02/2024
    - Pas de spoilers - "Heirs and Graces", le titre en VO, est plus adéquat que ce "et l'héritier australien". Oui, l'héritier australien joue un rôle important mais il est en retrait par rapport au personnage de la douairière (Edwina) et Georgie ne passe que peu de paragraphes en sa compagnie. L'aspect cosy et le cadre campagnard sont des réussites. Un ton en-dessous du tome 6 mais supérieurs à celui de l'enquête transylvanienne. La galerie de personnages est excellente, mais ils sont tellement nombreux que l'auteur en a sacrifié plusieurs. Cela a réduit le temps de parole de Queenie et c'est tant mieux car cette bonne tourne en rond, mais nous prive presque totalement du grand-père de Georgie. Darcy n'a pas grand chose à dire alors que son tempérament et sa fonction auraient dû lui faire jouer un rôle actif (il se contente de suivre Georgie comme un toutou). Belinda, la meilleure amie, est si mal insérée dans l'histoire (et vite dégagée) qu'il aurait mieux valu la laisser faire la fête sur la Riviera. L'enquête, si elle est bien menée et prenante, démarre tard (ce n'est pas gênant) et, trop vite, le comportement de certains personnages m'ont évoqué un roman d'Agatha Christie. A cause de cela, ma première intuition (survenue avant le meurtre) quant au coupable aura été la bonne. Et si j'avais peu apprécié le roman de Christie auquel Rhys Bowen rend hommage, le twist qu'elle lui a appliqué m'a plu. Pour des raisons qui m'échappent, je vois souvent des lecteurs recommandant de lire les enquêtes de Georgie sans en respecter l'ordre. "Aucune importance" disent-ils. C'est une belle erreur que je vous encourage à éviter. Rhys Bowen est non seulement une auteure intelligente, mais elle est aussi une vétéran qui a écrit pour des séries télé anglaises, américaines et créé plusieurs séries de romans. Elle sait ce qu'elle fait quand elle introduit dans le tome 1 une Georgie empotée et qui n'enquête que par accident, sans goût particulier pour la chose. Lentement, au fil des tomes, son caractère s'affirme et elle se met d'elle-même à enquêter. Idem pour ses relations qui évoluent lentement mais sûrement. Si la Georgie du tome 1 avait été prise dans les évènements de ce tome 7, le vrai coupable n'aurait jamais été identifié. Son espionne royale ("Her Royal Spyness" en VO) est une série de romans cosy que je recommande en laissant une pause entre chaque tome. Ses personnages sont moins caricaturaux que chez MC Beaton et l'humour est plus léger, ils n'ont pas un cadre familier comme les vallons de Julia Chapman mais quel plaisir de retrouver Georgie !- Pas de spoilers - "Heirs and Graces", le titre en VO, est plus adéquat que ce "et l'héritier australien". Oui, l'héritier australien joue un rôle important mais il est en retrait par rapport au personnage de la douairière (Edwina) et Georgie ne passe que peu de paragraphes en sa compagnie. L'aspect cosy et le cadre campagnard sont des réussites. Un ton en-dessous du tome 6 mais supérieurs à celui de l'enquête transylvanienne. La galerie de personnages est excellente, mais ils sont tellement nombreux que l'auteur en a sacrifié plusieurs. Cela a réduit le temps de parole de Queenie et c'est tant mieux car cette bonne tourne en rond, mais nous prive presque totalement du grand-père de Georgie. Darcy n'a pas grand chose à dire alors que son tempérament et sa fonction auraient dû lui faire jouer un rôle actif (il se contente de suivre Georgie comme un toutou). Belinda, la meilleure amie, est si mal insérée dans l'histoire (et vite dégagée) qu'il aurait mieux valu la laisser faire la fête sur la Riviera. L'enquête, si elle est bien menée et prenante, démarre tard (ce n'est pas gênant) et, trop vite, le comportement de certains personnages m'ont évoqué un roman d'Agatha Christie. A...
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  • Zazaboum 01/11/2023
    Après le tome 6 qui est celui que j'ai le plus aimé jusqu'à présent, Noël et meurtres me plaisent toujours, j'ai trouvé celui-ci beaucoup plus fade ! Georgie est envoyé dans le Kent pour accompagner l'arrivée de l'héritier direct du Duc d'Eynsford, le titre et le domaine étant inaliénables. Et l'héritier a vraiment besoin d'aide et de sympathie pour intégrer la façon d'être et de vivre de l'aristocratie anglaise alors qu'il est berger en Australie ! Fils du jeune frère décédé de l'actuel antipathique Duc, il va être directement soupçonné de l'avoir assassiné quand le corps de celui-ci sera retrouvé dans la campagne. Famille hautement dysfonctionnelle et où la matriarche est bien la seule à avoir les pieds sur terre et les principes bien ancrés. L'histoire tourne autour du droit de propriété anglais. Quand un titre et le domaine qui y est rattaché a été créé par le souverain de l'époque et qu'il n'y a plus d'héritier mâle, le titre disparait et le domaine revient à la Couronne ! Peu importe les femmes de la famille, elles n'existent pas !!! Parfois, et dans ce volume c'est le cas, le hasard qui réunit Georgie et Darcy est un peu gros. L'apparition de Belinda n'était absolument pas nécessaire surtout pour la rendre aussi irritante, alors qu'elle avait tendance à m'amuser. Je vais laisser passer un peu de temps avant de lire le tome 8 mais pour remplir une consigne je n'ai trouvé que celui-ci qui avait un cheval sur la couverture ! Je comprends que pour ceux qui ne participent pas à des Challenges cela puisse sembler ridicule mais en fait c'est très amusant ! Jeux en Foli...ttérature XVIII Challenge Féminin 2022/2023 Lecture Thématique octobre 2023 : Auteur déjà lu Après le tome 6 qui est celui que j'ai le plus aimé jusqu'à présent, Noël et meurtres me plaisent toujours, j'ai trouvé celui-ci beaucoup plus fade ! Georgie est envoyé dans le Kent pour accompagner l'arrivée de l'héritier direct du Duc d'Eynsford, le titre et le domaine étant inaliénables. Et l'héritier a vraiment besoin d'aide et de sympathie pour intégrer la façon d'être et de vivre de l'aristocratie anglaise alors qu'il est berger en Australie ! Fils du jeune frère décédé de l'actuel antipathique Duc, il va être directement soupçonné de l'avoir assassiné quand le corps de celui-ci sera retrouvé dans la campagne. Famille hautement dysfonctionnelle et où la matriarche est bien la seule à avoir les pieds sur terre et les principes bien ancrés. L'histoire tourne autour du droit de propriété anglais. Quand un titre et le domaine qui y est rattaché a été créé par le souverain de l'époque et qu'il n'y a plus d'héritier mâle, le titre disparait et le domaine revient à la Couronne ! Peu importe les femmes de la famille, elles n'existent pas !!! Parfois, et dans ce volume c'est le cas, le hasard qui réunit Georgie et Darcy est un peu gros. L'apparition...
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  • BenedicteBiblio 26/09/2023
    Après avoir posé ses valises dans le Devon, au moment des fêtes de fin d’année, il est temps pour lady Georgiana de Rannoch de retrouver le charme et la grisaille de son quotidien londonien. Un plaisir qui ne durera malheureusement pas. Sa mère, l’actrice Claire Daniels, la laisse quelque peu tomber pour rejoindre fissa son dernier amant en Suisse. Notre héroïne se retrouve donc avec un loyer sur les bras alors qu’elle est sans le sou ! Heureusement, la Reine lui confie une nouvelle mission. Direction le Kent, où notre héroïne est censée instruire les rudiments du protocole de l’aristocratie anglaise à un fermier australien mal dégrossi qui se retrouve, bien malgré lui, héritier d’un titre. Son espionne royale et l’héritier australien est déjà le septième tome de la série Son espionne royale. Et il faut dire que ces romans d’atmosphère sont toujours aussi délicieux. J’aime plus que tout l’ambiance campagne anglaise de ces récits, mais aussi le fait qu’ils se déroulent dans la période des années 20-30. Notre Georgie se montre une nouvelle fois suffisamment fine mouche pour découvrir qui a osé s’en prendre au duc d’Eynsford bien que le personnage se montre des plus antipathiques. L’intrigue policière est bien ficelée, avec des rebondissements. J’étais loin du compte en tentant de démasquer l’identité du coupable (j’aurais donc fait une piètre détective) et même si le mobile était plutôt évident j’ai apprécié m’être fait mener en bateau. Il est ici question d’héritage, de liens familiaux et d’homosexualité (un thème plutôt tabou à l’époque où l’intrigue est censée se dérouler). Les personnages récurrents de la série sont tous présents. J’ai apprécié retrouver la si drôle et charismatique Belinda ; Queenie, la femme de chambre quelque peu gaffeuse et maladroite ; ou encore le grand-père de notre héroïne, un policier à la retraite. Darcy O’ Mara fait quant à lui toujours battre le cœur de notre Georgie, même si je trouve leur romance quelque peu en stand-by et finalement assez peu intéressante. Si j’ai passé un bon moment en compagnie de ce cosy mystery, c’est pour le moment le tome de la série que j’ai le moins apprécié. Je m’attendais peut-être à plus de rythme, mais aussi à davantage d’humour. Et il faut dire que je préfère quand lady Georgiana ne se retrouve pas bloquée à enquêter dans un huis clos. Reste que notre héroïne se montre toujours aussi courageuse et attachante, et je trouve agréable de suivre son évolution depuis sa toute première affaire policière (Son espionne royale mène l’enquête). Je serai donc bien sûr au rendez-vous pour poursuivre l’aventure, et j’espère lire la suite d’ici la fin 2023.Après avoir posé ses valises dans le Devon, au moment des fêtes de fin d’année, il est temps pour lady Georgiana de Rannoch de retrouver le charme et la grisaille de son quotidien londonien. Un plaisir qui ne durera malheureusement pas. Sa mère, l’actrice Claire Daniels, la laisse quelque peu tomber pour rejoindre fissa son dernier amant en Suisse. Notre héroïne se retrouve donc avec un loyer sur les bras alors qu’elle est sans le sou ! Heureusement, la Reine lui confie une nouvelle mission. Direction le Kent, où notre héroïne est censée instruire les rudiments du protocole de l’aristocratie anglaise à un fermier australien mal dégrossi qui se retrouve, bien malgré lui, héritier d’un titre. Son espionne royale et l’héritier australien est déjà le septième tome de la série Son espionne royale. Et il faut dire que ces romans d’atmosphère sont toujours aussi délicieux. J’aime plus que tout l’ambiance campagne anglaise de ces récits, mais aussi le fait qu’ils se déroulent dans la période des années 20-30. Notre Georgie se montre une nouvelle fois suffisamment fine mouche pour découvrir qui a osé s’en prendre au duc d’Eynsford bien que le personnage se montre des plus antipathiques. L’intrigue policière est bien ficelée,...
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