Still Alice

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• muestmao 04/03/2023

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  Très beau roman : énorme coup de cœur. Je ne sais pas si c’est une autobiographie mais les personnages et les événements sonnent terriblement vrais. J’ai adoré ce livre, traitant d’un sujet difficile : Alzeihmer Nous le vivons par la personne atteinte, et par ses proches et son entourage. À découvrir et à partager !!
• Chixoo 23/01/2023

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  Il y a du bon grain et de l'ivraie... Par quoi vais-je commencer ? Allons-y pour le bon grain: la justesse du récit qui, même s'il est étalé sur une durée réduite, reproduit assez fidèlement les premiers signes d'évolution de la maladie, les tourments qu'elle génère tant pour la personne atteinte que pour ceux qui l'entourent, famille et relations professionnelles. L'ivraie: le style gnangnan américain que je souffre de moins en moins et qui gâche mes lectures. Heureusement au fil des chapitres on arrive à y faire abstraction. Il y a de nombreux livres et romans sur cette maladie et c'était mon premier sur le sujet. Je ne regrette pas mon choix car il a plutôt parfaitement rempli sa mission.
• marina53 13/07/2022

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  Alice Howland est une femme comblée. Mariée avec John, éminent chercheur, depuis des années, mère de trois grands enfants et un boulot qu'elle adore. Diplômée d'un doctorat de psychologie, elle est titulaire d'une chaire à Harvard depuis 25 ans, enseignant la psychologie cognitive tout en menant des recherches en linguistique et donnant des conférences partout dans le monde. Seule ombre au tableau à ses yeux : sa fille cadette, Lydia, qui veut devenir comédienne quand les deux aînés ont suivi de brillantes études de médecine et de droit. Un matin, alors qu'elle faisait son jogging habituel, subitement, elle ne se repère plus. Paniquée, il lui faudra un certain temps pour enfin reconnaître les rues. Malheureusement, ses trous de mémoire deviennent de plus en plus fréquents. Si elle n'en parle pas à John, elle décide tout de même d'aller consulter son médecin généraliste. Après avoir écarté les syndromes de la ménopause, effectué bilans sanguins et IRM, il l'oriente vers un neurologue... Tragique diagnostique que celui posé sur Alice, à tout juste 50 ans, un Alzheimer précoce. Pour cette femme dynamique, passionnée par son métier, le monde perd peu à peu de ses couleurs. Consciente de ce qui lui arrive, elle sait que ses petits trous de mémoire s'aggraveront et redoute le jour où elle ne pourra plus reconnaître l'homme qui partage sa vie depuis tant d'années. Ce récit, intime et profond, dépeint avec un réalisme incroyable et beaucoup de tendresse ce que vit Alice, au jour le jour. Ses angoisses, ses peurs, ses colères, ses doutes, son impuissance devant cette maladie qui, elle le sait, la rongera petit à petit. Lisa Genova, diplômée en neurosciences et tenant une chronique sur le site de la National Alzheimer's Association, maîtrise parfaitement son sujet, sans jamais être larmoyante. Un roman d'une grande justesse et bouleversant... Alice Howland est une femme comblée. Mariée avec John, éminent chercheur, depuis des années, mère de trois grands enfants et un boulot qu'elle adore. Diplômée d'un doctorat de psychologie, elle est titulaire d'une chaire à Harvard depuis 25 ans, enseignant la psychologie cognitive tout en menant des recherches en linguistique et donnant des conférences partout dans le monde. Seule ombre au tableau à ses yeux : sa fille cadette, Lydia, qui veut devenir comédienne quand les deux aînés ont suivi de brillantes études de médecine et de droit. Un matin, alors qu'elle faisait son jogging habituel, subitement, elle ne se repère plus. Paniquée, il lui faudra un certain temps pour enfin reconnaître les rues. Malheureusement, ses trous de mémoire deviennent de plus en plus fréquents. Si elle n'en parle pas à John, elle décide tout de même d'aller consulter son médecin généraliste. Après avoir écarté les syndromes de la ménopause, effectué bilans sanguins et IRM, il l'oriente vers un neurologue... Tragique diagnostique que celui posé sur Alice, à tout juste 50 ans, un Alzheimer précoce. Pour cette femme dynamique, passionnée par son métier, le monde perd peu à peu de ses couleurs. Consciente de ce qui lui arrive, elle sait que...

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• Christian10 07/06/2021

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  un roman dur sur la déchéance de la personne humaine, déchéance liée à la maladie d'Alzheimer. je trouve ce livre bien écrit dans les descriptions de ce mal inexorable. J'ai vécu cette situation avec Maman et Papa. Oui, c'est terrible de voir , au jour le jour, les personnes s'en aller "mentalement" jusqu'au jour où celles-ci ne vous reconnaissent plus. Ce livre décrit formidablement bien ce cheminement. A contrario, je pense qu'il passe trop sous silence les difficultés physiques que cet état engendre et le stress permanent que cela procure à l'entourage proche. Les passages ne sont pas assez développés Je recommande de lire cet ouvrage qui permettra , peut-être, à ceux qui n'ont qu'une approche lointaine de cette maladie de la découvrir au travers d'une fiction qui décrit une vraie réalité.
• Doralex72 17/05/2021

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  J’ai d’abord connu le film – sorti en 2014 avec notamment Julianne Moore et Alec Baldwin – avant de découvrir qu’il était l’adaptation d’un livre paru en France en 2010. Je l’ai trouvé récemment et je m’y suis plongée avec un grand enthousiasme tant l’histoire est bouleversante. A bientôt cinquante ans, Alice Howland est une brillante professeure en psychologie cognitive à l’Université de Harvard. Mère de trois enfants aujourd’hui tous adultes – deux filles et un garçon – elle est mariée à John et vit à New York. Quand elle remarque certaines difficultés dans sa vie quotidienne, elle pense à la ménopause ou même à une sorte de dépression. Mais le jour où elle se perd non loin de chez elle alors qu’elle fait un footing marque un tournant. Elle apprend peu de temps après qu’elle souffre d’un début d’Alzheimer. Les annonces ne s’arrêtent pas là : sa maladie est due à une mutation génétique dont certains de ses enfants ont hérité. Pour Alice commence alors une autre vie, une vie où l’on n’est plus sûr de rien et où le lendemain sera pire que la veille. Cette femme, jeune, avec encore beaucoup de choses à vivre, à découvrir et à partager, n’est bientôt plus que l’ombre d’elle-même. L’histoire est tragique car elle est implacable. La maladie d’Alice est incurable et la fin est inéluctable. On assiste à une décrépitude : la mémoire s’effrite puis s’efface et la dignité est mise à mal. Nous réalisons alors que nous sommes peu de choses face à la maladie et que nous sommes tous vulnérables. L’histoire pourrait paraitre tristement banale : une femme qui perd la mémoire. Mais je n’ai jamais rien lu d’aussi fort concernant cette maladie et surtout concernant la multitude de conséquences. J’ai autant aimé cette lecture qui m’a chamboulée que j’avais aimé le film. C’est triste, ne nous le cachons pas, mais, même si elle est différente, tant qu’elle est là, c’est encore Alice. Still Alice. A ce titre, je préfère le titre original « Still Alice » qui selon moi reflète beaucoup mieux l’histoire que « L’envol du papillon » que je trouve moins parlant. Car dans le mot même de « still », il y a le sens de rester et de demeurer ce que l’on est. Et là est tout le nœud du roman. Alice peut-elle rester Alice alors qu’elle décline irrémédiablement malgré une volonté de fer ?J’ai d’abord connu le film – sorti en 2014 avec notamment Julianne Moore et Alec Baldwin – avant de découvrir qu’il était l’adaptation d’un livre paru en France en 2010. Je l’ai trouvé récemment et je m’y suis plongée avec un grand enthousiasme tant l’histoire est bouleversante. A bientôt cinquante ans, Alice Howland est une brillante professeure en psychologie cognitive à l’Université de Harvard. Mère de trois enfants aujourd’hui tous adultes – deux filles et un garçon – elle est mariée à John et vit à New York. Quand elle remarque certaines difficultés dans sa vie quotidienne, elle pense à la ménopause ou même à une sorte de dépression. Mais le jour où elle se perd non loin de chez elle alors qu’elle fait un footing marque un tournant. Elle apprend peu de temps après qu’elle souffre d’un début d’Alzheimer. Les annonces ne s’arrêtent pas là : sa maladie est due à une mutation génétique dont certains de ses enfants ont hérité. Pour Alice commence alors une autre vie, une vie où l’on n’est plus sûr de rien et où le lendemain sera pire que la veille. Cette femme, jeune, avec encore beaucoup de choses à vivre, à découvrir et...

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