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T'es beau, tu sais !
Date de parution : 17/02/2011
Éditeurs :
12-21

T'es beau, tu sais !

Date de parution : 17/02/2011

- Monsieur, j'lui dis comme ça, il va falloir que je vous tue toutes affaires cessantes, mes supérieurs m'en ont donné l'ordre !
- Essayez toujours, me répond le tueur à...

- Monsieur, j'lui dis comme ça, il va falloir que je vous tue toutes affaires cessantes, mes supérieurs m'en ont donné l'ordre !
- Essayez toujours, me répond le tueur à gages en levant son verre à ma santé.
Et il fait bien, vu qu'elle va être mise à rude épreuve,...

- Monsieur, j'lui dis comme ça, il va falloir que je vous tue toutes affaires cessantes, mes supérieurs m'en ont donné l'ordre !
- Essayez toujours, me répond le tueur à gages en levant son verre à ma santé.
Et il fait bien, vu qu'elle va être mise à rude épreuve, ma petite santé. Ah ! les souris, je vous jure... Plus je les pratique, plus je me rends compte que c'est du sable. Du sable émouvant, j'admets, mais terriblement mouvant ! Pour escalader les jolies dunes, vaut mieux ramper ! Dans cette position, on prend moins de risques, et puis quoi : c'est tellement plus agréable. Si je ne suis pas de retour à la fin de ce livre, ne vous caillez pas la laitance. Entrez et faites-vous des frites en m'attendant : la clé est sous le paillasson !

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EAN : 9782265090040
Code sériel : 79
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265090040
Code sériel : 79
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lecassin 08/07/2023
    « T’es beau, tu sais », Fleuve Noir 3ème trimestre 1972, type E, couverture Carl Brenders. Commençons par le négatif : ouf, « T’es beau, tu sais » est le dernier type E avec une couverture illustrée par Carl Brenders ; hideuse. Où sont passés les merveilleuses Gourdon ? Viendront bientôt les couvertures photo, à peine meilleures. Mais bon… Notre commissaire favori se rend à Tenerife, Canaries pour assassiner un tueur de classe internationale ; un rusé. C’est d’ailleurs pour ça qu’on le surnomme « le renard ». Il doit passer à l’action sous peu sur l’île, aussi San-A. arrive-t-il sur l’île accompagné de Félicie, le couple Bérurier et Marie-Marie, sans oublier bébé Antoine, sensé faciliter l’approche du tueur. Ordre du boss : application du plan B. Le contact est établi. Les présentations ne sont plus à faire : le tueur, Martin Braham n’a pas tardé à identifier San-Antonio, ni la nature de sa mission à Ténérife… On a affaire ici à un opus où l’intrigue est importante, plus que les fioritures de forme qui font un grand San-Antonio. Une intrigue confuse qui ne s’éclaircira que dans la conclusion du volume, où Marie-Marie, Miss Tresses, si vous préférez apportera la clé de voute de cet imbroglio, sans oublier de déclarer : « je cherchais le pourquoi que je veux t’épouser, Santonio. C’est pas que tu sois intelligent, mais t’es beau, tu sais ! » Un bon épisode, malgré tout, même si je préfère ceux qui virent carrément à la déconnance au détriment de l’intrigue. Prochaine étape : « Ca ne s’invente pas », mais ce sera pour le mois prochain… « T’es beau, tu sais », Fleuve Noir 3ème trimestre 1972, type E, couverture Carl Brenders. Commençons par le négatif : ouf, « T’es beau, tu sais » est le dernier type E avec une couverture illustrée par Carl Brenders ; hideuse. Où sont passés les merveilleuses Gourdon ? Viendront bientôt les couvertures photo, à peine meilleures. Mais bon… Notre commissaire favori se rend à Tenerife, Canaries pour assassiner un tueur de classe internationale ; un rusé. C’est d’ailleurs pour ça qu’on le surnomme « le renard ». Il doit passer à l’action sous peu sur l’île, aussi San-A. arrive-t-il sur l’île accompagné de Félicie, le couple Bérurier et Marie-Marie, sans oublier bébé Antoine, sensé faciliter l’approche du tueur. Ordre du boss : application du plan B. Le contact est établi. Les présentations ne sont plus à faire : le tueur, Martin Braham n’a pas tardé à identifier San-Antonio, ni la nature de sa mission à Ténérife… On a affaire ici à un opus où l’intrigue est importante, plus que les fioritures de forme qui font un grand San-Antonio. Une intrigue confuse qui ne s’éclaircira que dans la conclusion du volume, où Marie-Marie, Miss Tresses, si vous préférez apportera la clé de...
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  • JML38 04/07/2022
    Ce San-Antonio se déroule sur l'île de Tenerife, presque exclusivement à l'hôtel San Nicolàs. La mission du commissaire nécessitant la plus grande discrétion, l'idée de passer pour de simples touristes semblait plutôt bonne. S'installent donc pour ce qui ressemble à des vacances : Félicie, le petit Antoine recueilli par San-Antonio dans un épisode précédent, le couple Bérurier, leur nièce Marie-Marie. Même Sauciflard le chien des Bérurier est du voyage. Discrétion et Bérurier ne faisant rarement bon ménage, les descriptions de l'accoutrement de Berthe valent le détour, Alexandre Benoît se trouvant pour une fois presque relégué au rôle de faire valoir à côté de son épouse au niveau vestimentaire. Le commissaire n'est pas des plus réjouis par ce que lui demande son boss, à savoir neutraliser par tous les moyens un tueur à gages, ne se sentant pas l'âme d'un tueur lui-même. Béru n'ayant pas autant de scrupules que son ami se propose de faire le travail. Malgré sa couverture de français moyen profitant des douceurs du climat des Canaries, San-Antonio est immédiatement démasqué et un jeu de dupes s'installe entre sa cible et lui, chacun se trouvant être à la fois le chasseur et le chassé. L'intrigue se complique ensuite au point que Sana a l'impression que la situation lui échappe, surtout lorsqu'il constate un comportement étrange de son fidèle Béru qui ne semble pas dans son assiette – et le Gros pas dans son assiette, c'est plutôt inquiétant. Un cureton qui cache bien son jeu, une veuve pas très éplorée que le commissaire se charge de toute façon de déséplorer – moi aussi je peux inventer des mots –, des clowns franchement pas rigolos du tout, un tueur fin renard pas si fin que ça, toute une galerie de personnages contribue à agrémenter l'histoire jusqu'à un final particulièrement agité. Reste alors à Marie-Marie le privilège de clore cet opus. «T'es beau tu sais !».Ce San-Antonio se déroule sur l'île de Tenerife, presque exclusivement à l'hôtel San Nicolàs. La mission du commissaire nécessitant la plus grande discrétion, l'idée de passer pour de simples touristes semblait plutôt bonne. S'installent donc pour ce qui ressemble à des vacances : Félicie, le petit Antoine recueilli par San-Antonio dans un épisode précédent, le couple Bérurier, leur nièce Marie-Marie. Même Sauciflard le chien des Bérurier est du voyage. Discrétion et Bérurier ne faisant rarement bon ménage, les descriptions de l'accoutrement de Berthe valent le détour, Alexandre Benoît se trouvant pour une fois presque relégué au rôle de faire valoir à côté de son épouse au niveau vestimentaire. Le commissaire n'est pas des plus réjouis par ce que lui demande son boss, à savoir neutraliser par tous les moyens un tueur à gages, ne se sentant pas l'âme d'un tueur lui-même. Béru n'ayant pas autant de scrupules que son ami se propose de faire le travail. ...
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  • LectureChronique 05/06/2022
    Voilà San-Antonio, accompagné de la très sainte mère Félicie ainsi que toute la clique à Bérurier, embarquent tous pour des vacances à Ténérife. Mais ne vous méprenez pas, les gonzes ont une mission très spéciale : neutraliser un tueur à gage nommé Martin Braham, dit "le renard". Mais ce dernier a vite fait de reconnaitre le commissaire et son acolyte au grand coeur (corps). S'ensuit alors actions et rebondissements en tout genre. Mais une question se pose au final ; Qui est la cible de Martin ? Cruel dilemme pour San-A. qui se demande s'il doit laisser agir le tueur pour trouver la victime. Encore une fois, une réussite, avec cette fois-ci un imbroglio avec son éditeur, les notes de bas de pages se transforment en règlement de compte, San-A va jusqu'à menacer de ne pas terminer son roman. Bref, un brin taquin ce commissaire ! J'ai bien aimé celui-là parce que Berurier fait son Berurier dans ses meilleurs jours. J'adore le trait d'esprit de ce gars, et San-A qui surenchérit par dessus, c'est tellement marrant ! L'écriture entraînante, fantasque, on sent que sur celui-ci Frédéric Dard s'est bien amusé à l'écrire. Notre plaisir n'en est que plus décuplé à la lecture.
  • TmbM 29/04/2021
    Ce qu'il est intéressant de noter dans ce roman, ce sont les réflexions que glisse l'auteur sur son métier d'écrivain. Il y en a plus ou moins dans tous les épisodes mais je ne crois pas que San-Antonio ait jamais poussé le concept aussi loin. Il se permet des remarques sur son éditeur, lui tend la plume lors d'interventions fictives en note de bas de page et va jusqu'à imaginer un différent avec celui-ci. Puis, agacé, l'auteur menace d'interrompre son roman et prend le lecteur à parti. Il finit d'ailleurs par mettre ses menaces à exécution. Il met dont un terme prématurément à son intrigue, en entame une nouvelle en cours de route avant de revenir à son histoire d'origine sous prétexte que son éditeur aurait des moyens de rétorsion auxquels il est obligé de céder. Bien entendu, tout ceci est volontiers moqueur et se fait sur le ton de l'autodérision. L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
  • Wyoming 14/01/2019
    79ème San-Antonio, paru en 1972. Le commissaire doit dessouder un tueur à gages qui ne l'entend pas de cette oreille; donc, de l'action en perspective, peu de suspense mais quelques bons moments dans la veine de Dard.
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