Lisez! icon: Search engine
Tragédie à l'Everest
Christian Molinier (traduit par)
Date de parution : 14/11/2013
Éditeurs :
Presses de la cité
En savoir plus

Tragédie à l'Everest

Christian Molinier (traduit par)
Date de parution : 14/11/2013

Le 10 mai 1996, le Toit du monde fut le théâtre d’une véritable hécatombe. En route vers le sommet, quatre expéditions furent prises dans une violente tempête. En vingt-quatre heures,...

Le 10 mai 1996, le Toit du monde fut le théâtre d’une véritable hécatombe. En route vers le sommet, quatre expéditions furent prises dans une violente tempête. En vingt-quatre heures, huit alpinistes, dont deux guides réputés, trouvèrent la mort.
Envoyé spécial du magazine américain Outside, Jon Krakauer fait partie des...

Le 10 mai 1996, le Toit du monde fut le théâtre d’une véritable hécatombe. En route vers le sommet, quatre expéditions furent prises dans une violente tempête. En vingt-quatre heures, huit alpinistes, dont deux guides réputés, trouvèrent la mort.
Envoyé spécial du magazine américain Outside, Jon Krakauer fait partie des survivants. Tragédie à l’Everest, son récit de ce drame, est un livre lucide et courageux qui passionnera tous les amoureux de récits d’aventures vécues, amateurs de montagne ou non, comme il a fasciné des millions de lecteurs américains. Un classique du genre.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258108585
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
Presses de la cité
En savoir plus
EAN : 9782258108585
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • leslivresdecass 06/02/2024
    J’avais vu le film tiré de ce film qui m’avait fascinée! C’est donc parti! Vu l’auteur (il a quand meme écrit Into the wild), la plume est juste sublime mais ce que j’aime, c’est la facon d’expliquer toute cette histoire cash, sans langue de bois. On est pris directement et surtout, on sent tout de suite cette ambiance particulière, si différente. Parce que oui, ce que l’auteur explique est réel et encore plus, il était la bas, il a tout vécu! Pourtant, ce n’est pas écrit comme un documentaire, enfin pas totalement. On a l’impression d’être dans une histoire tellement c’est fluide mais on retombe vite sur terre par certains rappels vécus. Je dois avouer que j’avais une boule dans la poitrine et que je n’ai pas su tout lire d’un coup tellement c’était intense! On a l’impression d’être la bas, de voir venir toute la catastrophe mais de ne rien pouvoir faire pour l’arrêter. On a une sensation vraiment oppressante par moment, c’est incroyable tout ce qu’il fait passer dans cet écrit! Il n’y a rien a faire, on continue car on veut tout savoir. Il y a de vrais moments d’émotions pures, dures ou vous devez vous arrêter un peu pour reprendre vos esprits. Ce livre est dur mais magnifique. J’ai souvent été touchée par son écrit, par tout ce qui s’est passé et la réflexion aussi au dela. Un livre qui marque, dont je me souviendrai longtemps!! Lecture commune avec ma meilleure amie, allez voir son avis aussi ;-). J’avais vu le film tiré de ce film qui m’avait fascinée! C’est donc parti! Vu l’auteur (il a quand meme écrit Into the wild), la plume est juste sublime mais ce que j’aime, c’est la facon d’expliquer toute cette histoire cash, sans langue de bois. On est pris directement et surtout, on sent tout de suite cette ambiance particulière, si différente. Parce que oui, ce que l’auteur explique est réel et encore plus, il était la bas, il a tout vécu! Pourtant, ce n’est pas écrit comme un documentaire, enfin pas totalement. On a l’impression d’être dans une histoire tellement c’est fluide mais on retombe vite sur terre par certains rappels vécus. Je dois avouer que j’avais une boule dans la poitrine et que je n’ai pas su tout lire d’un coup tellement c’était intense! On a l’impression d’être la bas, de voir venir toute la catastrophe mais de ne rien pouvoir faire pour l’arrêter. On a une sensation vraiment oppressante par moment, c’est incroyable tout ce qu’il fait passer dans cet écrit! Il n’y a rien a faire, on continue car on veut tout savoir. Il y a de vrais moments d’émotions pures, dures ou vous devez vous arrêter...
    Lire la suite
    En lire moins
  • dagoba04 17/12/2023
    L'amour des livres nous emmène souvent dans des endroits auxquels on avait jamais pensé avant. Je ne lisais que du polar et du Stephen King mais la littérature m 'a fait voyager dans le temps avec Follett et Druon, dans l espace avec Bordage et Simmons. Et dans l' Himalaya il y a un mois, toujours avec le grand Dan Simmons. En effet, et depuis la lecture de "L 'Abominable" de Simmons me voilà passionné par ces sommets qui défient les lois de Dame Nature et par ces hommes qui risquent leurs vies pour les dompter. Pourquoi ? Pourquoi souffrir autant ? Pourquoi prendre le risque de chuter de deux milles et de mourir le corps déchiqueté ? Pourquoi risquer une embolie cérébrale ou pulmonaire ou mourir de froid ? Pourquoi vouloir arriver à tout prix conquérir l'Everest ? La meilleure réponse restera toujours la réponse de George Mallory qui a répondu à cette question en disant : "Parce qu'il est là". Son cadavre fut retrouvé des décennies plus tard et repose à jamais sur les flancs de l'Everest. John Krakauer dans "Tragédie a l'Everest" nous raconte l 'histoire de plusieurs hommes et femmes qui ont voulu, "parce qu'il est là" arriver sur le toit du monde. En bon journaliste qu' il est, Krakauer va nous plonger dans cette expédition qui a viré au cauchemar. Parce que oui " quand ça veut pas ça veut pas". Il est un des survivants de ce drame et à choisi, pour nous immerger autant que pour rendre hommage à ses compagnons d'infortune qui ne sont jamais redescendus de nous raconter leur histoire. Ce n'est pas un énième livre sur l'Everest mais un livre qui raconte l 'histoire de ces hommes et femmes qui y ont perdu la vie. De coups du sort en mauvaises décisions en passant par des malentendus et une mauvaise communication et l' Everest ne fera pas de pitié. Krakauer ne se ménage pas et explique à quel point cela le ronge d'être revenu en vie et à quel point il fut atteint du syndrome du survivant. Et puis il y a les questions qui resteront sans réponse et surtout les terribles "si". Si j 'étais descendu cinq minutes plus tot ou plus tard ? Si j' avais pu donner un peu d'oxygène à mon camarade? Si je l 'avais vu partir du mauvais côté ? Et si, et si et si... Krakauer en restera marqué à vie. L' Everest ne pardonne pas les mauvaises décisions et n'à aucune tolérance. Il se fout que vous soyez en apoxie et dans une fatigue extrême tout autant que votre manque de sommeil ou de force. L 'erreur c'est la mort et les trois cent cadavres qui gisent à tout jamais sur l' Everest sont là pour le rappeler aux alpinistes qui se lancent dans l 'ascension. "Tragédie à l' Everest" est un livre qui fait mal et qui est un incontournable à lire pour ceux qui comme moi sont fascinés par ce sommet de 8848 mètres que les hommes voudront toujours dompter. Parce qu'il est là. L'amour des livres nous emmène souvent dans des endroits auxquels on avait jamais pensé avant. Je ne lisais que du polar et du Stephen King mais la littérature m 'a fait voyager dans le temps avec Follett et Druon, dans l espace avec Bordage et Simmons. Et dans l' Himalaya il y a un mois, toujours avec le grand Dan Simmons. En effet, et depuis la lecture de "L 'Abominable" de Simmons me voilà passionné par ces sommets qui défient les lois de Dame Nature et par ces hommes qui risquent leurs vies pour les dompter. Pourquoi ? Pourquoi souffrir autant ? Pourquoi prendre le risque de chuter de deux milles et de mourir le corps déchiqueté ? Pourquoi risquer une embolie cérébrale ou pulmonaire ou mourir de froid ? Pourquoi vouloir arriver à tout prix conquérir l'Everest ? La meilleure réponse restera toujours la réponse de George Mallory qui a répondu à cette question en disant : "Parce qu'il est là". Son cadavre fut retrouvé des décennies plus tard et repose à jamais sur les flancs de l'Everest. John Krakauer dans "Tragédie a l'Everest" nous raconte l 'histoire de plusieurs hommes et femmes qui ont voulu, "parce qu'il est là" arriver sur le toit du...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Leelane 21/08/2023
    Jon Krakauer livre ses souvenirs et son analyse sur les événements dramatiques survenus lors de son ascension de l'Everest le 10 mai 1996. le récit est compréhensible même par des personnes n'ayant pas de connaissances en alpinisme. En effet, il n'y a pas besoin d'être un expert pour saisir que les faits décrits par Krakauer sont particulièrement graves. J'ai lu le livre presque d'une traite pour connaître la fin de cette journée, mortelle pour plusieurs camarades de l'auteur. C'est mon deuxième livres de Krakauer et je retrouve son style: une narration factuelle, sans fioritures ni envolées lyriques. Le témoignage de Jon Krakauer est subjectif et l'on ne saura jamais pourquoi certaines décisions ont été prises par les guides. Il admet lui-même que ses souvenirs sont parfois imprécis voire faux, en raison de la privation d'oxygène et de la fatigue extrême. Un des facteurs de risque semble en tout cas avoir été l'aspect commercial de l'ascension. En échange d'une somme d'argent, les guides accompagnent des personnes sans doute trop peu expérimentées en alpinisme, n'ayant pas d'expérience en très haute altitude ou n'ayant sans doute pas la condition physique requise. Complètement dépendantes de l'expérience de leur guide, de la force physique des sherpas et de leurs bouteilles d'oxygène, ces alpinistes peuvent se mettre en danger, ainsi que les personnes leur venant en aide. J'ai trouvé cet ouvrage intéressant, d'abord pour le récit à suspens qu'il décrit. Mais surtout il m'a permis de découvrir un peu le milieu de l'alpinisme en haute montage et les dérives du commerce associé à cette pratique. Une rapide recherche sur le net après la lecture de l'ouvrage confirme que cela ne va pas en s'améliorant : non-assistance à personnes en danger, peu de respect pour les nombreux cadavres sur la piste menant au sommet et qui servent de points de repère, abandon de nombreux déchets, files d'attentes au sommet… L'Everest semble être de plus en plus victime de son succès. Jon Krakauer livre ses souvenirs et son analyse sur les événements dramatiques survenus lors de son ascension de l'Everest le 10 mai 1996. le récit est compréhensible même par des personnes n'ayant pas de connaissances en alpinisme. En effet, il n'y a pas besoin d'être un expert pour saisir que les faits décrits par Krakauer sont particulièrement graves. J'ai lu le livre presque d'une traite pour connaître la fin de cette journée, mortelle pour plusieurs camarades de l'auteur. C'est mon deuxième livres de Krakauer et je retrouve son style: une narration factuelle, sans fioritures ni envolées lyriques. Le témoignage de Jon Krakauer est subjectif et l'on ne saura jamais pourquoi certaines décisions ont été prises par les guides. Il admet lui-même que ses souvenirs sont parfois imprécis voire faux, en raison de la privation d'oxygène et de la fatigue extrême. Un des facteurs de risque semble en tout cas avoir été l'aspect commercial de l'ascension. En échange d'une somme d'argent, les guides accompagnent des personnes sans doute trop peu expérimentées en alpinisme, n'ayant pas d'expérience en très haute altitude ou n'ayant sans doute pas la condition physique requise. Complètement dépendantes de l'expérience de leur guide, de la force physique...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Augustin1 17/07/2023
    Ce qui est certain c’est qu’après avoir lu Tragédie à l’Everest je suis absolument convaincue de ne jamais en faire l’ascension car ce livre m’a coupé toute envie, quand bien même j’aurais eu les capacités physiques pour espérer atteindre le sommet. Récit passionnant et dramatique malheureusement gâché par un style pitoyable et une rédaction confuse.
  • BMR 12/04/2023
    En 1852, Sikhdar , un arpenteur indien au service de la couronne britannique mesure pour la première fois la hauteur du nouveau toit du monde. Les premiers au sommet furent en 1953, Edmund Hillary et le sherpa Tensing Norgay : En 1996, les expéditions "commerciales" sont devenues monnaie courante (mauvais jeu de mots) et l'on peut se faire amener à l'altitude de croisière des avions pour environ 65.000 dollars (et deux mois de congés). Au printemps 1996 il y avait quatorze cordées et plus de 300 tentes au camp de base à 5.300 mètres. Jon Krakauer accompagne l'une de ces cordées. On connait désormais l'issue de la tragédie que l'on a pu voir au cinéma en 2015 dans le film de l'islandais Baltasar Kormakur : 8 morts ce jour-là perdus en plein blizzard et tempête de neige à 8000 mètres. La saison fut l'une des plus meurtrières (sans compter les amputations de doigts ou de nez). Jusqu'où peut aller la folie des hommes ? Krakauer nous en donne un assez bon aperçu, même s'il se perd un peu parfois (mais jamais trop longtemps) dans les justifications et explications pas très utiles rétrospectivement : qu'est-ce qui a foiré ? qui a merdé ? etc ... Il souffre un peu du complexe du survivant, on le comprend. [...] Entre 1921 et mai 1996, 144 personnes sont mortes pour 630 ascensions réussies, soit une sur quatre. Et puis là-haut on est bien loin de la solidarité entre sportifs, que ce soit entre les cordées concurrentes ou même au sein d'une même équipe : des pieds à la tête, le corps va si mal que c'est plutôt chacun pour soi. Et que dire de la satisfaction de ceux qui arrivent au sommet ? Le froid, la soif, l'épuisement, les engelures, la faim, la fatigue, le sommeil, le manque d'oxygène, ... les zombies prennent une photo rapide et hagards, entament la redescente au plus vite. Trop tard pour certains qui n'arriveront pas au camp. ❤️ Paradoxalement, le récit est à la fois une triste peinture de cette folie meurtrière et un formidable roman d'aventures hors du commun. Pour celles et ceux qui aiment la montagne, même en colère.En 1852, Sikhdar , un arpenteur indien au service de la couronne britannique mesure pour la première fois la hauteur du nouveau toit du monde. Les premiers au sommet furent en 1953, Edmund Hillary et le sherpa Tensing Norgay : En 1996, les expéditions "commerciales" sont devenues monnaie courante (mauvais jeu de mots) et l'on peut se faire amener à l'altitude de croisière des avions pour environ 65.000 dollars (et deux mois de congés). Au printemps 1996 il y avait quatorze cordées et plus de 300 tentes au camp de base à 5.300 mètres. Jon Krakauer accompagne l'une de ces cordées. On connait désormais l'issue de la tragédie que l'on a pu voir au cinéma en 2015 dans le film de l'islandais Baltasar Kormakur : 8 morts ce jour-là perdus en plein blizzard et tempête de neige à 8000 mètres. La saison fut l'une des plus meurtrières (sans compter les amputations de doigts ou de nez). Jusqu'où peut aller la folie des hommes ? Krakauer nous en donne un assez bon aperçu, même s'il se perd un peu parfois (mais jamais trop longtemps) dans les justifications et explications pas très utiles rétrospectivement : qu'est-ce qui a foiré ? qui a...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions Presses de la Cité
Des comédies hilarantes aux polars les plus noirs, découvrez chaque mois nos coups de cœur et de nouvelles idées de lecture.