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Tu es le Mal
Anaïs Bokobza (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 06/09/2012
Éditeurs :
Presses de la cité

Tu es le Mal

Anaïs Bokobza (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 06/09/2012

Rome, juillet 1982. Alors que l’Italie remporte la Coupe du monde de football, la très belle Elisa Sordi, employée du cardinal Alessandrini, disparaît. Elle est retrouvée sur les berges du...

Rome, juillet 1982. Alors que l’Italie remporte la Coupe du monde de football, la très belle Elisa Sordi, employée du cardinal Alessandrini, disparaît. Elle est retrouvée sur les berges du Tibre, le corps mutilé. Balistreri, le jeune et fringant policier chargé de l’enquête, n’élucidera pas le meurtre.
Rome, juillet 2006....

Rome, juillet 1982. Alors que l’Italie remporte la Coupe du monde de football, la très belle Elisa Sordi, employée du cardinal Alessandrini, disparaît. Elle est retrouvée sur les berges du Tibre, le corps mutilé. Balistreri, le jeune et fringant policier chargé de l’enquête, n’élucidera pas le meurtre.
Rome, juillet 2006. La mère d’Elisa se suicide pendant la finale du Mondial qui consacre une nouvelle fois la « Squadra Azzura ». Alcoolique, cardiaque et dépressif, Balistreri n’est plus que l’ombre de lui-même. Incorruptible en dépit de sa dérive personnelle, il décide de rouvrir le dossier qui le hante depuis plus de vingt ans...
« Le thriller parfait de Roberto Costantini, Tu es le mal, supporte la comparaison avec Stieg Larsson et révèle un maître du genre. »
Giovanni Pacchiano - Il sole 24 Ore

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EAN : 9782258093201
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258093201
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • collectifpolar 22/02/2021
    Rome, juillet 1982, l'Italie gagne la coupe du monde de football. La nuit même de la victoire, Elisa Sordi est retrouvée sur les berges du Tibre. Rome, juillet 2006, alors que l'équipe italienne bat la France, la mère d'Elisa se suicide. Balistreri, le policier chargé du dossier de sa fille n'est plus l'ombre que de lui-même mais décide de rouvrir l'affaire qui le hante depuis plus de 20 ans. Gros succès en Italie pour ce roman qui se déroule à la fois pendant les coupes du monde de football 1982 et 2006. Un thriller cependant assez classique, avec le traditionnel enquêteur dépressif, des "politiciens cyniques" et des "belles femmes insondables"... Mais voilà, on me le ventait comme l’équivalent italien de Stieg Larsson et là, déception, la comparaison est intenable. Bref j’ai été déçu par ce thriller politique qui a manqué d’envergure et de souffle. Mais j’avoue sa lecture a été agréable et facile. Un point positif car ce livre plaira certainement au amateur de thriller complotiste
  • Sachenka 11/06/2018
    Tu es le mal est un thriller policier de la nouvelle coqueluche italienne Roberto Costantini. Sur plusieurs plateformes et en différents endroits, incluant la promotion de la maison d’édition de la traduction française, on dit de lui qu’il supporte la comparaison avec Stieg Larsson. Permettez-moi de ne pas être d’accord. Donc, ceux qui cherchent un suppléant au maitre scandinave, continuez à chercher. Ceci dit, Tu es le mal n’est pas un mauvais roman, loin de là, surtout pour un premier roman. Mais je déteste la survente et les attentes trop élevées qu’elle engendre. Peut-être aurais-je accroché davantage au roman sans cela. Pour en revenir à Tu es le mal, j’ai apprécié tout de même. C’est un roman policier dont l’enjeu change et se complexifie avec les pages. Ce qui n’était qu’un meurtre prend des allures d’affaires d’État, de collusion avec le crime organisé et des ramifications dans plusieurs pays. Ce que j’ai beaucoup aimé, c’est le réalisme et les descriptions très précises de l’auteur. Il fait visiter à ses lecteurs Rome et les environs. Je suis allé dans la capitale italienne il y a quelques années et j’en ai gardé un excellent souvenir. J’éprouvais beaucoup de plaisir à lire les noms de rues, de places et quartiers où j’étais allé et dont je me rappelais. C’est précieux. Ce que j’ai moins aimé, ce sont les personnages, à commencer par le protagoniste, l’inspecteur Michele Balistreri. Je trouvais qu’il ne ressortait pas trop du lot, un peu comme un détective anonyme un peu sur le déclin, comme dans un énième roman policier. J’ai terminé la lecture du roman il y a peu et je serais très en mal de le décrire. Il n’a pas l’étoffe d’un Mikael Blomkvist, ni même d’un Kurt Wallander. Les autres personnages sortent un peu plus du lot, certains volent un peu la vedette à l’inspecteur, mais je ne me suis jamais attaché à eux. Mais bon, le roman est correctement écrit, l’intrigue est extrêmement bien ficelée (peut-être même un peu trop, il y avait des longueurs, selon moi) et il y a beaucoup de suspense. Un thriller comme on les aime. Et j’apprécie comment Roberto Costantini réussit à coller son histoire à des événements réels et, surtout, à faire plonger ses lecteurs dans l’Italie moderne, loin des clichés. Pendant ma lecture, j’avais le sang qui bouillait comme un Italien. Incidemment, je lirai d’autres des romans de cet auteur, sans doute pas dans un avenir proche mais un jour.Tu es le mal est un thriller policier de la nouvelle coqueluche italienne Roberto Costantini. Sur plusieurs plateformes et en différents endroits, incluant la promotion de la maison d’édition de la traduction française, on dit de lui qu’il supporte la comparaison avec Stieg Larsson. Permettez-moi de ne pas être d’accord. Donc, ceux qui cherchent un suppléant au maitre scandinave, continuez à chercher. Ceci dit, Tu es le mal n’est pas un mauvais roman, loin de là, surtout pour un premier roman. Mais je déteste la survente et les attentes trop élevées qu’elle engendre. Peut-être aurais-je accroché davantage au roman sans cela. Pour en revenir à Tu es le mal, j’ai apprécié tout de même. C’est un roman policier dont l’enjeu change et se complexifie avec les pages. Ce qui n’était qu’un meurtre prend des allures d’affaires d’État, de collusion avec le crime organisé et des ramifications dans plusieurs pays. Ce que j’ai beaucoup aimé, c’est le réalisme et les descriptions très précises de l’auteur. Il fait visiter à ses lecteurs Rome et les environs. Je suis allé dans la capitale italienne il y a quelques années et j’en ai gardé...
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  • Lapkast 21/09/2013
    Réussite magistrale, un polar époustouflant d'une rare intensité. À découvrir absolument ! Enorme coup de coeur, voici une pépite noire qui m'a été conseillée par un ami libraire alors que je ne l'avais pas repéré à sa sortie, je l'ai littéralement dévoré et j'ai été littéralement immergé dans cette sombre histoire en même temps que ses protagonistes. Et quel plaisir de lecture !! Roberto Costantini a vraiment bâti ici une intrigue vertigineuse et ambitieuse, et celle-ci est d'autant plus crédible que l'un de ses gros points forts, c'est d'avoir réussi à bâtir une formidable galerie de personnages aussi fascinants qu'intrigants, et plus vrais que nature. Tous sont troubles et ambigus et participent à cette incroyable atmosphère de secrets enfouis, de drames mystérieux passés sous silence à travers la vingtaine d'années qui sépare le début de l'intrigue jusqu'à ses répercussions sanglantes et sa résolution. Un tel talent pour dresser toute une série de portraits aussi réussis est assez rare mais, comme pour la progression de son enquête et de cette ambiance bien particulière qui semble plomber cette Rome de plus en plus crépusculaire, à la fois sombre, tendue et mystérieuse qui plane tout au long du récit, l'auteur y va par petites touches successives, sans jamais s'appesantir. Ici, on est loin des thrillers formatés avec pseudo-rebondisements capillotractés à chaque fin de chapitres de deux pages (si vous voyez ce que je veux dire...). Au contraire, l'auteur donne de la chair à ses personnages comme à son récit, distillant le doute, la suspicion chez son lecteur, l'air de rien. Et puis j'ai été en totale empathie avec ce commissaire Balistreri, formidable personnage hanté par le passé et ses erreurs, miné par un amour impossible comme par les profondes blessures liées à son passé et à son adolescence. Un être en souffrance, bien que cela ne l'empêche pas de s'user au maximum pour la résolution de son enquête et pour découvrir la sombre vérité, jusqu'à devoir se sacrifier s'il le faut. Et c'est peu dire que l'enquête est mouvementée : entre fausses pistes, indices impossibles (apparemment) à relier, rebondissements inattendus, tout cela au sein des arcanes du pouvoir italien, à travers les politiciens et le Vatican omniprésent, et sans même parler de l'ombre des services secrets qui semblent planer quelque part, le lecteur vit totalement ce drame et cette traque du (ou des) tueur(s). Jusqu'à la dernière page et l'ultime révélation d'un dénouement à double détente, en forme de coup de poing, on ressort du livre lessivé, marqué et... heureux ! Heureux d'avoir lu un roman aussi formidable, mais aussi avec la furieuse envie de se jeter immédiatement sur une autre enquête de cette trilogie Balistreri ! Ce roman est unique et totalement addictif et, franchement, je le recommande vivement à tous, car il en surprendra plus d'un, tellement il est à la fois différent et plus profond que ce que l'on peut s'imaginer de prime abord. Roberto Costantini est vraiment un auteur talentueux, qui dans ce premier roman en forme de coup de maître se hisse d'emblée au panthéons des grands auteurs de polars, car justement il propose un univers unique et envoûtant, une vision de l'Italie en noir aussi fascinante que pertinente. Ne manquez surtout pas ce magnifique polar, et surtout... vivement la suite de cette trilogie !!! Réussite magistrale, un polar époustouflant d'une rare intensité. À découvrir absolument ! Enorme coup de coeur, voici une pépite noire qui m'a été conseillée par un ami libraire alors que je ne l'avais pas repéré à sa sortie, je l'ai littéralement dévoré et j'ai été littéralement immergé dans cette sombre histoire en même temps que ses protagonistes. Et quel plaisir de lecture !! Roberto Costantini a vraiment bâti ici une intrigue vertigineuse et ambitieuse, et celle-ci est d'autant plus crédible que l'un de ses gros points forts, c'est d'avoir réussi à bâtir une formidable galerie de personnages aussi fascinants qu'intrigants, et plus vrais que nature. Tous sont troubles et ambigus et participent à cette incroyable atmosphère de secrets enfouis, de drames mystérieux passés sous silence à travers la vingtaine d'années qui sépare le début de l'intrigue jusqu'à ses répercussions sanglantes et sa résolution. Un tel talent pour dresser toute une série de portraits aussi réussis est assez rare mais, comme pour la progression de son enquête et de cette ambiance bien particulière qui semble plomber cette Rome de plus en plus crépusculaire, à la fois sombre, tendue et mystérieuse qui plane tout au long du récit, l'auteur y va par petites...
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  • argali 29/07/2013
    « La limite entre un assassin et un justicier est le motif pour lequel il tue. » C’est ce que j’ai voulu montrer dans mon livre affirme Roberto Constantini. Ce roman pose en effet la question de la limite entre le bien et le mal, entre le défendable et l’indéfendable. Est-on différent si on tue pour sauver une vie ? Si on ment pour sauver une vie ? Si on laisse faire en espérant sauver une vie ? Toutes ces questions se posent à un moment ou à un autre dans ce roman noir qui nous plonge dans une Italie gangrénée par la corruption, les petits arrangements entre amis, les magouilles, les accointances entre politique, économie, monde des affaires, mafia et même Vatican… L’intrigue est dense, fouillée et les personnages nombreux. Mais Constantini prend le temps de les installer, de leur donner une consistance et par là même, de nous faire entrer en douceur dans les arcanes de son récit. Michele Balistreri, jeune policier sûr de lui et tombeur, est au cœur de l’histoire. Marqué par une affaire non résolue de son début de carrière, il va glisser peu à peu dans la dépression en raison du remord qui l’assaille. Seules son intégrité et sa volonté de faire la lumière sur une série de meurtres atroces, quoi qu’il remue, vont lui donner la force d’aller jusqu’au bout et de rouvrir ce dossier qui le hante. Rome joue également un grand rôle. Son ambiance, son cadre tantôt enchanteur tantôt misérable, ses habitants, son sens de la fête et de la démesure… concourent à l’atmosphère légère ou oppressante de l’histoire. Ainsi, la chaleur, la moiteur, la grève des éboueurs, les odeurs nauséabondes qui imprègnent les rues… rien ne nous sera épargné lors des passages noirs. La force de ce roman est aussi sa plongée au cœur de la réalité d’un pays et d’un peuple que l’auteur connaît bien et dont il parle sans ambages. Les situations politiques ou sociales évoquées rappelleront des faits précis, des personnages connus… C’est voulu… Pour un premier roman, premier volet d’une trilogie, ce policier nous offre une intrigue structurée et maîtrisée qui nous emmène dans un labyrinthe de possibles. La vérité se fait jour lentement mais l’on reste surpris jusqu’au bout. Je vous le conseille vivement. « La limite entre un assassin et un justicier est le motif pour lequel il tue. » C’est ce que j’ai voulu montrer dans mon livre affirme Roberto Constantini. Ce roman pose en effet la question de la limite entre le bien et le mal, entre le défendable et l’indéfendable. Est-on différent si on tue pour sauver une vie ? Si on ment pour sauver une vie ? Si on laisse faire en espérant sauver une vie ? Toutes ces questions se posent à un moment ou à un autre dans ce roman noir qui nous plonge dans une Italie gangrénée par la corruption, les petits arrangements entre amis, les magouilles, les accointances entre politique, économie, monde des affaires, mafia et même Vatican… L’intrigue est dense, fouillée et les personnages nombreux. Mais Constantini prend le temps de les installer, de leur donner une consistance et par là même, de nous faire entrer en douceur dans les arcanes de son récit. Michele Balistreri, jeune policier sûr de lui et tombeur, est au cœur de l’histoire. Marqué par une affaire non résolue de son début de carrière, il va glisser peu à peu dans la dépression en raison du remord qui l’assaille....
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