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Un jour on fera l'amour
Collection : Belfond Pointillés
Date de parution : 12/01/2017
Éditeurs :
Belfond
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Un jour on fera l'amour

Collection : Belfond Pointillés
Date de parution : 12/01/2017
Elle est là, à cinq mètres devant moi et quelque chose me souffle qu’elle est la femme de ma mort parce que c’est ça non, la femme d’une vie ?
 
« Ce qui est sous nos yeux peut aussi être inaccessible. Elle est là, à cinq mètres devant moi, et quelque chose me souffle qu’elle est la femme de ma... « Ce qui est sous nos yeux peut aussi être inaccessible. Elle est là, à cinq mètres devant moi, et quelque chose me souffle qu’elle est la femme de ma mort parce que c’est ça, non, la femme d’une vie ? On veut être avec elle quand la mort arrive.... « Ce qui est sous nos yeux peut aussi être inaccessible. Elle est là, à cinq mètres devant moi, et quelque chose me souffle qu’elle est la femme de ma mort parce que c’est ça, non, la femme d’une vie ? On veut être avec elle quand la mort arrive. Et lorsqu’un autre devient pour nous unique, que l’on veut le garder, on se garde soi. »
Elle, c’est Rosalie Sauvage. Lui, Alexandre.
Ils se rencontrent et aussitôt se perdent.
Ils sont aussi semblables qu’ils diffèrent l’un de l’autre et n’ont que vingt-quatre heures pour se retrouver. Après quoi la possibilité du bonheur sera à jamais derrière eux.
Ils sont leur première et dernière chance d’aimer.
 
Après Les hommes meurent, les femmes vieillissent, Isabelle Desesquelles interroge le verbe aimer. Et pose la question de l’absolu. Est-il prudent, est-il raisonnable, est-il possible, en amour ?
 
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EAN : 9782714473127
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
Belfond
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EAN : 9782714473127
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • veryclint 24/05/2017
    Trop descriptif et pas assez direct.
  • QueLire 05/04/2017
    Ce sont des visions différentes de l’amour qui se retrouvent au centre du nouveau roman d’Isabelle paru chez Belfond : un jour, on fera l’amour. Un jour on fera l'amour, la promesse de toute une vie Rosalie Sauvage porte bien son nom. Elle entame une relation aussi facilement qu’elle y met un terme. Jamais amoureuse, elle prend et surtout donne du plaisir avant de dire au revoir. Sa vie professionnelle est à l’image de sa vie sentimentale, mouvementée. Elle excelle dans la pub et son amant du moment n’est autre que son patron. Un homme marié effacera-t-il les traces sur le corps et dans l’âme de Rosalie laissées par nombre d’hommes plus âgés ? Alexandre est à l’opposé de Rosalie. L’amour pour lui c’est sacré. Persuadé qu’il y gagne à ne pas ouvrir son cœur à la première venue, ses bonnes résolutions tombent à l’eau le jour où il passe devant une boutique de robes de mariée. Il tombe amoureux d’un dos, d’une nuque, d’omoplates saillantes. Tétanisé, il ferme les yeux, en les ouvrants à nouveau le dos a disparu, laissant en lui un sentiment amer de grand amour perdu. Mon avis : C’est avec plaisir que je retrouve Isabelle Desesquelle qui décidément manie différents genres littéraires avec brio. Dans les âmes et les enfants d’abord, elle m’avait profondément touché en parlant de la mendicité qui semblait agresser les passants, l’obligeant à la regarder. Son nouveau roman est très différent, mais tout aussi excellent. Un jour on fera l’amour comme ci c’était la première fois L’amour, le sexe, les illusions, les espérances, les certitudes, tout dans ce roman semble opposer les deux personnages principaux. Rosalie la fonceuse aime tout recommencer. Adepte de l’ardoise blanche, elle vit sa vie par épisode. Alexandre a les pieds sur terre, mais son cœur porte le poids d’un passé heureux qu’il ne peut oublier, d’une jeunesse radieuse où le jeune garçon d’alors usait ses pantalons sur les sièges du cinéma. La passion du cinéma en toile de fond de ce livre Rosalie a été une petite fille aimée par un père qui la quitte d’être impuissant face au désintérêt de sa femme pour sa petite fille. Alexandre est choyé par un père qui n’était pas biologique, mais qui lui a tout donné, à commencer par la passion du cinéma. Bien que très différents, Alexandre et Rosalie ont un point en commun : ils n’ont jamais vraiment aimé. Pour elle, l’acte sexuel va de paire avec son boulot, pour lui, l’amour physique serait se fourvoyer. Isabelle Desesquelle fait se croiser avec brio ces trentenaires diamétralement opposés et réussit à nous tenir en haleine tout au long de ce jeu de cache-cache partiellement volontaire. Le récit est ponctué de références au cinéma et j’ai particulièrement aimé les dernières pages présentant quelques répliques de films cultes comme celle-ci par exemple : Jim eut une grande tristesse pour Jules, pourtant il ne pouvait juger Catherine. Elle avait pu sauter dans les hommes comme elle avait sauté dans la Seine. Jules et Jim (1962) de François Truffaut avec jeanne Moraut, Oscar Werner et Henri Serre Autre chose que j'ai beaucoup aimé, ce sont les titres des chapitres. J'adore le franc parler et le naturel qui en ressort. Je trouve qu'ils reflètent parfaitement la façon d'écrire d'Isabelle Desesquelles qui ne semble pas poser de filtre sur les émotions, mais met un point d'honneur à chercher pour chaque sensation, le mot juste. - trente ans et le curriculum vitae d'un nouveau né - un couple, c'est surtout des détresses complices - quitte à se mettre en jachère, autant que ça soit dans la nature... Un jour on fera l'amour est un roman que je conseille à tous ceux qui veulent plus qu'une histoire bien écrite. Il y a dans ce roman une sorte de réalité qui saute au visage, des personnages qui semblent réels. Le mot "vrai" est d'ailleurs probablement plus approprié pour parler de Rosalie et d'Alexandre.Ce sont des visions différentes de l’amour qui se retrouvent au centre du nouveau roman d’Isabelle paru chez Belfond : un jour, on fera l’amour. Un jour on fera l'amour, la promesse de toute une vie Rosalie Sauvage porte bien son nom. Elle entame une relation aussi facilement qu’elle y met un terme. Jamais amoureuse, elle prend et surtout donne du plaisir avant de dire au revoir. Sa vie professionnelle est à l’image de sa vie sentimentale, mouvementée. Elle excelle dans la pub et son amant du moment n’est autre que son patron. Un homme marié effacera-t-il les traces sur le corps et dans l’âme de Rosalie laissées par nombre d’hommes plus âgés ? Alexandre est à l’opposé de Rosalie. L’amour pour lui c’est sacré. Persuadé qu’il y gagne à ne pas ouvrir son cœur à la première venue, ses bonnes résolutions tombent à l’eau le jour où il passe devant une boutique de robes de mariée. Il tombe amoureux d’un dos, d’une nuque, d’omoplates saillantes. Tétanisé, il ferme les yeux, en les ouvrants à nouveau le dos a disparu, laissant en lui un sentiment amer de grand amour perdu. Mon avis : C’est avec plaisir que je retrouve Isabelle Desesquelle qui décidément manie différents...
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  • PLUMAGILE 20/03/2017
    Un rythme un peu (trop) lent, mais un bel hommage au cinéma, comme école de la vie. Une écriture très soignée.
  • MissAlfie 26/02/2017
    Dans ce roman, Isabelle Desesquelles donne la parole à deux trentenaires, Rosalie et Alexandre. Alternativement, ils nous racontent leur vie, leurs amours, leurs relations aux hommes, aux femmes ou encore à leurs parents, ils parlent de leur avenir, de leur vision du couple, de leur espoirs et de leur destin en parallèle. Avec beaucoup de douceur et de poésie, l'auteure joue avec les mots, les sons et les sens pour créer une ambiance digne d'un de ces films qu'aime tant Alexandre. Face à face, deux romantiques paumés, une femme qui se cherche face à sa mère, un homme qui fait le deuil d'un père adoptif, comment vivre et se trouver dans un monde où il suffirait d'enchaîner les relations sexuelles sans s'attacher pour ne pas souffrir ? Avec cette histoire d'amour improbable mais tellement douce, Isabelle Desesquelles nous laisse croire le temps de ses pages qu'un dos et une nuque peuvent bouleverser une vie, que les histoires d'amour se jouent peut-être sur des clignements d'yeux, à moins qu'il ne suffise de se laisser porter par le destin, et d'oser le chambouler de temps en temps...
  • Alexmotamots 31/01/2017
    De l’auteure, j’avais beaucoup aimé Les âmes et les enfants d’abord, un texte fort et engagé. Ce roman-ci est différent, bien que l’on y retrouve le style si particulier d’Isabelle Desesquelles. Avant de le commencer, je me disais : « encore un roman sur l’amour, bof.« Mais ce livre est plus que cela. C’est un livre qui nous parles des amours : l’amour difficile entre une mère et sa fille ; l’amour inconditionnel d’un père pour son fils ; l’amour dans un couple où arrive un enfant ; l’amour adultère impossible ; et bien sûr, l’amour coup de foudre. Si le triangle amoureux ne m’a pas franchement parlé, j’ai beaucoup aimé l’analyse qu’en fait l’auteure. Quel bel amour que celui du père d’Alexandre pour son fils : il lui a offert en plus l’amour du cinéma. Quel magnifique coup de foudre improbable entre Rosalie et Alexandre, qui se croisent et se recroisent tout en se cherchant, mais sans jamais se rencontrer. Faire l’amour n’est au fond pas si important ; le vivre est en revanche vital. L’image que je retiendrai : Celle du nom du cinéma du père d’Alexandre : le Rosebud.
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