« Yiyun Li possède un talent remarquable pour raconter lhistoire de toute la Chine à travers des vies en apparence insignifiantes. Tour à tour horrifiantes, belles et profondément émouvantes, les nouvelles de Yiyun Li, bien quelles se déroulent de nos jours, ont une forte résonance historique. Avec ce recueil, elle est dores et déjà une des voix chinoises les plus importantes de notre temps. »
New Statesman
« Yiyun Li est lauthenticité même. Elle a ce talent, cette vision et ce respect envers les mystères insolubles de la vie que lon rencontre chez les bons écrivains. Dans toutes ces nouvelles, les clichés potentiels sont mis en pièces à mesure que les personnages acquièrent une profondeur, une perspicacité, une individualité perverse. Les innombrables vies détruites par lHistoire ne peuvent être reconstruites, mais peut-être un livre comme Un millier dannées de bonnes prières est-il la meilleure revanche possible contre la naïveté bornée qui prévalait autrefois dans la littérature chinoise. »
The Guardian
À propos dUn beau jour de printemps :
« Dans un style en apparence plein de douceur, Yiyun Li révèle les profondeurs des âmes opprimées depuis des décennies, les aspirations et les rêves enfouis au fond de leur coeur, l'impuissance à défier le régime qui broie ses enfants. »
Dorian Malovic, La Croix
« Destins croisés, revirements surprenants, Yiyun Li brasse avec le souffle et le brio des grands romanciers américains, et une maîtrise exceptionnelle, le quotidien d'une localité où les échos du changement peinent à résonner. »
Michaël Mélinard, L'Humanité Dimanche
« Yiyun Li dépeint de manière magistrale la façon dont un régime totalitaire broie les hommes. [...] Un roman glaçant et admirable. »
Astride de Larminat, Le Figaro Littéraire
« Elle indique subtilement, les survivances d'un monde ancien sous le placage des moeurs communistes imposé. Mais elle sait aussi se montrer attentive au dégel des sentiments et aux saisons du coeur. [...] Dans un roman assombri par de dures réalités - y compris les prélévements d'organes sur des exécutés - resplendissent ainsi de purs instants de rêverie... Au fond de l'hiver sombre de l'Histoire, le printemps ? »
David Fontaine, Le Canard enchainé