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Un mois avec Montalbano
Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013
Éditeurs :
12-21

Un mois avec Montalbano

Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013
Amateur de bonne cuisine et amoureux de son pays, la Sicile, Salvo Montalbano n'est pas un commissaire comme les autres : à la férocité de la vie, il oppose une... Amateur de bonne cuisine et amoureux de son pays, la Sicile, Salvo Montalbano n'est pas un commissaire comme les autres : à la férocité de la vie, il oppose une intelligence humaniste et une ironie bienveillante.
Passionnels, accidentels, mafieux, les délits dont il s'occupe reflètent la nature humaine. Commis par des...
Amateur de bonne cuisine et amoureux de son pays, la Sicile, Salvo Montalbano n'est pas un commissaire comme les autres : à la férocité de la vie, il oppose une intelligence humaniste et une ironie bienveillante.
Passionnels, accidentels, mafieux, les délits dont il s'occupe reflètent la nature humaine. Commis par des vieux, des jeunes, des hommes, des femmes, beaux ou laids, ignorants ou lettrés, ces crimes ont pour point commun le regard posé sur eux par Montalbano qui éclaire cette folle comédie humaine de son œil vif et amusé.
Sous le soleil ardent de l'Italie contemporaine, toute une société prend vie : du clochard érudit au petit commerçant mafieux malgré lui... Le portrait d'un très ancien pays se compose : lumineux et âpre, vertigineux et passionnant. Un régal !
"Les récits de Camilleri, rassemblés dans Un mois avec Montalbano, sont exceptionnels. Personne en Italie n’en a écrit de ce niveau depuis de très nombreuses années. Une classe éblouissante et un bonheur narratif digne d'un grand maître." CORRIERE DELLA SERA
"Entre Leonardo Sciascia et John Le Carré, toute l'histoire de la Sicile dans des romans policiers philosophiques. L'UNITÀ
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EAN : 9782823803549
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823803549
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jcjc352 19/05/2023
    Cela m’est toujours délicat de critiquer un livre de Monzù Camilleri car j’en suis un inconditionnel, inconditionnel mais éclairé avec toutefois une propension certaine à ne pas voir le défaut… quand il y en a...pas trop … parfois même pas du tout...Hum ! Hum ! Une trentaine de nouvelles des bonnes d’autres moins mais toujours trop brèves car on ne voit peu les seconds personnages ceux qui donnent de l’épaisseur aux enquêtes Montalbano: Catarella, par exemple, entraperçu mais qui répondant à un «et ta sœur!» fait remarquer avec sa naïveté naïvement naïve qu’il est fils unique et mouche pirsonnellement un Montalba d’humeur noir et très ‘ntipatic ce jour-là, La Livia entraperçue, aussi, sur une barque en plein bronzing et punniquic (pique-nique, pour Montalba, la langue sicilienne a des déformations curieuses des anglicismes et des gallicismes {pour armuàr}) qui passe son temps à dormir quand Montalba besogne vigoureusement et ce dans une barque, Mimi Augello grand admirateur de Lolos et Pasquana le légiste et (faux)frère ennemi de Montalba : peu vu mais il fait fort car devant un catafaro poinçonné de 40 coups de couteaux il décrète une « indigestion aux figues de barbarie ».Sans oublier Clementina Vasile Cozzo son ancienne institutrice paralytique, Fagio, Zito le journaliste, les criques siciliennes, les rougets de roches et les vavaluci (escargots siciliens) Bref tout un pan de la vie de Vigata entr’aperçu trop brièvement La nouvelle ne convient pas particulièrement aux premiers abords à la verve camillerienne. Toutefois on s’y fait et on voit Montalba sous un autre jour : un fonctionnaire qui résout des petites affaires qui parfois n’en sont même pas, affaires de cornes ou autres petites incivilités, et tel Saint louis sous son chêne distribue les bons ou mauvais point aux malfaisants On en remarquera, parmi ces toutes nouvelles , deux dont « amour » et le « pacte » qui ont des accents pirandelliens quand à la noirceur de l’intrigue et l’ironique mordante de Camilleri avec une chute abominable et tragique On appréciera aussi la dernière «Mobile à double tranchant» ( l’histoire des figues) véritable farce enjouée malgré l’atrocité du meurtre et la méchanceté féroce de Camilleri pour son personnage féminin, monstrueuse baleine en pâmoison qui souffle par le nez comme avec des évents: personnage qui n’a rien d’une opulente et sympathique mama sicilienne et qui a bien mérité son sort On croise d'antique luparas, des carabiniéri (s), des personnages truculents, des pickpockets rigolards même des curés en soutane voire des rats et ce dans des petites tranches de vie bien sicilienne On nous dit dans une note finale « une petite nouvelle par jour et vous avez passé le mois avec Montalbano». Ce n’est pas tout à fait vrai car premièrement il y a le mois de février qui compte si je ne me trompe pas 28 jours et donc que faire des deux nouvelles de trop et ensuite ces petites écritures se lisent tellement bien qu’on s’en goinfre le soir comme avec des pâtes ‘ncasciata accompagnées de petits poulpes frits à l’huile d’olive ou de tagliatelles avec du Guatto (maquereau) ou même des sardines a beccafico et donc si on ne se réfrène pas... Cela m’est toujours délicat de critiquer un livre de Monzù Camilleri car j’en suis un inconditionnel, inconditionnel mais éclairé avec toutefois une propension certaine à ne pas voir le défaut… quand il y en a...pas trop … parfois même pas du tout...Hum ! Hum ! Une trentaine de nouvelles des bonnes d’autres moins mais toujours trop brèves car on ne voit peu les seconds personnages ceux qui donnent de l’épaisseur aux enquêtes Montalbano: Catarella, par exemple, entraperçu mais qui répondant à un «et ta sœur!» fait remarquer avec sa naïveté naïvement naïve qu’il est fils unique et mouche pirsonnellement un Montalba d’humeur noir et très ‘ntipatic ce jour-là, La Livia entraperçue, aussi, sur une barque en plein bronzing et punniquic (pique-nique, pour Montalba, la langue sicilienne a des déformations curieuses des anglicismes et des gallicismes {pour armuàr}) qui passe son temps à dormir quand Montalba besogne vigoureusement et ce dans une barque, Mimi Augello grand admirateur de Lolos et Pasquana le légiste et (faux)frère ennemi de Montalba : peu vu mais il fait fort car devant un catafaro poinçonné de 40...
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  • Kio971 23/09/2020
    Aaaahhh ! le commissaire Montalbano ...
  • bfauriaux 19/05/2020
    Un recueil de nouvelles remarquable par cet auteur italien hyper doué: je me suis régalé à la lecture de ces histoires qui ont le parfum de l'Italie et nous plonge dans la vie traditionnelle de la société sicilienne et napolitaine: un régal une écriture ciselée, bref une réussite absolue : A ne pas manquer !
  • Veromy 01/11/2019
    Un chouette recueil de nouvelles. Des petites histoires que j'ai aimées, certaines plus que d'autres évidemment. Le commissaire Montalbano est un personnage que j'apprécie de plus en plus. Je continuerai à lire ses enquêtes.
  • lehibook 15/06/2019
    30 nouvelles pour trente jours , qui vont de la petite vignette poétique au mini roman policier (La patte de l’artiste ) , de la comédie au drame . Point commun , Montalbano « pirsonallement », ses acolytes de Vigata ,et la Sicile. Avec en prime bien entendu , la plume caustique et le talent de conteur de Camilleri auquel il faut ajouter le talent du traducteur Serge Quadruppani (je peux en témoigner ayant d’abord lu le recueil en italien.
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