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Un os dans la noce
Date de parution : 17/02/2011
Éditeurs :
12-21

Un os dans la noce

Date de parution : 17/02/2011

Dans cette affaire, il y a beaucoup de morts et beaucoup d'anchois.
Le buste de Marianne en prend un sérieux coup…
Et celui de M. le Maire donc !
Et puis il y...

Dans cette affaire, il y a beaucoup de morts et beaucoup d'anchois.
Le buste de Marianne en prend un sérieux coup…
Et celui de M. le Maire donc !
Et puis il y a aussi des considérations comme celle-ci :
Tandis que les modestes dames semi-bourgeoises, bien ordonnées et prévoyantes, outre leurs confitures, leurs...

Dans cette affaire, il y a beaucoup de morts et beaucoup d'anchois.
Le buste de Marianne en prend un sérieux coup…
Et celui de M. le Maire donc !
Et puis il y a aussi des considérations comme celle-ci :
Tandis que les modestes dames semi-bourgeoises, bien ordonnées et prévoyantes, outre leurs confitures, leurs conserves d'haricots verts en bocaux (donc haricots verre) et leurs draps empilés dans des garde-robes aux senteurs de lavande, détiennent aussi de la fringue noire pour « en cas de malheur ». La mort peut carillonner à leur lourde : elles sont parées pour l'accueillir la tête haute, ces magistrales ménagères. La mort ne leur fait peur; ne les affole pas. Elles en font leur affaire. L'accommodent à la sauce aux larmes, avec un bouquet garni et une couronne de perlouzes : « A mon mari si mari et tellement tant bien aimé » qu'il te vous laisse des regrets éternels et un goût de n'y revenez plus. 

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EAN : 9782265090163
Code sériel : 82
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265090163
Code sériel : 82
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lecassin 01/04/2024
    Bon… Le San-Antonio du mois… « Un os dans la noce », 1er trimestre 1974. J’ai déjà eu souvent l’occasion de dire ici ce qui constitue pour moi un bon San-A, aussi je n’y reviendrai pas. Une rareté dans la série, « Un os dans la noce » est la suite de « J’ai essayé, on peut ». Ce genre de « diptyque » n’est apparu qu’une seule fois par le passé, me semble-t-il. Pas de souvenir du précédent cas, mais ici, on ne comprend pas franchement pourquoi ces deux histoires sont reliées alors qu’elles n’ont rien en commun. Ah si, la belle Zoé Robinsoncru, la promise de notre commissaire qui s’apprête à convoler en juste noces avec icelle. A moins qu’il n’y ait un os dans la noce, justement… Et il y a. S’ensuit une poignée de cadavres, un groupe de malfaiteurs plus ou moins dissous, une île quasiment déserte qui sent l’anchois, Godmichey, siège social de la firme B.I.T.A.U.C.U.L. On l’aura compris, pour les canulars sur les lieux et les personnages, ça va. Pour les notes en bas de page et la prise à partie du lecteur, ça va aussi. Pour le reste, rien ne va : Pinaud dans le paysage, ce qui n’est pas rare, malheureusement ; mais Béru ! Inexistant, Béru, et tellement « normal » ; intervenant juste pour tirer son supérieur héraldique d’une sale posture, façon Zoro ou cheveux sur la soupe, comme on voudra. On l’aura compris aussi : ce volume est loin d’être mon préféré. Où est le délire ? Où est la démesure ? Où est la folie ? Un San-Antonio bien moyen à mon goût, a tel point que j'ai sorti les rames pour finir. Au suivant : « Les prévisions de Nostrabérus ». Quelques souvenirs me reviennent à l’écriture de ce titre ; plutôt bons, les souvenirs… A suivre. Bon… Le San-Antonio du mois… « Un os dans la noce », 1er trimestre 1974. J’ai déjà eu souvent l’occasion de dire ici ce qui constitue pour moi un bon San-A, aussi je n’y reviendrai pas. Une rareté dans la série, « Un os dans la noce » est la suite de « J’ai essayé, on peut ». Ce genre de « diptyque » n’est apparu qu’une seule fois par le passé, me semble-t-il. Pas de souvenir du précédent cas, mais ici, on ne comprend pas franchement pourquoi ces deux histoires sont reliées alors qu’elles n’ont rien en commun. Ah si, la belle Zoé Robinsoncru, la promise de notre commissaire qui s’apprête à convoler en juste noces avec icelle. A moins qu’il n’y ait un os dans la noce, justement… Et il y a. S’ensuit une poignée de cadavres, un groupe de malfaiteurs plus ou moins dissous, une île quasiment déserte qui sent l’anchois, Godmichey, siège social de la firme B.I.T.A.U.C.U.L. On l’aura compris, pour les canulars sur les lieux et les personnages, ça va. Pour les notes en bas de page et la prise à partie du lecteur, ça va aussi. Pour le reste, rien ne va : Pinaud dans le paysage,...
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  • TmbM 14/02/2023
    À croire que le destin lui-même est opposé au mariage du meilleur flic du pays ! Mais d'ailleurs, est-ce vraiment lui qui est visé par la bombe ? Si c'est la première question qu'il se pose, ce n'est pas la dernière à laquelle il devra répondre... Le voilà parti sur un long chemin en solitaire, ponctué de traquenards, de cadavres, et parsemé d'inventions langagières dont il a le secret... Touchez mon blog, Monseigneur...
  • Bouton 30/04/2020
    J'ai trouvé ce roman dans une boîte à livre et comme je n'avais jamais lu de "San Antonio", je me suis dit pourquoi pas ? J'ai été très surprise et pas déçue du tout. D'abord très perturbée par le vocabulaire (je suis souvent allée voir dans un dictionnaire d'argot), j'ai fini par apprécier le style, drôle et souvent juste. Au final, un bon polar au vocabulaire haut en couleur qui déride et qui fait du bien...
  • Wyoming 16/01/2019
    82ème San-Antonio, paru en 1974. L'os dans la noce, cela pourrait être une bombe qui exploserait si le commissaire exprime son consentement lors de son mariage. Le décor est donc planté pour des moments ubuesques en compagnie des héros habituels. Un bon numéro de la série.
  • Beathi 15/11/2015
    82ème roman de San-Antonio publié le 10/01/1974. L'histoire se déroule en région parisienne et sur l'île de Godemichey (à 16 miles du comté de Cornouailles) pendant l'été 1973. Histoire : il s'agit de la suite du roman précédent "J'ai essayé : on peut !". San-Antonio se marie avec Zoé Robinsoncru. Mais arrivé à la mairie, une personne lui glisse un mot dans la main : s'il prononce le mot "oui", une bombe explosera sous la table du maire ... Comme l'ouvrage précédent, l'énigme est très bien construite. San-Antonio agit plus en solo avec quelques intervention de Bérurier. Pinaud est absent de l'enquête. L'année 1974 débute avec un bon San-Antonio.
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