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Un prénom en trop - Prix de la Gendarmerie nationale 2022
Date de parution : 03/03/2022
Éditeurs :
Plon

Un prénom en trop - Prix de la Gendarmerie nationale 2022

Date de parution : 03/03/2022
On ne naît pas tueur, on le devient.
2e lauréat du Prix du roman de la gendarmerie nationale
Il a suffi d’une soirée d’été pour que Rebecca, jeune femme sans histoires, soit prise au piège d’un jeu cruel, implacable. À présent, lorsqu’elle marche dans la rue, elle se retourne tous les trois... Il a suffi d’une soirée d’été pour que Rebecca, jeune femme sans histoires, soit prise au piège d’un jeu cruel, implacable. À présent, lorsqu’elle marche dans la rue, elle se retourne tous les trois pas. Rebecca pense que le danger est dans son dos. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ?
Une...
Il a suffi d’une soirée d’été pour que Rebecca, jeune femme sans histoires, soit prise au piège d’un jeu cruel, implacable. À présent, lorsqu’elle marche dans la rue, elle se retourne tous les trois pas. Rebecca pense que le danger est dans son dos. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ?
Une descente aux enfers intrigante, ironique, corrosive, dans laquelle Christophe Carlier joue avec les codes du roman noir.

Ce roman est le lauréat de la deuxième édition du Prix du roman de la gendarmerie nationale, qui vient récompenser une oeuvre de fiction dans laquelle la gendarmerie et le rapport au métier de gendarme occupent une place cardinale.
Présidé par le général d'armée Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie nationale, le jury réunit gendarmes, journalistes et écrivains, tels que Maxime Chattam, Françoise Bourdin, Cécile de Ménibus, Emmanuel Chaunu, Virginie Carton, Eric Delbecque ou Yves Thréard…
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EAN : 9782259311304
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259311304
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Breizh29livres 25/04/2023
    Un petit bijou de noirceur et de cynisme. Ponctué d'humour en plus ! Tout semblait plutôt bien aller au pays de Rebecca. Jusqu'à ce que qu'un psychopathe la prenne pour cible. Il la traque, l'effraie, toujours à la périphérie de sa vie. Commence alors un long cauchemar pour la jeune femme qui ne sait plus à qui se fier et tremble, tant au bureau que chez elle. Pourquoi elle ? Qui pourrait lui vouloir du mal ? Les courts chapitres à plusieurs voix insufflent une vraie force à une histoire déjà réjouissante. On en deviendrait presque parano... A ne pas manquer ! " Un prénom en trop " de Christophe Carlier, aux éditions Plon.
  • Diabolau 08/09/2022
    Élégante, et même distinguée, c'est ainsi que je qualifierai l'écriture de Christophe Carlier. Un style qui convient tout particulièrement à la voix du personnage du pervers, qui est véritablement l'homme fort de ce livre, mais sans doute un peu moins à la collaboratrice Violette, dont la personnalité moins affirmée s'accommode plus mal de ce ton désinvolte et sûr de lui. Je ne sais pas si les gendarmes sont nombreux dans le jury de ce prix, mais si tel est le cas, j'ai envie de dire qu'ils sont "beaux joueurs" d'avoir voté pour un ouvrage dont l'intrigue ne laisse quasiment rien à l'enquête judiciaire, et pour le peu qu'on les évoque, qui donne finalement une assez piètre image des hommes en bleu – bien que celle-ci soit sans aucun doute conforme à une certaine réalité, au moins dans certaines brigades, tout comme dans les commissariats d'ailleurs, sans quoi il n'y aurait pas autant de manquements menant chaque année à des dizaines de féminicides évitables. En tout cas, ça renouvelle un peu le genre du thriller psychologique, ce qui n'est pas un mal, et si c'est très court (lu en 2 h 30), ça se lit bien, d'une traite et sans ennui.
  • Emysbook 21/08/2022
    « Un prénom en trop » est le genre de polar qui dépeint une société malfaisante est complètement ancrée dans la réalité. On suit alors Rebecca, jeune femme traquée jour et nuit, poursuivie presque dans l’ombre d’elle même. #x1f50d les chapitres sont courts, rapides et changeant en fonction des personnages. J’avoue apprécier ce format néanmoins pour ce roman cela m’a beaucoup perdu. J’avais l’impression de parfois lire la même chose mais d’un point de vue différent : je me suis lassé. L’objectif de ce roman à mon sens était néanmoins de créer une ambiance, une atmosphère pesante qui enveloppe le lecteur dans le harcèlement, dans la traque d’une femme jour et nuit, par des actions qui l’effraient.. c’est d’ailleurs très intéressant de voir la psychologie humaine ce développer dans ces circonstances ! C’est un roman riche, brut et qui nous embarque vraiment dans un autre univers, dommage de mon côté car j’ai été embrouillé..
  • Debohbooks 05/08/2022
    🌹 Truculent 🌹 Parlons peu, parlons bien, j’ai frôlé le coup de cœur. Pourquoi ? Parce que ce roman est une petite pépite du genre, mais il a aussi le mérite d’être atypique. Dès les premières plages, j’ai plongé dedans et sans la fatigue, j’aurais pu le lire d’une traite. Rebecca est une jeune femme dynamique, appréciée mais aussi jalousée. Il a suffi d’un soir pour que sa vie soit chamboulée. Le destin a voulu que sa route croise celle d’un pervers qui a décidé qu’elle serait à lui. Une histoire glaçante dans laquelle le sujet de l’obsession est abordé avec brio. La psychologie du prédateur et de la proie est ici très bien démontrée. L’auteur donne le ton avec une plume que j’ai beaucoup aimée, très fluide et non dénuée d’humour. D’ailleurs, l’humour ici est plutôt cynique, mais j’admets que malgré l’horreur des mots j’ai parfois rigolé. Un prénom en trop c’est un roman noir flirtant avec le thriller. On retrouve des personnages profonds, très bien développés, mais d’un point de vue original et en restant finalement sur certains protagonistes en particulier. Bien qu’on ne soit pas dans un thriller d’action, le livre est très prenant grâce à des chapitres très courts et on ressent vraiment le côté anxiogène. L’auteur... 🌹 Truculent 🌹 Parlons peu, parlons bien, j’ai frôlé le coup de cœur. Pourquoi ? Parce que ce roman est une petite pépite du genre, mais il a aussi le mérite d’être atypique. Dès les premières plages, j’ai plongé dedans et sans la fatigue, j’aurais pu le lire d’une traite. Rebecca est une jeune femme dynamique, appréciée mais aussi jalousée. Il a suffi d’un soir pour que sa vie soit chamboulée. Le destin a voulu que sa route croise celle d’un pervers qui a décidé qu’elle serait à lui. Une histoire glaçante dans laquelle le sujet de l’obsession est abordé avec brio. La psychologie du prédateur et de la proie est ici très bien démontrée. L’auteur donne le ton avec une plume que j’ai beaucoup aimée, très fluide et non dénuée d’humour. D’ailleurs, l’humour ici est plutôt cynique, mais j’admets que malgré l’horreur des mots j’ai parfois rigolé. Un prénom en trop c’est un roman noir flirtant avec le thriller. On retrouve des personnages profonds, très bien développés, mais d’un point de vue original et en restant finalement sur certains protagonistes en particulier. Bien qu’on ne soit pas dans un thriller d’action, le livre est très prenant grâce à des chapitres très courts et on ressent vraiment le côté anxiogène. L’auteur sait relancer le suspense, et on a envie de connaître le dénouement de cette sombre affaire. On suit ce jeu de chat et la souris sournois, avec attention. L’auteur propose une construction intelligente, originale et intéressante. Le livre est composé en trois parties, et si la dernière m’a paru plus lente, posée, que j’ai commencé à avoir peur du dénouement, je me suis pris un uppercut à la dernière page, me confirmant ce pourquoi j’avais aimé dès la première page. Bref, pour moi un vrai régal, un livre original. Je relirai cet auteur avec plaisir.
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  • Scribe 27/07/2022
    Un prénom en trop de Christophe Carlier C’est un roman d’une belle écriture, formé de chapitres courts, mettant en scène trois principaux personnages dont Rebecca dont nous ne connaitrons son histoire, ses relations, son travail, ses sentiments, ses peurs, ses doutes, ses angoisses qu’au travers du récit d’un psychopathe qui la traque et d’une collègue de bureau Violette, subordonnée à Rebecca et qui cherchera par tous les moyens à devenir son amie. Franchement, j’ai eu un peu de mal à entrer dans ce jeu de confidence entre ces deux personnages, ne sachant pas qui manipulait l’un ou l’autre, pour prendre en quelque sorte le pouvoir sur Rebecca. « On ne nait pas tueur on le devient s’inscrit en rouge » en page 4 de couverture. « Il suffit d’une soirée d’été dans une boite de nuit, pour que Rebecca nous dit Christophe Carlier, jeune femme sans histoire, soit le jeu cruel et implacable d’un jeu cruel implacable. Rebecca pense que le danger est dans son dos lorsqu’elle marche dans la rue et se retourne tous les trois pas. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ? Ce jeu dont va être victime Rebecca est... Un prénom en trop de Christophe Carlier C’est un roman d’une belle écriture, formé de chapitres courts, mettant en scène trois principaux personnages dont Rebecca dont nous ne connaitrons son histoire, ses relations, son travail, ses sentiments, ses peurs, ses doutes, ses angoisses qu’au travers du récit d’un psychopathe qui la traque et d’une collègue de bureau Violette, subordonnée à Rebecca et qui cherchera par tous les moyens à devenir son amie. Franchement, j’ai eu un peu de mal à entrer dans ce jeu de confidence entre ces deux personnages, ne sachant pas qui manipulait l’un ou l’autre, pour prendre en quelque sorte le pouvoir sur Rebecca. « On ne nait pas tueur on le devient s’inscrit en rouge » en page 4 de couverture. « Il suffit d’une soirée d’été dans une boite de nuit, pour que Rebecca nous dit Christophe Carlier, jeune femme sans histoire, soit le jeu cruel et implacable d’un jeu cruel implacable. Rebecca pense que le danger est dans son dos lorsqu’elle marche dans la rue et se retourne tous les trois pas. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ? Ce jeu dont va être victime Rebecca est celui d’un psychopathe qui est attiré par cette jeune femme, pour lui faire du mal. Harceleur, il mettra en œuvre tous les moyens et bon nombre d’attentions dont certaines mortifères pour déstabiliser sa victime, allant jusqu’aux meurtres d’autres femmes rencontrées par hasard, qui lui ressemblait de près ou de loin ou seulement avait comme prénom réel ou supposé celui de Rebecca. Lors de cette descente aux enfers de Rebecca une question Rebecca se pose ? Ne serait-elle pas aussi une manipulatrice bien qu’autoritaire et fragile comme on pourra le penser dans les derniers chapitres de ce livre. Sous diverses influences de ses amies mais pas que, et au regard des faits d’harcèlement de menaces à peine voilées de mort Rebecca se rend dans une brigade de Gendarmerie pour déposer une plainte. Sur l’indication du gendarme qui la recevra celle-ci déposera une main courante qui n'engage pas de procédure judiciaire la gendarmerie en l’occurrence, restant libre d'alerter ou non le procureur de la République sur les faits. Alors qu’il est précisé que les faits d’harcèlement, caractérisé par la répétition de propos et de comportement ayant pour conséquence une dégradation de la santé physique et mentale doit faire l’objet d’une plainte. Or, ici le gendarme semble plus intéressé par la plastique de Rebecca que par son dépôt de plainte et tout de suite requalifie sa demande par l’écrit d’une main courante. Toutefois, il faut toujours se méfier des premières impressions. Tout au long de ce roman qui se lit rapidement et ne vous fiez pas à ces 311 pages imprimées, l’on suit via les réflexions du psychopathe et de Violette, les mésaventures de Rebecca, mais aussi de celles de son petit ami qui sera mis en cause, puis de Violette qui elle aussi par le jeu pervers du psychopathe perdra un moment l’estime de Rebecca. Dans ce jeu du chat et des souris, il est dit que le gendarme enquête, tout de même. Parviendra-t-il à élucider cette affaire, protéger Rebecca ? Aura-t-il identifié le psychopathe ? Je vous laisse le découvrir. Ce roman Un prénom en trop de Christophe Carlier est le deuxième Lauréat du Prix de la gendarmerie nationale, qui récompense une œuvre de fiction dans laquelle la gendarmerie occupe une place cardinale. Autant le premier prix du roman de la Gendarmerie Nationale en 2021, Place aux Immortels de Patrice Quellard donnait une place prépondérante à une histoire mettant à l’honneur la mission d’un militaire de la gendarmerie comme prévôt pendant la première guerre mondiale, autant je reste dubitatif sur cette nomination ou le rôle controversé à mes yeux du gendarme, n’est pas l’élément principal de ce roman. Cela reste malgré tout un livre facile à lire à classer dans les romans policiers. Bien à vous.
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