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Une autre saison comme le printemps
Date de parution : 06/10/2016
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Une autre saison comme le printemps

Date de parution : 06/10/2016
Une clé vers l’au-delà.
 
Désormais installé aux États-Unis avec sa femme, François Doralli, alias Dorall Keepsake, auteur de renommée internationale, est l’invité d’honneur d’un festival de polar à Metz. Mais son séjour prend une... Désormais installé aux États-Unis avec sa femme, François Doralli, alias Dorall Keepsake, auteur de renommée internationale, est l’invité d’honneur d’un festival de polar à Metz. Mais son séjour prend une tournure inattendue lorsqu'Élisa, une amie d'enfance, le sollicite pour retrouver son fils de neuf ans, Nathaniel, victime d'un kidnapping. N'est-il... Désormais installé aux États-Unis avec sa femme, François Doralli, alias Dorall Keepsake, auteur de renommée internationale, est l’invité d’honneur d’un festival de polar à Metz. Mais son séjour prend une tournure inattendue lorsqu'Élisa, une amie d'enfance, le sollicite pour retrouver son fils de neuf ans, Nathaniel, victime d'un kidnapping. N'est-il pas spécialiste des disparitions dont il a fait sa matière romanesque ? Ne doit-il pas cela à Élisa, dont la situation s'accommoderait difficilement d'un recours à la police ? Doralli accepte, quoiqu'il soupçonne une sombre manipulation.
Le romancier se mue en enquêteur. Et pendant ce temps Nathaniel marche vers le Sud en compagnie d’un homme qu'il appelle papa.
 
Une autre saison comme le printemps est une histoire qui ne ressemble à aucune autre. À travers une intrigue aux multiples entrées, où les indices sont savamment distillés, Pierre Pelot propose une interprétation bouleversante de la puissance de l'amour, quand la mort vient s'interposer entre les aimés. Une aventure stupéfiante. 
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EAN : 9782350873855
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 182
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782350873855
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 182
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • paulmaugendre 12/04/2020
    Invité d'honneur du festival du cinéma et du roman noir de Metz, Dorall Keepsake se trouve à son corps défendant plongé dans une aventure qu'il aurait pu imaginer à son héros. Français, Keepsake, de son vrai nom François Doralli, tout comme son héros, est installé depuis des années aux Etats-Unis, où il est reconnu comme auteur à succès et comme scénariste. Cette incursion sur le sol qui l'a vu naître, et précisément vers le 17 novembre, une date fatidique dans son existence, Keepsake la ressent comme un pied de nez au sort, un défi. Un soir, alors qu'il ingurgite consciencieusement des gin-tonic, il est quasiment enlevé par un inconnu lequel pense que Keepsake, considéré comme le spécialiste littéraire des disparitions, est seul capable de pouvoir mener à bien une enquête. Malgré ses dénégations, Keepsake est mis en présence d'Elisa, une jeune femme qu'il a connu dans sa jeunesse. Nathaniel, l'enfant de celle-ci, a disparu. Malgré le mot que l'enfant a posté d'un petit village du Jura, et dans lequel il promet de revenir, tout laisse supposer qu'il s'agit d'un kidnapping. Elisa ne peut recourir à la police et Keepsake, contraint et forcé, se lance sur les traces du gamin. Ce qu'il découvre l'encourage à persévérer : Nathaniel fait du stop en compagnie d'un homme qu'il appelle papa... Dés le premier chapitre le lecteur sent où veut l'entraîner Pierre Pelot, une scène confortée par d'autres éléments disséminés au cours de l'histoire. Cependant Pierre Pelot ne raconte pas une banale histoire de revenants, il tisse autour de ses personnages une intrigue plus complexe et Keepsake lui-même se retrouve plongé dans un double cauchemar. A son habitude Pierre Pelot préfère aux grondements de la ville, le charme tranquille et vénéneux de la campagne. Il nous donne le ton dès la première ligne: Avant, les prés descendaient en pente douce jusqu'à la rivière, en dessous de la maison. Un roman sobre, sans effets grandiloquents, dont la force tranquille et inquiétante se nourrit de l'atmosphère et prend pour postulat : que peut faire l'amour en face de la mort ?Invité d'honneur du festival du cinéma et du roman noir de Metz, Dorall Keepsake se trouve à son corps défendant plongé dans une aventure qu'il aurait pu imaginer à son héros. Français, Keepsake, de son vrai nom François Doralli, tout comme son héros, est installé depuis des années aux Etats-Unis, où il est reconnu comme auteur à succès et comme scénariste. Cette incursion sur le sol qui l'a vu naître, et précisément vers le 17 novembre, une date fatidique dans son existence, Keepsake la ressent comme un pied de nez au sort, un défi. Un soir, alors qu'il ingurgite consciencieusement des gin-tonic, il est quasiment enlevé par un inconnu lequel pense que Keepsake, considéré comme le spécialiste littéraire des disparitions, est seul capable de pouvoir mener à bien une enquête. Malgré ses dénégations, Keepsake est mis en présence d'Elisa, une jeune femme qu'il a connu dans sa jeunesse. Nathaniel, l'enfant de celle-ci, a disparu. Malgré le mot que l'enfant a posté d'un petit village du Jura, et dans lequel il promet de revenir, tout laisse supposer qu'il s'agit d'un kidnapping. Elisa ne peut recourir à la police et Keepsake, contraint et forcé, se lance sur les traces du gamin. Ce qu'il découvre l'encourage...
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  • idevrieze 18/06/2019
    Quand tu laisses des romans longtemps dans ta pal pour les lire sans résumé C’est souvent d’ailleurs ce qui se passe pendant un de mes évènements préférés : la Grosse Opé de Bragelonne. 500 titres à 0.99 euros et une autre saison comme le printemps en faisait partie, tout simplement. Pour la faire courte, j’ai pris le livre à l’aveugle : je savais seulement que c’était un thriller, que l’auteur était le Pierre Pelot que je ne connaissais pas et que le roman était court. Et pourquoi donc fais je cela ? Tout simplement parce qu’on a tous tendance ) suivre des modes et des tendances. Ainsi, et je pense que vous le noterez si vous suivez les blogs que moi depuis quelques années : on finit tous par lire les mêmes choses. C’est humain. Aussi, le challenge reste à trouver des livres inattendus, sans beaucoup d’avis, afin d’avoir une opinion des plus neutres possibles et d’ouvrir ses horizons. Est-ce que cela fonctionné ici ? Mais carrément ! Je m’attendais à une histoire de disparition, style chasse à l’homme. Peut être une enquête à la Cold Case pendant qu’on y est. Et ce n’est absolument pas ce que j’ai eu et je peux vous dire que la surprise était totale. Comme l’impression de ne pas maîtriser tout ce que j’ai lu. Pour ceux qui ne connaissent pas Pierre Pelot, l’auteur de thrillers, vous vous demandez s’il écrit bien . Et bien il écrit extrêmement bien. Dans ce roman, il a adopté l’écriture du roman noir comme je les aime. Le style est direct. On aurait pu entendre la voix d’un Maigret par exemple. Ayant le décors planté, l’auteur va s’efforcer de vous donner progressivement toutes les données de l’affaire mais vous allez vous sentir perdu et vous allez vite comprendre pourquoi : le héros n’a pas nos informations. Il va donc induire en erreur constamment votre raisonnement et si vous voulez mon avis, votre lecture se passera bien uniquement si vous acceptez de lâcher prise. Prenez le roman comme il vient et vous vous prendrez vite au jeu du mystère. En bref, c’était une très bonne pioche et je compte aussi réitérer bientôt l’expérience.Quand tu laisses des romans longtemps dans ta pal pour les lire sans résumé C’est souvent d’ailleurs ce qui se passe pendant un de mes évènements préférés : la Grosse Opé de Bragelonne. 500 titres à 0.99 euros et une autre saison comme le printemps en faisait partie, tout simplement. Pour la faire courte, j’ai pris le livre à l’aveugle : je savais seulement que c’était un thriller, que l’auteur était le Pierre Pelot que je ne connaissais pas et que le roman était court. Et pourquoi donc fais je cela ? Tout simplement parce qu’on a tous tendance ) suivre des modes et des tendances. Ainsi, et je pense que vous le noterez si vous suivez les blogs que moi depuis quelques années : on finit tous par lire les mêmes choses. C’est humain. Aussi, le challenge reste à trouver des livres inattendus, sans beaucoup d’avis, afin d’avoir une opinion des plus neutres possibles et d’ouvrir ses horizons. Est-ce que cela fonctionné ici ? Mais carrément ! Je m’attendais à une histoire de disparition, style chasse à l’homme. Peut être une enquête à la Cold Case pendant qu’on y est. Et ce n’est absolument pas ce que j’ai eu et je...
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  • zazimuth 23/05/2019
    Je continue d'explorer les textes fantastiques de Pierre Pelot. Ici, le héros, un auteur de polar parti en Amérique revient en France pour un festival et se fait kidnapper par une ancienne camarade d'enfance dont le fils a disparu. Que se cache-t-il derrière cette enquête secrète et ce mystérieux enlèvement qui ressemble à une fugue ? Dorall Keepsake va replonger dans ses souvenirs et faire réapparaître l'image de son amour de jeunesse dont il n'a jamais pu oublier la mort ainsi que celle de son bébé mort dans son sommeil. Le personnage de Lizanne qui va guider malgré elle notre détective improvisé est attachant et permet de révéler la bienveillance cachée de l'homme blasé. L'intrigue est bien menée et l'idée de base séduisante.
  • Dominique_Lin 21/12/2016
    Le rôle d’un écrivain, c’est de prendre des risques, de s’appuyer sur des codes littéraires pour les enfreindre et c’est ce qu’a fait Pierre Pelot en écrivant Une autre saison comme le printemps. Polar, roman noir, aventure… on navigue entre les genres et c'est tant mieux; quel besoin a-t-on de classer les auteurs? Si on se fie à la réalité, on a à redire — des parents à qui on a enlevé un enfant iraient à la police… —, mais la littérature n’est-elle pas faite pour nous en sortir ? Je ne réécrirai pas l’intrigue, le résumé de l’éditeur est complet. Il suffit de rentrer dans l’histoire — ce qui est un peu long — pour comprendre qu’il s’agit là d’une mise en abîme intéressante. D’habitude, ce sont les détectives qui deviennent romanciers et non l’inverse. Le dialogue intérieur de l’écrivain qui demande à son pseudo comment il ferait pour résoudre cette énigme dans les polars qu'il écrit est intéressant. L’auteur démonte la réflexion, pièce par pièce. Au fil des pages, on est pris par l’intrigue, même si on n’y croit pas entièrement, car elle ne repose pas sur la logique ordinaire. Le style de l’auteur est assez fluide et riche pour nous embarquer. Certaines images sont fortes, les atmosphères prégnantes. On sent que Pierre Pelot sait tenir la plume et qu’il a construit son roman. Alors, prendre des risques, c’est avancer, se remettre en question. Saluons l’exercice ! Après La Faim blanche, de Aki Ollikainen, voici un autre titre fort chez EHO. Il ne plaira pas à tout le monde, et c’est un signe de qualité.Le rôle d’un écrivain, c’est de prendre des risques, de s’appuyer sur des codes littéraires pour les enfreindre et c’est ce qu’a fait Pierre Pelot en écrivant Une autre saison comme le printemps. Polar, roman noir, aventure… on navigue entre les genres et c'est tant mieux; quel besoin a-t-on de classer les auteurs? Si on se fie à la réalité, on a à redire — des parents à qui on a enlevé un enfant iraient à la police… —, mais la littérature n’est-elle pas faite pour nous en sortir ? Je ne réécrirai pas l’intrigue, le résumé de l’éditeur est complet. Il suffit de rentrer dans l’histoire — ce qui est un peu long — pour comprendre qu’il s’agit là d’une mise en abîme intéressante. D’habitude, ce sont les détectives qui deviennent romanciers et non l’inverse. Le dialogue intérieur de l’écrivain qui demande à son pseudo comment il ferait pour résoudre cette énigme dans les polars qu'il écrit est intéressant. L’auteur démonte la réflexion, pièce par pièce. Au fil des pages, on est pris par l’intrigue, même si on n’y croit pas entièrement, car elle ne repose pas sur la logique ordinaire. Le style de l’auteur est assez fluide et riche pour nous...
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  • Heindryckx 21/11/2016
    UNE AUTRE SAISON COMME LE PRINTEMPS DE L’AUTEUR PIERRE PELOT 248 PAGES SORTIE NOVEMBRE 2016 (UN EXCELLENT LIVRE) Résumé : Désormais installé aux États-Unis avec sa femme, François Doralli, alias Dorall Keepsake, auteur de renommée internationale, est l'invité d'honneur d'un festival de polar à Metz. Mais son séjour prend une tournure inattendue lorsqu'Élisa, une amie d'enfance, le sollicite pour retrouver son fils de neuf ans, Nathaniel, victime d'un kidnapping. N'est-il pas spécialiste des disparitions dont il a fait sa matière romanesque ? Ne doit-il pas cela à Élisa, dont la situation s'accommoderait difficilement d'un recours à la police ? Doralli accepte, quoiqu'il soupçonne une sombre manipulation. Le romancier se mue en enquêteur. Et pendant ce temps Nathaniel marche vers le Sud en compagnie d'un homme qu'il appelle papa. Une autre saison comme le printemps est une histoire qui ne ressemble à aucune autre. À travers une intrigue aux multiples entrées, où les indices sont savamment distillés. Mon avis : Je viens de terminer ce très beau roman poétique, énigmatique, passionnant. Une superbe intrigue par le biais d’un écrivain de polar et d’un petit garçon de 9 ans. Nous partons sur les traces d’un kidnapping et du surnaturel. Plusieurs histoires se croisent, se mêlent, se lient. Le rapport des êtres humains face à la mort de ceux que l’on aime et aussi de ceux que l’on déteste est le grand sujet de ce livre. A lire absolument : cet auteur inconnu pour ma part m’a séduite par son écriture, l’émotion si intense qui se dégage de cette histoire. Une très belle découverte, Je conseille vivement cette lecture. Go en librairie. UNE AUTRE SAISON COMME LE PRINTEMPS DE L’AUTEUR PIERRE PELOT 248 PAGES SORTIE NOVEMBRE 2016 (UN EXCELLENT LIVRE) Résumé : Désormais installé aux États-Unis avec sa femme, François Doralli, alias Dorall Keepsake, auteur de renommée internationale, est l'invité d'honneur d'un festival de polar à Metz. Mais son séjour prend une tournure inattendue lorsqu'Élisa, une amie d'enfance, le sollicite pour retrouver son fils de neuf ans, Nathaniel, victime d'un kidnapping. N'est-il pas spécialiste des disparitions dont il a fait sa matière romanesque ? Ne doit-il pas cela à Élisa, dont la situation s'accommoderait difficilement d'un recours à la police ? Doralli accepte, quoiqu'il soupçonne une sombre manipulation. Le romancier se mue en enquêteur. Et pendant ce temps Nathaniel marche vers le Sud en compagnie d'un homme qu'il appelle papa. Une autre saison comme le printemps est une histoire qui ne ressemble à aucune autre. À travers une intrigue aux multiples entrées, où les indices sont savamment distillés. Mon avis : Je viens de terminer ce très beau roman poétique, énigmatique, passionnant. Une superbe intrigue par le biais d’un écrivain de polar et d’un petit garçon de 9 ans. Nous partons sur les traces d’un kidnapping et du surnaturel. Plusieurs histoires se croisent, se mêlent, se lient. ...
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