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Une bonne école
Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 12/10/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

Une bonne école

Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 12/10/2017

Septembre 1941, Connecticut. À la Dorset Academy, un campus sélect tout de vieilles pierres et de pelouses géantes, on entend former les fils de la haute bourgeoisie – parents et...

Septembre 1941, Connecticut. À la Dorset Academy, un campus sélect tout de vieilles pierres et de pelouses géantes, on entend former les fils de la haute bourgeoisie – parents et enseignants répètent à l’envi que c’est une « bonne école ». Pourtant, à son arrivée à l’internat, William Grove découvre...

Septembre 1941, Connecticut. À la Dorset Academy, un campus sélect tout de vieilles pierres et de pelouses géantes, on entend former les fils de la haute bourgeoisie – parents et enseignants répètent à l’envi que c’est une « bonne école ». Pourtant, à son arrivée à l’internat, William Grove découvre l’envers du décor : lui, le fils nerveux d’un couple divorcé, se retrouve projeté dans un climat de « libido à l’état pur », où les garçons les plus populaires règnent en maîtres. Même les professeurs ressemblent à des lions en cage – en particulier Jack Draper, invalidé par la polio, témoin impuissant de la liaison qu’entretiennent au grand jour sa femme et le prof de français. Et puis il y a Edith Stone, le fantasme de tous les élèves, qui est prête à vivre son premier amour…
Avec ce roman choral, Yates signe une chronique de ses années de jeunesse, jetant un regard attendri sur les petites et grandes humiliations de l’adolescence, sur cette drôle d’école où il apprit à devenir un homme, avant de partir au combat.

« La voix de Richard Yates est si généreuse dans sa volonté de pardonner à chacun ses faiblesses, que d’autres écrivains, comme Richard Ford ou moi, ont cherché à l’imiter. » Stewart O’Nan.

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EAN : 9782221215241
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221215241
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • BartMacondo 05/09/2018
    Après avoir lu la plupart des romans de Richard Yates, j'avais entamé la lecture d'Une bonne école avec de grands espoirs qui ne se sont pourtant pas vraiment réalisés. Ce roman était une petite déception après une série de lecture magique La Fenêtre panoramique, Un destin d'exception, Menteurs amoureux, Un été à cold spring... Néanmoins cela reste un roman intéressant et agréable. Le personnage principal est une école. Il n'y a pas vraiment de personnage à qui s'identifier. Yates nous fait vivre un internat éltiste un peu raté au Connecticut, USA pendant la seconde guerre mondiale. Et de nouveau, le personnage principal, l'école donc, est un loser. A lire mais pas en première lecture de Yates.
  • Anaid07 13/02/2018
    J'ai beaucoup aimé ce récit, un bon roman initiatique plein d'hormones de jeunesse, de tendresse, de frustrations et de vie. Au delà de tout ce que je peux en dire, comme chaque lecteur qui a apprécié, je vois l'après, cet après qui a vu ces jeunes partir sacrifier leur vie au champ d'honneur. Ce n'est pas la première fois que je ressens cela mais ce sacrifice de l'innocence est toujours aussi insoutenable.
  • FannyNetherfieldPark 17/12/2017
    C’est toujours avec enthousiasme que je commence un Richard Yates. Une bonne école est son avant-dernier roman. Dès les premières pages, celui-ci m’a déroutée et surprise. Nous sommes introduits dans un pensionnat pour garçons perdu dans la campagne américaine. L’auteur nous dépeint un portrait au vitriol, réaliste et parfois cruel de ces établissements où les rivalités, les humiliations et les petits ou grands drames sont courants. L’ambiguïté réside dans la nostalgie qui transparait parfois. Ceci est surement du à une forte part d’autobiographie car il faut savoir que Richard Yates a fréquenté une institution semblable dans le Connecticut. Le lecteur assiste presque à un huis-clos où les élèves sont livrés à eux-mêmes et doivent faire leurs armes. C’est parfois un peu violent, glauque et inquiétant. Les professeurs sont à la fois à la traine et franchement névrosés. Ils ne semblent pas vraiment à la hauteur de la fragile réputation de cette école. Le monde extérieur et la Seconde Guerre mondiale font quelques incursions. Ce conflit parait d’abord lointain et irréel. En touchant certains élèves, il finit par devenir le sujet de toutes les conversations. Les éléments autobiographiques sont très nombreux. On les reconnait notamment en William, le principal protagoniste. Ce court roman est assez particulier et différent de ce que j’ai pu lire précédemment avec Richard Yates. J’ai ressenti un réel intérêt à son égard mais il m’a laissée perplexe par son ambiguïté latente. J’ai surement oublié de parler de plusieurs éléments mais j’avoue que mon ressenti reste flou. Je serait curieuse de connaitre d’autres avis pour en discuter.C’est toujours avec enthousiasme que je commence un Richard Yates. Une bonne école est son avant-dernier roman. Dès les premières pages, celui-ci m’a déroutée et surprise. Nous sommes introduits dans un pensionnat pour garçons perdu dans la campagne américaine. L’auteur nous dépeint un portrait au vitriol, réaliste et parfois cruel de ces établissements où les rivalités, les humiliations et les petits ou grands drames sont courants. L’ambiguïté réside dans la nostalgie qui transparait parfois. Ceci est surement du à une forte part d’autobiographie car il faut savoir que Richard Yates a fréquenté une institution semblable dans le Connecticut. Le lecteur assiste presque à un huis-clos où les élèves sont livrés à eux-mêmes et doivent faire leurs armes. C’est parfois un peu violent, glauque et inquiétant. Les professeurs sont à la fois à la traine et franchement névrosés. Ils ne semblent pas vraiment à la hauteur de la fragile réputation de cette école. Le monde extérieur et la Seconde Guerre mondiale font quelques incursions. Ce conflit parait d’abord lointain et irréel. En touchant certains élèves, il finit par devenir le sujet de toutes les conversations. Les éléments autobiographiques sont très nombreux. On les reconnait notamment en William, le principal protagoniste. Ce court roman...
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