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Une dernière danse
Séverine Quelet (traduit par)
Date de parution : 07/05/2014
Éditeurs :
Les Escales

Une dernière danse

Séverine Quelet (traduit par)
Date de parution : 07/05/2014
Après l’immense succès de L’Île des oubliés, retrouvez Victoria Hislop pour Une dernière danse dans le dédale des ruelles de Grenade.
Derrière les tours majestueuses de l’Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé... Derrière les tours majestueuses de l’Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique... Derrière les tours majestueuses de l’Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique histoire de la cité de Garcia Lorca et de la famille qui tenait les lieux.
 
Soixante-dix ans plus tôt, le café abrite les Ramirez : trois frères qui n’ont rien d’autre en commun que leur amour pour leur sœur, Mercedes. Passionnée de danse, la jeune fille tombe bientôt sous le charme d’un gitan guitariste hors pair. Mais tandis que l’Espagne sombre dans la guerre civile, chacun doit choisir un camp. Et la fratrie va se déchirer entre résistance, soumission au pouvoir montant, ou fuite.
           
Happée par ce récit de feu et de sang, Sonia est loin d’imaginer à quel point cette histoire va bouleverser sa propre existence…
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EAN : 9782365691185
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782365691185
Façonnage normé : EPUB2
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • allard95 19/01/2024
    Après avoir apprécié l'excellent "L'île des oubliés", c'est en confiance que l'on ouvre cette "Dernière danse". Pourtant, le premier quart du livre nous déçoit: l'histoire de ces deux jeunes Anglaises, qui vont faire du tourisme et plus ou moins apprendre à danser à Grenade, semble manquer de consistance. Et d'autres faiblesses, telle que la description du mari de Sonia, caricature du goujat idéal, ne peuvent que nous agacer. Le récit change ensuite de rythme, et de point de vue. Un vieil espagnol raconte à Sonia l'histoire d'une famille Grenadine durant la guerre civile espagnole: le véritable objet du roman est là, et il faut reconnaître qu'à partir de ce moment, le niveau monte. On oubliera sans regrets les états d'âmes de nos deux modernes jeunes anglaises, et l'on se retrouvera dans l'histoire, terrible, terriblement violente, des trois années de guerre, et face à l'effet dévastateur qu'elle a produit sur tout un peuple, représenté ici par la famille Ramirez, tenancière d'un bar à Grenade. Cette partie essentielle du livre est bien traitée - même si l'on sait que l'Histoire ne peut être revue de manière parfaitement objective -, et fait que nous sommes en présence d'un bon livre. La description des exodes multiples générés par la guerre, entre autres épisodes, nous glacera le sang. Tout comme celles des condamnations et exécutions arbitraires. La fin, et ses coïncidences, satisfera les amateurs de happy end, et succèdera par conséquent à une série de drames: ce tour de passe-passe n'était pas indispensable, mais pourquoi pas?Après avoir apprécié l'excellent "L'île des oubliés", c'est en confiance que l'on ouvre cette "Dernière danse". Pourtant, le premier quart du livre nous déçoit: l'histoire de ces deux jeunes Anglaises, qui vont faire du tourisme et plus ou moins apprendre à danser à Grenade, semble manquer de consistance. Et d'autres faiblesses, telle que la description du mari de Sonia, caricature du goujat idéal, ne peuvent que nous agacer. Le récit change ensuite de rythme, et de point de vue. Un vieil espagnol raconte à Sonia l'histoire d'une famille Grenadine durant la guerre civile espagnole: le véritable objet du roman est là, et il faut reconnaître qu'à partir de ce moment, le niveau monte. On oubliera sans regrets les états d'âmes de nos deux modernes jeunes anglaises, et l'on se retrouvera dans l'histoire, terrible, terriblement violente, des trois années de guerre, et face à l'effet dévastateur qu'elle a produit sur tout un peuple, représenté ici par la famille Ramirez, tenancière d'un bar à Grenade. Cette partie essentielle du livre est bien traitée - même si l'on sait que l'Histoire ne peut être revue de manière parfaitement objective -, et fait que nous sommes en présence d'un bon livre. La description des exodes multiples...
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  • Stef1445 02/11/2023
    J'ai adoré découvrir l'Espagne avec Sarah au moment de la guerre civile. Nous découvrons Grenade, le Flamenco, la corrida et surtout la vie des familles Espagnoles au moment de la guerre civiles, les difficultés et les rivalités des opinions politiques au sein des familles. J'ai aimé la façon dont l'auteur nous fait découvrir cette triste période que nous connaissons si peu.
  • isabelleJeu 22/08/2023
    Merveilleux roman historique. Il relate une histoire douloureuse mais pleine de joie, d'amour, de musique, de danse. Victoria Hislop comme toujours nous livre ses connaissances historiques à travers des histoires romancées. Très accessible et agréable à lire. Comme tous ces romans !
  • Olivia-A 22/07/2023
    Victoria Hislop a le don de nous faire voyager, sans effort, d’un pays à l’autre, d’une époque à l’autre, explorant le pourtour méditerranéen à la recherche d’histoires perdues à raconter. Avec Une dernière danse, elle prend le prétexte d’une Anglaise férue de danse qui se rend à Grenade pour nous plonger avec elle dans les méandres de la guerre civile espagnole, conflit sanglant qui a opposé nationalistes et républicains pendant trois ans avant la victoire finale du dictateur Francisco Franco. C’est la rencontre fortuite avec un cafetier de Grenade qui amène Sonia à s’intéresser à l’histoire de l’Espagne, laquelle se rapproche étrangement de la sienne… Si j’ai trouvé dommage que l’autrice saborde elle-même son suspense à plusieurs reprises dans le récit, j’ai passé un excellent moment à la lecture de cette histoire fascinante et pleine de rebondissements. C’est un livre qui nous en apprend beaucoup sur l’histoire de l’Espagne à cette époque, sur le déchirement de la guerre civile, sur les épreuves qu’ont traversées les citoyens espagnols des différentes villes du pays. A travers l’histoire de la famille Ramírez, Victoria Hislop nous dresse aussi bien le portrait des républicains que des nationalistes, nous montrant bien que dans ce type de conflits, il n’y a pas un camp pour rattraper l’autre. Un bon roman donc pour se plonger dans l’atmosphère particulière du sud de l’Espagne, en apprendre un peu plus sur la guerre civile, et se laisser porter par les rebondissements hauts en couleur qu’ont traversés les membres de la famille Ramírez.Victoria Hislop a le don de nous faire voyager, sans effort, d’un pays à l’autre, d’une époque à l’autre, explorant le pourtour méditerranéen à la recherche d’histoires perdues à raconter. Avec Une dernière danse, elle prend le prétexte d’une Anglaise férue de danse qui se rend à Grenade pour nous plonger avec elle dans les méandres de la guerre civile espagnole, conflit sanglant qui a opposé nationalistes et républicains pendant trois ans avant la victoire finale du dictateur Francisco Franco. C’est la rencontre fortuite avec un cafetier de Grenade qui amène Sonia à s’intéresser à l’histoire de l’Espagne, laquelle se rapproche étrangement de la sienne… Si j’ai trouvé dommage que l’autrice saborde elle-même son suspense à plusieurs reprises dans le récit, j’ai passé un excellent moment à la lecture de cette histoire fascinante et pleine de rebondissements. C’est un livre qui nous en apprend beaucoup sur l’histoire de l’Espagne à cette époque, sur le déchirement de la guerre civile, sur les épreuves qu’ont traversées les citoyens espagnols des différentes villes du pays. A travers l’histoire de la famille Ramírez, Victoria Hislop nous dresse aussi bien le portrait des républicains que des nationalistes, nous montrant bien que dans ce type de conflits,...
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  • gerardmuller 29/06/2023
    Une dernière danse/Victoria Hislop Sonia et Maggie sont deux bonnes copines que la grisaille londonienne et des soucis conjugaux exaspèrent et qui ont la même passion : la danse. Que ce soit pour la salsa, insouciante et sensuelle, échappatoire émotionnelle, ou le flamenco véritable état d’esprit passionnel tout autant qu’une danse, Sonia ne vit que pour eux. Savoir danser avec son oreille et non pas seulement avec son esprit, c’est le secret auquel Sonia se voue toute entière. C’est à Grenade en Andalousie que Sonia un beau jour rejoint Maggie qui a décidé de résider dans cette ville mythique. Ce thème fait l’objet de la première partie du livre. Sonia décide de se perfectionner et prend des cours de danse. Entre ceux-ci, elle fréquente le café El Barril . Elle va se lier d’amitié avec le patron, Miguel, qui va lui conter l’histoire de ce café et de ceux qui y ont vécu avant lui. C’est l’objet de la seconde partie du roman. Dans les années 1930 vit dans et au dessus de ce café le couple Ramirez avec leurs quatre enfants, trois garçons et une fille, Mercedes, passionnée de flamenco. La passion de Mercedes pour la danse et son amour pour Javier, le beau gitan, va rythmer le cours de cette histoire qui brutalement va basculer dans l’horreur de la guerre civile de 1936 à 1939. Une guerre qui nous est contée à travers les drames qui déchirent les familles. Les deux camps, nationalistes fascistes franquistes contre républicains et communistes s’entretuent et payent une lourde note humaine. Une sorte de folie s’est emparée de la population et la suspicion règne partout. On ne peut faire confiance à personne. L’odyssée de Mercedes à travers l’Espagne, de Grenade à Alméria puis Murcie et Bilbao en ruine pour retrouver Javier son amour est poignante. Et la musique et la danse comme vulnéraires et moyens de subsistance va occasionner des rencontres de mères éplorées et de musiciens désespérés. La gaieté du flamenco détourne les esprits un temps de chacune des vies déchiquetées et des foyers réduits en cendres, des images de cadavres et des visages cruels des gens qui les ont chassés de leur ville. Chaque jour trouver un toit et à manger est le souci de Mercedes tout au long de cet exode. Fuyant toujours plus loin, Mercedes se réfugie en l’Angleterre comme accompagnatrice d’un groupe d’enfants à sauver du massacre. Pendant ce temps, des drames successifs frappent la fratrie et Antonio atterrit dans un camp de réfugiés en France près de Cerbère dans les Pyrénées Orientales avant d’être arrêté alors qu’il regagne l’Espagne. La suite va être un calvaire. Chacun espère d’improbables retrouvailles alors que la guerre prend fin. C’est sans compter avec les arrestations arbitraires. Mercedes va rencontrer le bonheur à Londres … Miguel termine son récit… L’auteur sait parfaitement ménager l’attention du lecteur avec des rebondissements et surtout une fin tout à fait inattendue. Un roman magnifique, parfaitement documenté et très bien écrit. Une dernière danse/Victoria Hislop Sonia et Maggie sont deux bonnes copines que la grisaille londonienne et des soucis conjugaux exaspèrent et qui ont la même passion : la danse. Que ce soit pour la salsa, insouciante et sensuelle, échappatoire émotionnelle, ou le flamenco véritable état d’esprit passionnel tout autant qu’une danse, Sonia ne vit que pour eux. Savoir danser avec son oreille et non pas seulement avec son esprit, c’est le secret auquel Sonia se voue toute entière. C’est à Grenade en Andalousie que Sonia un beau jour rejoint Maggie qui a décidé de résider dans cette ville mythique. Ce thème fait l’objet de la première partie du livre. Sonia décide de se perfectionner et prend des cours de danse. Entre ceux-ci, elle fréquente le café El Barril . Elle va se lier d’amitié avec le patron, Miguel, qui va lui conter l’histoire de ce café et de ceux qui y ont vécu avant lui. C’est l’objet de la seconde partie du roman. Dans les années 1930 vit dans et au dessus de ce café le couple Ramirez avec leurs quatre enfants, trois garçons et une fille, Mercedes, passionnée de flamenco. La passion de Mercedes pour la danse et son amour pour Javier,...
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