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Une semaine avec mes frères
Date de parution : 27/10/2022
Éditeurs :
Plon

Une semaine avec mes frères

Date de parution : 27/10/2022
Un roman subtil sur la nostalgie de l’enfance, la recherche du bonheur et la réconciliation. 
 
En cette fin de mois de juin, Philippe, Romain et Stan se retrouvent dans la maison où ils ont tant aimé, enfants, passer leurs vacances, à Blonville-sur-Mer. Romain, qui a...
 
En cette fin de mois de juin, Philippe, Romain et Stan se retrouvent dans la maison où ils ont tant aimé, enfants, passer leurs vacances, à Blonville-sur-Mer. Romain, qui a racheté la propriété familiale sur un coup de tête, les invite au débotté alors qu’aucun d’entre eux n’était jamais revenu...
 
En cette fin de mois de juin, Philippe, Romain et Stan se retrouvent dans la maison où ils ont tant aimé, enfants, passer leurs vacances, à Blonville-sur-Mer. Romain, qui a racheté la propriété familiale sur un coup de tête, les invite au débotté alors qu’aucun d’entre eux n’était jamais revenu dans la région normande depuis le décès précoce de leur mère sur la plage. La fratrie reformée va devoir cohabiter durant une semaine avec des souvenirs fragiles, des blessures encore présentes et les sensations oubliées d’une enfance commune mais que chacun a vécue selon sa place au sein du trio. Dans cette maison, ils vont tenter de se parler, de s’écouter, de s’accepter. Ne pas fuir, cette fois.
 
D’une écriture ciselée, Agathe Colombier Hochberg signe un roman subtil et profond où se croisent nostalgie, pudeur et réconciliation.
 
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EAN : 9782259307390
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259307390
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Iphyse 16/02/2024
    Les mêmes parents, une même maison mais trois enfants et trois histoires. Stan, le plus jeune des trois écoute, presque absent, ses deux aînés égrener leurs souvenirs. Il ne se souvient de rien. Et pour cause, il était si petit. Mais quelle émotion lorsqu'il trouve par hasard sa boîte aux trésors où d'un seul coup tout lui revient. Très beau roman sur la famille, les blessures de l'âme, la réconciliation mais aussi le grand manque d'une mère partie trop tôt.
  • clo73 11/02/2023
    C’est avec grand plaisir que je me suis plongée dans le nouveau roman d’Agathe Colombier Hochberg après avoir lu son autre roman, Les 7 premiers jours. Ce fut une lecture « coup de cœur » que j’ai partagé avec une des bibliothécaires de ma ville. Nous avons toutes les deux adorées ce livre. Je suis ravie de retrouver la plume de l’autrice qui nous avait tant séduites avec son précédent livre. Dans ce nouveau roman, le thème reste proche, l’amour. Mais cette fois-ci, il n’est pas question du couple mais l’amour fraternel. Un sujet fort que j’affectionne dans mes lectures. Une histoire de famille, de liens fraternels, de souvenirs d’enfance, de bonheur passé, d' êtres qui sont plus là, de blessures et de rancœurs que chacun trimballe bien malgré lui. Trois frères aux caractères diamétralement opposés, se retrouvent ensemble pour quelques jours. L’un d’eux, Romain, a acheté la maison de vacances où ils ont passé leur enfance dans le but de renouer et de retrouver leur complicité d’autrefois. Cette maison est remplie de souvenirs nostalgiques mais aussi, d’un passé douloureux, un lieu chargé d’émotions, de douleurs, de non-dits et de regrets. C’est un roman sur une fratrie meurtrie et terriblement affectée par un événement dramatique qui changera le cours de la vie de ces trois garçons. Le lecteur suivra ainsi ces personnages devenus adultes, ayant pris chacun des chemins bien éloignés et dont les répercussions de la tragédie vécue dans leur jeunesse, auront laissé des traces indélébiles. Mais les liens du sang et l’amour sont indestructibles et ce récit nous le démontre parfaitement avec beaucoup de délicatesse et de justesse. Un récit écrit avec fluidité et sensibilité, qui vous charmera et vous emmènera au cœur d’une fratrie très touchante et pleine de pudeur.C’est avec grand plaisir que je me suis plongée dans le nouveau roman d’Agathe Colombier Hochberg après avoir lu son autre roman, Les 7 premiers jours. Ce fut une lecture « coup de cœur » que j’ai partagé avec une des bibliothécaires de ma ville. Nous avons toutes les deux adorées ce livre. Je suis ravie de retrouver la plume de l’autrice qui nous avait tant séduites avec son précédent livre. Dans ce nouveau roman, le thème reste proche, l’amour. Mais cette fois-ci, il n’est pas question du couple mais l’amour fraternel. Un sujet fort que j’affectionne dans mes lectures. Une histoire de famille, de liens fraternels, de souvenirs d’enfance, de bonheur passé, d' êtres qui sont plus là, de blessures et de rancœurs que chacun trimballe bien malgré lui. Trois frères aux caractères diamétralement opposés, se retrouvent ensemble pour quelques jours. L’un d’eux, Romain, a acheté la maison de vacances où ils ont passé leur enfance dans le but de renouer et de retrouver leur complicité d’autrefois. Cette maison est remplie de souvenirs nostalgiques mais aussi, d’un passé douloureux, un lieu chargé d’émotions, de douleurs, de non-dits et de regrets. C’est un roman sur une fratrie meurtrie et terriblement affectée par un événement dramatique qui...
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  • mapetiterevolutionlitteraire 16/01/2023
    Une histoire familiale très prenante, que j'ai dévoré en 2 jours ! Nous allons suivre trois frères, chacun ayant un profil bien à lui : l'hyperactif, l'artiste et le petit dernier qui bosse dans l'humanitaire. Romain, celui du Milieu, va racheter leur maison d'enfance et les inviter une semaine de vacances et de retrouvailles. Entre les problèmes de l'un et de l'autre, celui dont la femme va le quitter, celui qui est malheureux seul et celui qui est juste perdu nous allons les découvrir dans le cadre de leurs échanges familiaux, dans le positif comme le négatif. J'ai trouvé ce roman extrêmement réaliste et du coup très fort dans les sujets qu'il traite ! Au final, c'est un ode à la famille et à l'importance de nos relations familiales. Les messages sont très positifs et l'idée de l'autrice est d'amener ces personnages à devenir une meilleure version d'eux-mêmes. Petit bémol : chaque personnage semble mettre beaucoup d'importance sur le sujet de l'amour, la femme, la petite amie, j'aurais aimé avoir un autre sujet de difficulté abordé. Ça n'est pas grave, tout de même un très beau roman fort et réalité avec une plume envoûtante !
  • laumal 10/01/2023
    On en a tous connu des comme ça: Des hommes (ou des femmes) à l’appétit de vivre chevillé au corps, qui parlent fort, boivent jusqu’au bout de la nuit, dévorent un sanglier midi et soir, invitent des tablées entières, mènent de front 40 activités, font toujours des projets, achètent toute la boutique et séduisent le vendeur en prime, habitent le futur, vous émerveillent et vous essorent ….Bref, Gérard Depardieu. On a l’impression, pour ces personnalités hors normes, que nos ratios échecs/réussites ne s’appliquent pas,que leur excès de confiance les protègent de tout, qu’ils ne connaissent pas nos peurs….On les appelle des “ Ogres” et souvent , moi qui vis dans le doute, je les envie. Une semaine avec mes frères, c’est donc l’histoire de trois frères qui se retrouvent dans une maison à Blonville en Normandie. Dans le lot, un ogre, Romain: il achète la maison, invite ses frères, règle leurs problèmes, fait lever tout le monde le matin, achète des plâtrées de croissants, donne le programme, choisit le vin, décide des sports et de l’heure des baignades. Dans son ombre, rien ne pousse, ni frère, ni nièce, ni femme adorée. Jusqu’à l’infidélité de trop: bien entendu Romain résiste à tout sauf à la tentation; sa femme, trompée et surtrompée, n’arrive plus à fermer les yeux “ tu as nié et j’ai fini par me taire. je n’ai rien dit malgré le sentiment qu’on avait volé ma place (…) rien dit de ta passion éteinte quand tu te couchais près de moi. Rien dit de tes repas d’affaires qui s’éternisaient”. L’ogre alors ne s’effondre pas, il se décompose; c’est ce clair obscur qu’affectionne particulièrement Agathe Colombier, l’écrivain des terrains friables: ces périodes de deuil où la personnalité se désagrège avec la vie d’avant, où, écorché vif, où on ne sait plus qui on est, où il faut aller chercher loin la ressource pour rendre vivable chaque seconde, où on se dit que jamais l’affection familiale ne pourra remplacer l’amour que l’on a perdu. On donnerait bien tous ses frères pour une seconde avec son ex….Mais après, une fois que la cicatrice est belle, on se souvient de ces instants et on se dit :”c’était le bon vieux temps, j’étais avec mes frères.” A lire pour panser un chagrin d’amour , en laissant ses larmes saler le bord de son verre de cidre On en a tous connu des comme ça: Des hommes (ou des femmes) à l’appétit de vivre chevillé au corps, qui parlent fort, boivent jusqu’au bout de la nuit, dévorent un sanglier midi et soir, invitent des tablées entières, mènent de front 40 activités, font toujours des projets, achètent toute la boutique et séduisent le vendeur en prime, habitent le futur, vous émerveillent et vous essorent ….Bref, Gérard Depardieu. On a l’impression, pour ces personnalités hors normes, que nos ratios échecs/réussites ne s’appliquent pas,que leur excès de confiance les protègent de tout, qu’ils ne connaissent pas nos peurs….On les appelle des “ Ogres” et souvent , moi qui vis dans le doute, je les envie. Une semaine avec mes frères, c’est donc l’histoire de trois frères qui se retrouvent dans une maison à Blonville en Normandie. Dans le lot, un ogre, Romain: il achète la maison, invite ses frères, règle leurs problèmes, fait lever tout le monde le matin, achète des plâtrées de croissants, donne le programme, choisit le vin, décide des sports et de l’heure des baignades. Dans son ombre, rien ne pousse, ni frère, ni nièce, ni femme adorée. Jusqu’à l’infidélité de trop: bien entendu Romain résiste à tout...
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  • emilie55 04/01/2023
    Un roman d'une grande tendresse sur ce qui se joue au sein d'une fratrie : entre amour, non-dits, rancoeurs. 3 frères se retrouvent à la quarantaine dans leur maison d'enfance et échangent sur ce paradis perdu. Des dialogues d'une grande douceur, des personnages (3 hommes, ça change !) d'une belle sensibilité. J'ai passé un superbe moment.

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