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Y a bon, San-Antonio
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Y a bon, San-Antonio

Date de parution : 28/10/2010

Je m'agenouille et je palpe la terre battue. Un contact terrifiant me court-circuite les centres nerveux. Je viens de rencontrer une main. Elle est froide. Je dompte ma répulsion et je palpe encore. Après la main vient le poignet, puis l'avant-bras, puis le bras, l'épaule… Un cadavre ! Il y a un cadavre dans la cave à vin.

EAN : 9782265091535
Code sériel : 45
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091535
Code sériel : 45
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AlexandreAllamanche 30/12/2023
    Un très bon épisode de notre commissaire préféré qui débute de façon tonitruante : Pinaud prend sa retraite ! Prélude à un spectacle de magie où oorchestre un Bérurier des grands jours qui reléguerait David Copperfield aux oubliettes, l'enquête débute une nouvelle fois de façon particulièrement inattendue, qui propulse notre trio infernal au Congo... Dans un pays inconnu, aux prises avec des inconnus dans une histoire alambiquée, Frédéric Dard nous signe un nouvel excellent épisode San Antoniesque#x1f44c
  • steph5977 11/09/2022
    J'avoue avoir eu du mal avec les livres san antonio et la façon si particulière de Frédéric DARD de s'adresser à ses lecteurs, on peut dire qu'il ne fait pas dans la dentelle, mais maintenant que je maîtrise un peu mieux l'argot dont sont truffées les histoires qu'il raconte, je commence à y prendre plaisir. Alors l'enquête en elle-même n'est pas super palpitante, mais c'est toujours extrêmement vivant et assez drôle. Ca fait du bien entre deux lectures plus poussées . Seul petite déception, dans ce tome, ses 2 acolytes Bérurier et Pinaud ne jouent quasiment aucun rôle.
  • Yoghourt7 27/05/2019
    Y'a bon San-Antonio, paru en 1961, est à l'orée de la grande périodes des San-Antonio. Celui-ci emmène le commissaire en Afrique pour la première fois si ma mémoire est bonne. L'opus débute par la démission du lamentable Pinaud, et une petite fiesta organisée en son honneur. Ce premier tiers reprend tous les codes comiques de San-Antonio et nous mène de gags en calembours avec un rythme des plus jouissif. Le reste du roman s'occupe de l'enquête, qui bien que très exotique, manque un peu d'épaisseur et se termine assez rapidement. L'absence de ses deux sbires doit jouer... (y'a) Bon San-Antonio, mais rien d'incroyable non plus. Hâte tout de même de lire le prochain...
  • Wyoming 31/12/2018
    Pour ce 45ème numéro de la série, paru en 1961, San-Antonio va vivre avec ses partenaires des aventures africaines. Une bonne mise en scène au début, puis le rythme faiblit un peu; l'enquête est quand même au point mais la chute laisse un peu à désirer. Néanmoins, si on est fan, on peut aimer.
  • ntchoubis 27/05/2017
    I. Cette histoire, semi-policière, semi-rigolarde, débute par la démission de Pinaud. Chaque flic, ainsi qu’un «boxeur retraité, des footballeurs cassés, des durs repentis et des Lyonnais» a le même rêve: avoir un bistrot. Imaginez-vous, que Pinuche vient d’en hériter un. Pas un rêve. Un troquet. Le pot de départ à la retraite vire à une fête inoubliable, digne de se faire passer à la postérité, grâce au numéro de prestidigitation d’un nommé Bay-Rhû-Rié (alias Bérurier). La séance de magie a connaît un énorme succès. De plus, elle a une conséquence grave pour l’ex-Bay-Rhû: l’une des basques de son habit loué est arrachée. Au cours de l’opération de sauvetage reprisage, San-A sent «un corps insolite entre le drap et la doublure du vêtement» et extirpe un morceau de parier avec quelques lignes passablement étranges et mystérieuses. Cette trouvaille inattendue va déclencher une enquête express à Paris et puis, au Congo, une enquête truffée de cadavres, de dangers, de tribus de cannibales, de femmes fatales, d’histoires familiales, de sources lexicales et même de chacals. (parce que des chacaux y sont en déficit) II. Le 45e volume de la sérié sur les fascinantes pérégrinations du commissaire San-Antonio s’intitule «Y a bon, San-Antonio» et a été publié en 1961. Le style d’auteur s’est généralement formé, et tous ses traits se sont incorporés dans ce polar, comme entre autres, une bonne intrigue, un parfait tempo (jusque la moitié du livre), des métaphores et des énumérations succulentes et inattendues, une langue colorée et inventive, une courte partie de jambes en l’air, des renvois en bas de page (il y en a 17!), etc. Ils est à noter que c’est la première enquête san-antonienne sur le continent noir. Hélas, je ne peux pas dire que ce volume constitue une bonne filiation avec le roman précédent, «La fin des haricots». Tout allait bien jusqu’au numéro magique de Bérurier. C’était drôle, rafraîchissant, avec une parfaite intégrité. Et puis après la mayonnaise s’est éventée… Re-hélas: le rôle du duo Béru—Pinaud est restreint. Donc, le fils aîné, unique et préféré de Félicie qui est obligé de faire cavalier seul, perd haleine. On perd aussi Félicie, la brave femme de mère, qui est en vacances, Mathias qui n’a fait qu’une seule apparition et le Vieux, toujours occupé, sobre en paroles mais généreusement donnant des ordres à exécuter. Re-re-hélas: bien après l’arrivée au Congo, le polar devient un peu ennuyant malgré tous ses monts et merveilles… Il y a des moments hilarants mais c’est intégrité et le tempo qui manquent. III. J’étais entièrement enchanté par le roman précédent de la série, «La fin des haricots». Le volume actuel est plus passable et me donne les impressions plus mitigées. Ça se lit bien, mais il paraît que la magie, la légèreté et l’invention se sont volatilisées juste après le fameux numéro du fakir Bay-Rhû-Rié… 3.5/5I. Cette histoire, semi-policière, semi-rigolarde, débute par la démission de Pinaud. Chaque flic, ainsi qu’un «boxeur retraité, des footballeurs cassés, des durs repentis et des Lyonnais» a le même rêve: avoir un bistrot. Imaginez-vous, que Pinuche vient d’en hériter un. Pas un rêve. Un troquet. Le pot de départ à la retraite vire à une fête inoubliable, digne de se faire passer à la postérité, grâce au numéro de prestidigitation d’un nommé Bay-Rhû-Rié (alias Bérurier). La séance de magie a connaît un énorme succès. De plus, elle a une conséquence grave pour l’ex-Bay-Rhû: l’une des basques de son habit loué est arrachée. Au cours de l’opération de sauvetage reprisage, San-A sent «un corps insolite entre le drap et la doublure du vêtement» et extirpe un morceau de parier avec quelques lignes passablement étranges et mystérieuses. Cette trouvaille inattendue va déclencher une enquête express à Paris et puis, au Congo, une enquête truffée de cadavres, de dangers, de tribus de cannibales, de femmes fatales, d’histoires familiales, de sources lexicales et même de chacals. (parce que des chacaux y sont en déficit) II. Le 45e volume de la sérié sur les fascinantes pérégrinations du commissaire San-Antonio s’intitule «Y a bon, San-Antonio» et a été publié en 1961. Le style...
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