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Zéro pour la question
Date de parution : 10/03/2011
Éditeurs :
12-21

Zéro pour la question

Date de parution : 10/03/2011

Moi, vous me connaissez ! Je ne m'embarrasse pas de préjugés. Je connais des esprits chagrins qui me diront : "Dans un sous-marin, ça se passe pas comme ça."
Je...

Moi, vous me connaissez ! Je ne m'embarrasse pas de préjugés. Je connais des esprits chagrins qui me diront : "Dans un sous-marin, ça se passe pas comme ça."
Je répondrai à ces pisse-froid que, dans mon sous-marin à moi, ça se passe comme ça. La preuve, j'y étais !...

Moi, vous me connaissez ! Je ne m'embarrasse pas de préjugés. Je connais des esprits chagrins qui me diront : "Dans un sous-marin, ça se passe pas comme ça."
Je répondrai à ces pisse-froid que, dans mon sous-marin à moi, ça se passe comme ça. La preuve, j'y étais ! Je connais aussi des esprits non moins chagrins qui me diront : "Au pôle Sud, ça se passe pas comme ça."
Je répondrai à ces autres pisse-froid que, dans mon pôle Sud à moi, ça se passe comme ça. La preuve, c'est que nous y étions, Béru et moi ! Allez lui demander, vous verrez ce qu'il vous répondra. Mais, de toute façon, pour les incrédules et les ci-dessus mentionnés : zéro pour la question !

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EAN : 9782265094178
Code sériel : 67
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265094178
Code sériel : 67
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lecassin 15/09/2021
    « Zéro pour la question », le petit San-Antonio bienvenu après un Jacques Spitz un peu ardu… Il m'est souvent arrivé de dire ici combien je trouve géniale la période de fin des années 60 dans la série ; plein de souvenirs m'assaillent (1) : « Béru au sérail », « Salut mon pope », « En avant la moujik » et tant d'autres… Par contre, aucun souvenir de ce « Zéro pour la question » et pour cause… L'année 68 commence par un volume bien moyen : Ca commence par une visite chez le boss, Béru et San-A. le vieux est malade et l'heure est grave : on a PERDU la base de la terre Adélie en Antarctique. Plus de son, plus d'image… Mieux, les avions envoyés en reconnaissance ont disparu, eux aussi ! Disparue, elle aussi, la recette qui nous valut tant de grands moments : pas de Pinaud, très peu de digressions fantaisistes et énumérations abracadabrantesques, beaucoup (trop) de notes inutiles en bas de page, des calembours culminant bien au delà du calembour, rendant parfois la lecture difficile, un Béru presque aseptisé, si ce n'est dans les premiers chapitres… Reste l'intrigue : un mauvais scénario à la James Bond qui met notre commissaire sur les traces de bandits Nazis, comme dans les débuts du commissaire… La fin ? Baclée ! Bon, c'est pas la première fois que ça arrive, mais là ! que dis-je, bâclée… Ratée, osons le mot ; après tout, on a le droit d'être dur quand ce qu'on adore donne dans le passable. On l'aura compris, ce San-A ne figurait ni dans la liste de mes préférés ni dans mes souvenirs. Il restera comme un trait d'union vers le suivant, « Bravo, Docteur Béru ». Tous les espoirs sont permis, bien que même après des recherches approfondies dans les recoins de ma mémoire, aucun souvenir non plus. Hum… (1)Merde, c'est bien dit, ça. Notez que j'aurais pu dire masaï... « Zéro pour la question », le petit San-Antonio bienvenu après un Jacques Spitz un peu ardu… Il m'est souvent arrivé de dire ici combien je trouve géniale la période de fin des années 60 dans la série ; plein de souvenirs m'assaillent (1) : « Béru au sérail », « Salut mon pope », « En avant la moujik » et tant d'autres… Par contre, aucun souvenir de ce « Zéro pour la question » et pour cause… L'année 68 commence par un volume bien moyen : Ca commence par une visite chez le boss, Béru et San-A. le vieux est malade et l'heure est grave : on a PERDU la base de la terre Adélie en Antarctique. Plus de son, plus d'image… Mieux, les avions envoyés en reconnaissance ont disparu, eux aussi ! Disparue, elle aussi, la recette qui nous valut tant de grands moments : pas de Pinaud, très peu de digressions fantaisistes et énumérations abracadabrantesques, beaucoup (trop) de notes inutiles en bas de page, des calembours culminant bien au delà du calembour, rendant parfois la lecture difficile, un Béru presque aseptisé, si ce n'est dans les premiers chapitres… Reste l'intrigue : un mauvais scénario à la James Bond qui met...
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  • Wyoming 14/01/2019
    67ème San-Antonio, paru en 1968, avec une enquête du commissaire et de Bérurier au Pôle Sud. Destination originale, avec les gags habituels, un San-A assez moyen.
  • Beathi 22/03/2015
    67ème roman de San-Antonio publié en 1968 (1er trimestre 1968). L'histoire se déroule en Tasmanie, dans un sous-marin et au Pôle Sud sur une durée de 10 jours. Mission : San-Antonio et Bérurier partent au Pôle Sud suite à la disparition de la base française en terre Adélie. De nouveau un San-Antonio moyen plus près du roman d'anticipation que du policier. Pas vraiment de gros gags : à noter la performance de Bérurier en Tasmanie. Pinaud est de nouveau absent. L'année 1968 ne commence pas par un chef d'œuvre.
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