

Un roman magistral !
Les petits nouveaux chez Sonatine

Les pépites du moment
L'Heure bleue
Paula Hawkins
Les Deux Visages du monde
David Joy
Chiens des Ozarks
Eli Cranor
Dernier meurtre au bout du monde
Stuart Turton
Le Sang des innocents
S. A. Cosby


Ce qu'ils pensent de... Chiens des Ozarks
" Sur un ring rural tapissé de réminiscences sudistes s'affrontent un vieil ours armé jusqu' aux dents et une meute de hyènes blanches et suprémacistes. Entre le vétéran du Vietnam, prêt aux pires extrémités pour protéger sa petite-fille, et les résidus hargneux d'un Ku Klux Klan toujours debout, ça ne peut que défourailler à tout-va. De cette Amérique éternelle, Eli Cranor gratte les stigmates béants. (...) Eli Cranor sait aussi nous exposer crûment comment fermentent puis explosent des années de haine comprimées dans les silos de la vengeance et des non-dits. Au bout du compte, les portées de molosses se dévorent entre elles au cœur d'un microcosme consanguin où même la fille du shérif succède à son père. Les arbres généalogiques se tordent, la morale s'embourbe, et les balles blindées de méchant calibre fusent telles d'irrévocables crocs. Dog eat dog... "|Jean-Luc Manet
" Eli Cranor joue d'emblée dans la cour des grands. (...) Quant à l'écriture, elle est superbe, elle fait aussi la puissance de ce roman bouleversant. C'est l'écriture du roman noir dans sa grande tradition, à l'économie comportementale d'une efficacité foudroyante. Pas un mot de trop pour donner à cette histoire la dimension de la tragédie classique. Si le titre renvoie d'abord aux chiens que Jeremiah affame pour les rendre plus efficaces dans la surveillance de sa casse automobile, " Chien des Ozarks " désigne in fine les hommes de cet endroit, redevenus sauvages, enragés, coincés jusqu'à la folie dans l'enclos de leur désespérance. "|Michel Abescat
" C'est un peu notre fixette du moment, mais c'est quand même fou combien les polars les plus violents sont sans doute ceux où l'on parle le plus, et le mieux, d'amour. Par violent, on ne parle pas d'empilement de cadavres ou de tortures raffinées, plutôt de personnages saturés de tristesse, de regrets, de vengeance, de force et de faiblesse. (...) Tout ce petit monde va se croiser pendant une nuit entière, et c'est une autre performance d'Eli Cranor que cet entremêlement d'une nuit avec le récit de toutes ces vies pleines de fureur, d'urgence et d'amour. "|Fabrice TASSEL
" Jusqu'où peut-on aller pour défendre les siens? C'est la question que pose crûment ce roman noir et âpre, terriblement réaliste, dans lequel la sauvagerie des hommes est à la mesure de celle des paysages. Et même si les bains de sang se succèdent, le roman reste empreint d'une certaine délicatesse. C'est qu'Eli Cranor n'a pas son pareil pour dépeindre des personnages masculins à fleur de peau, souvent au bord de la désespérance et à la fragilité évidente malgré leur virilisme affiché. "|Samuel Loutaty
" Eli Cranor brosse un portrait d'un réalisme inquiétant, quasi documentaire, de la vie dans les monts Ozarks. Entre les forces brutes de la nature et une société plus sauvage que jamais... "|Julien Dodon
" Aux États-Unis, le roman rural noir revit. David Joy et Eli Cranor mettent en scène des individus que tout oppose, dans leurs petites villes du sud des États-Unis. Y aurait-il un certain renouveau du " rural noir ",dans la lignée d'un Ron Rash ? Deux auteurs américains, publiés par les éditions Sonatine, nous amènent à y penser. [...]
Dans Chiens des Ozarks d'Eli Cranor, il est aussi question de suprémacisme blanc, de passé lourd à porter, d'armes, de drogue, de violence facile. Nous sommes toujours dans la partie sud des États-Unis, dans des paysages là aussi très sauvages. " |Michel Troadec
" Eli Cranor est l'un de ces rares auteurs qui savent vous couper le souffle, vous tirer des larmes et vous faire jubiler, et tout ça en un seul paragraphe. "
" Chiens des Ozarks est un roman fait de bains de sang et de dettes de sang, qui montre jusqu'où on peut aller pour protéger les siens. Eli Cranor est un brasier qui gagne du terrain à chaque livre. "
" Un roman qui s'imprime dans votre esprit avec une puissance fiévreuse. Cette histoire de poids familial et d'héritages obscurs est nerveuse et profondément déchirante. Ne passez pas à côté ! "
" Chiens des Ozarks est un roman noir pur jus. Préambule à une fin sans espoir dans une nature en osmose avec ses habitants. Brutal, sans pitié, traversé par des veines de sang noir, imperméable au bonheur. C'est aussi un roman so very much American. Trois quarterbacks. L'un est mort, l'autre en prison, le dernier sur le point de faire une énorme connerie. (...) Noir. Toujours plus. Chaque chapitre apporte une information. Une pièce dans le puzzle. Il est question de trahison, de retour en arrière impossible. De la faute des pères, et plus encore de celle de la mère. Formidable personnage que cette Lacey qui survient à la fin du roman. Atroce et grandiose tout à la fois. L'auteur s'est inspiré d'une histoire vraie, ce qui donne une dimension encore plus tragique au roman. Il existe donc dans la vraie vie des hommes et des femmes qui ont perdu toute humanité."|Karen Lajon
" Chaque page de ce magnifique roman suinte le sang, la haine, les regrets. Chaque page amène le lecteur au plus près de ce grand-père prêt à tout pour sauver sa petite fille. Mais les dernières pages, elles, réservent quelques surprises de taille pour un dénouement qu'on n'attendait certainement pas. "|Laurence Darbas
"Nouvelle voix du roman noir américain traduit en France, Eli Cranor succède à S.A. Cosby et à David Joy, tous deux publiés aux éditions Sonatine. Avec Chiens des Ozark , il livre un roman noir ancré dans les paysages austères de l'Arkansas, au cœur des monts Ozark. (...) C'est un texte qui ne cherche pas à édulcorer la réalité, il met bien l'accent sur l'aspect communautaire des Américains, mais il s'éclaire aussi d'humanité et de possibilités de s'extirper d'un certain fatalisme. Et puis, comme Cosby ou Joy, Eli Cranor a su créer deux personnages magnifiques auxquels on s'accroche de manière presque désespérée. "|Aude Lagrangé
" Dans sa façon d'esquisser un sentiment de fuite en avant inéluctable, de dépeindre les protagonistes qui s'y abandonnent, Eli Cranor trouve sa voix. Et transmet quelques impressions durables. Le Sud n'a décidément pas fini d'exprimer par la plume le malaise profond qui tenaille une partie de sa population. "|Yoann Labroux Satabin
" Imaginer le chemin qui mène d'un auteur à son propre livre, c'est reconstituer le silence et les ombres dont le réel exhale des fragments illisibles. Pour écrire son deuxième roman, Eli Cranor s'est emparé du monde caché entre les lignes d'un fait divers. (...) En laissant percer une voix très singulière, Eli Cranor maîtrise les standards du roman noir et parvient à éviter habilement l'impression de ''déjà-lu''. "|Lionel Germain
" Rédemption, vengeance, poids du destin, les thématiques sont sublimées par une écriture sèche et nerveuse. Après David Joy et S. A. Cosby, le polar rural américain s'enrichit d'une nouvelle figure à suivre. "|Christelle Ben

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