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L'Arbre-Monde
Serge Chauvin (traduit par)
Date de parution : 06/12/2018
Éditeurs :
Lizzie
En savoir plus
PRIX CONSEILLÉ
34.99 €

L'Arbre-Monde

Serge Chauvin (traduit par)
Date de parution : 06/12/2018
« Si Powers était un auteur américain du XIXe siècle, qui serait-il ? Il serait probablement Herman Melville, et il écrirait Moby Dick. »
Margaret Atwood
Après des années passées seule dans la forêt à étudier les arbres, la botaniste Pat Westerford en revient avec une découverte sur ce qui est peut-être le premier et le... Après des années passées seule dans la forêt à étudier les arbres, la botaniste Pat Westerford en revient avec une découverte sur ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Autour de Pat s’entrelacent les destins de neuf personnes qui... Après des années passées seule dans la forêt à étudier les arbres, la botaniste Pat Westerford en revient avec une découverte sur ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Autour de Pat s’entrelacent les destins de neuf personnes qui peu à peu vont converger vers la Californie, où un séquoia est menacé de destruction.

Au fil d’un récit aux dimensions symphoniques, Richard Powers explore ici le drame écologique et notre égarement dans le monde virtuel. Son écriture généreuse nous rappelle que, hors la nature, notre culture n’est que « ruine de l’âme ».
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EAN : 9791036602535
Façonnage normé : MP3
Durée : 1302 min
Lizzie
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Durée : 1302 min

Ils en parlent

"L’Arbre Monde, accomplit ce que peu d’auteurs tenteraient, quel que soit leur camp – art ou science. Il entraîne son lecteur tête la première dans une perspective plus ancienne et subtile que la portée humaine, au point que nous en ressortons enrichis des éclats d’une sensibilité autrement plus vaste et primordiale, notre propre espèce ayant bien perdu de sa superbe en chemin. " Barbara Kingsolver
New York Times

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ManonOfthewoods 08/03/2024
    Ironie du sort, définition : passer une semaine à lire (laborieusement) un pavé de 744 pages célébrant l'importance de l'arbre et rappelant la place de l'homme à l'échelle de la vie d'un arbre (rien du tout). Puis profiter du premier rayon de soleil depuis deux semaines pour sortir dans mon jardin planter un arbre et tomber sur ma voisine qui me demande de bien vouloir couper tous mes arbres qui ont l'audace de faire dépasser leurs branches par dessus la clôture qui sépare nos deux jardins. Note à moi-même : Penser à mettre anonymement le pavé de Richard Power dans la boîte aux lettres de ma voisine, accompagné d'un petit mot : laissons-les vivre.
  • Stefrosiere 21/02/2024
    L'arbre-monde est un livre fort qui ébranle et fait réfléchir. Richard Powers manie ses personnages avec brio, la convergence des trajectoires est très intéressante. La tension croît et la magie ne cesse. J'ai par contre tiqué à plusieurs reprises sur le texte, des phrases bizarres. Effets de style de l'auteur ou traduction "flottante"? On y lit quand même : "Au temps pour moi (...)" dans un dialogue. Là, on comprend, comme les personnages du livre, que la situation est grave. Un livre à lire tout de même :)
  • tienstiensolivier 02/01/2024
    [EXTRAIT] "Personne ne voit les arbres. Nous voyons des fruits, nous voyons des noix, nous voyons du bois, nous voyons de l'ombre. Nous voyons des ornements ou les jolies couleurs de l'automne. Des obstacles qui bloquent la route ou qui obstruent la piste de ski. Des lieux sombres et menaçants qu'il faut défricher. Nous voyons des branches qui risquent de crever notre toit. Nous voyons une poule aux oeufs d'or. Mais les arbres... les arbres sont invisibles." Et Richard Powers ne ménage pas ses efforts pour nous les rendre visibles, ces arbres. Pour nous éveiller, nous éclairer. C'est une sentinelle et il tire la sonnette d'alarme. Richard Powers a encore l'espoir du révolté. Il veut croire à un soulèvement de l'humanité face à ce que la société capitaliste fait subir à la biodiversité. J'avais déjà beaucoup aimé "Sidérations" qui, je viens de l'apprendre est la suite de "l'Arbre-Monde". Il y est question de militants, activistes, idéalistes, utopistes, éco-terroristes, casse-couilles... mais pas que. Ce serait terriblement réducteur de s'arrêter à ça. À chacun ses croyances et ses convictions mais en tous les cas, Richard Powers nous amène à avoir un autre regard sur ces arbres. Peut-être plus appuyé, plus aiguisé, plus attentif, admiratif, contemplatif, plus sensible. FAKE PLASTIC TREES chantait Radiohead. Voilà ce qui nous pend au nez si nous ne prenons pas garde. Déjà qu'on a des pelouses roussies par le soleil... et repeintes en vert. Deux pensées me poursuivaient en lisant "l'Arbre-Monde". La première, c'est Thomas Brail, arboriste-grimpeur perché en haut d'un platane à Paris pour espérer la suspension (la suppression ?) de la construction de l'A69 qui doit relier Toulouse à Castres. La fin semble malheureusement inéluctable. La deuxième, c'est l'abattage stupide et sans raison en septembre 2023 d'un arbre bicentenaire, le "Sycomore Gap", l'arbre de Robin des Bois où l'on voit Kevin Costner et Morgan Freeman marcher sur le mur d'Hadrien. Oui, vraiment, nous sommes nos propres fossoyeurs. Arbristiquement. Promenons nous dans les bois, Tant qu'il y en a. [EXTRAIT] "Personne ne voit les arbres. Nous voyons des fruits, nous voyons des noix, nous voyons du bois, nous voyons de l'ombre. Nous voyons des ornements ou les jolies couleurs de l'automne. Des obstacles qui bloquent la route ou qui obstruent la piste de ski. Des lieux sombres et menaçants qu'il faut défricher. Nous voyons des branches qui risquent de crever notre toit. Nous voyons une poule aux oeufs d'or. Mais les arbres... les arbres sont invisibles." Et Richard Powers ne ménage pas ses efforts pour nous les rendre visibles, ces arbres. Pour nous éveiller, nous éclairer. C'est une sentinelle et il tire la sonnette d'alarme. Richard Powers a encore l'espoir du révolté. Il veut croire à un soulèvement de l'humanité face à ce que la société capitaliste fait subir à la biodiversité. J'avais déjà beaucoup aimé "Sidérations" qui, je viens de l'apprendre est la suite de "l'Arbre-Monde". Il y est question de militants, activistes, idéalistes, utopistes, éco-terroristes, casse-couilles... mais pas que. Ce serait terriblement réducteur de s'arrêter à ça. À chacun ses croyances et ses convictions mais en tous les cas, Richard Powers nous amène à avoir un autre regard sur ces arbres. Peut-être plus appuyé, plus aiguisé, plus attentif, admiratif, contemplatif, plus sensible. FAKE PLASTIC...
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  • schweitzergwlad 01/01/2024
    Livre sous estimé pour nous simple lecteur et non l'écrivain. Je pense qu'une quantité de sujets y sont abordés, loin de la simple nature si je puis employer simple. Une introspection sur l'ensemble du tout sans une once d'avis personnel. Pour les futurs lecteurs l'effort que vous fournirez pour arriver au dernier portrait vous sera rétribuer, je l'espère, persistez. Un livre " remise en question" et non un roman ou documentaire. Tout ceci selon mon avis subjectif toujours #x1f609
  • ReadLookHear 21/12/2023
    Que j’ai mis du temps à le lire ce roman. Et pourtant, je l’ai vraiment beaucoup aimé. Je vais essayé de vous expliquer tout ce que j’ai ressenti avec ma lecture. Tout d’abord, le roman se découpe en plusieurs parties. La première, nous présente un personnage après l’autre. Aucun point commun entre eux hormis les arbres. Dans chaque présentations, on nous parle d’arbres. J’ai trouvé cette partie assez laborieuse, avec cette impression d’effleurer la vie de ces personnages en les quittant à la fin de chaque chapitre. Un peu de frustration du coup, je m’attache à eux et d’un coup je les abandonne. Et j’ai eu la sensation de ne pas comprendre où voulait m’emmener l’auteur. La fin de cette partie m’a surpris et est venue du coup attiser ma curiosité pour la suite. Me voilà donc à commencer la seconde partie, la surprise de la fin de la précédente continue et là, je suis complètement embarqué. Je retrouve ce que j’aime dans ce genre de roman. Les connexions se font et je commence à comprendre l’auteur et le message qu’il cherche à faire passer. Ma lecture fut plus fluide avec cette envie d’enchaîner les pages. Je suis resté dans ce mood jusqu’à finir ce roman. Alors, pourquoi ma lecture m’a pris quasiment deux mois ? Je dois avouer que c’est la première fois que je ressens cela lors d’une de mes lectures. Ce roman m’a bousculé, il a touché mon émotionnel et ma sensibilité… Oui je suis hypersensible, je sais… Le sujet, les arbres, est un sujet qui me touche profondément, je porte un énorme amour à ces géants, à ces êtres essentiels à nos vies. Le roman interroge sur notre relation au vivant, démontre que nous sommes si petits face à l’immensité de la nature. Et pourtant, l’impact des hommes est tellement important, tellement violent. C’est vraiment cela qui m’a bouleversé, plusieurs fois mes larmes ont coulées. Voilà donc un très grand roman qui devrait selon moi être lu par le plus grand monde. C’est un roman qui m’a profondément marqué et qui a laissé une cicatrice dans mon cœur de lecteur. C’est un roman qui bouscule et qui interroge. C’est un roman sur la vie. C’est un roman qui fait réfléchir sur notre place dans ce monde. C’est un roman que j’ai aimé énormément.Que j’ai mis du temps à le lire ce roman. Et pourtant, je l’ai vraiment beaucoup aimé. Je vais essayé de vous expliquer tout ce que j’ai ressenti avec ma lecture. Tout d’abord, le roman se découpe en plusieurs parties. La première, nous présente un personnage après l’autre. Aucun point commun entre eux hormis les arbres. Dans chaque présentations, on nous parle d’arbres. J’ai trouvé cette partie assez laborieuse, avec cette impression d’effleurer la vie de ces personnages en les quittant à la fin de chaque chapitre. Un peu de frustration du coup, je m’attache à eux et d’un coup je les abandonne. Et j’ai eu la sensation de ne pas comprendre où voulait m’emmener l’auteur. La fin de cette partie m’a surpris et est venue du coup attiser ma curiosité pour la suite. Me voilà donc à commencer la seconde partie, la surprise de la fin de la précédente continue et là, je suis complètement embarqué. Je retrouve ce que j’aime dans ce genre de roman. Les connexions se font et je commence à comprendre l’auteur et le message qu’il cherche à faire passer. Ma lecture fut plus fluide avec cette envie d’enchaîner les pages. Je suis resté dans ce mood...
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