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Lessons in Chemistry [version française]
Leçons de chimie - La Brillante destinée d'Elizabeth Zott
Christel Gaillard-Paris (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
Éditeurs :
Lizzie
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PRIX CONSEILLÉ
22.99 €

Lessons in Chemistry [version française]

Leçons de chimie - La Brillante destinée d'Elizabeth Zott

Christel Gaillard-Paris (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
Le roman qui a inspiré la série...

Faites la connaissance de l’anticonformiste et intransigeante Elizabeth Zott.
Votre capacité à tout changer commence ici et maintenant.
Elizabeth Zott n’est pas une femme ordinaire. Elle serait d’ailleurs la première à faire remarquer qu’il n’en existe pas. Nous sommes au début des années 1960 et, à l’Institut de... Elizabeth Zott n’est pas une femme ordinaire. Elle serait d’ailleurs la première à faire remarquer qu’il n’en existe pas. Nous sommes au début des années 1960 et, à l’Institut de recherche Hastings où elle est chimiste, les hommes ont une vision très peu scientifique de l’égalité. Seul fait exception le... Elizabeth Zott n’est pas une femme ordinaire. Elle serait d’ailleurs la première à faire remarquer qu’il n’en existe pas. Nous sommes au début des années 1960 et, à l’Institut de recherche Hastings où elle est chimiste, les hommes ont une vision très peu scientifique de l’égalité. Seul fait exception le solitaire et brillant Calvin Evans, favori pour le prix Nobel, qui tombe amoureux de l’esprit rationnel d’Elizabeth et de sa beauté. Le résultat d’une véritable alchimie.
Comme la science, la vie prend parfois des détours : Elizabeth abandonne la chimie pour devenir la vedette de l’émission de cuisine la plus populaire d’Amérique avec ses techniques inhabituelles qui se révèlent révolutionnaires. Mais, alors que son influence grandit, elle ne fait pas que des heureux. Il s’avère qu’elle n’apprend pas uniquement aux femmes à faire la cuisine, elle les met aussi au défi de changer le statu quo. Perspicace, juste, drôle, imprévisible, ce roman offre une galerie de portraits éblouissants et se montre aussi original et éclatant que son inoubliable personnage principal.

Extrait :

« Je n’ai jamais prétendu être un homme, Frask ! cria Elizabeth en épongeant sa blouse de laboratoire avec une serviette en papier.
— Et je ne suis pas un mouton !
— Je suis une chimiste. Pas une femme chimiste. Une chimiste. Une sacrément bonne chimiste !
— Eh bien moi, je suis experte en formation du personnel ! Presque psychologue, cria Frask.
— Presque psychologue ?
— Fermez-la.
— Non, je suis sérieuse, insista Zott. Presque ?
— Je n’ai pas eu la possibilité de finir, d’accord ? Et vous ? Pourquoi n’êtes-vous pas docteur, Zott ? » répliqua Frask.
Elizabeth se raidit et, sans le vouloir, révéla un fait intime qu’elle n’avait jamais raconté à personne d’autre qu’un officier de police. « Parce que j’ai été violée par mon directeur de thèse, puis virée du programme de doctorat, cria-t-elle. Et vous ? »
Frask la regarda, sous le choc. « Pareil », dit-elle, vaincue par une grande lassitude.
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EAN : 9791036627606
Façonnage normé : MP3
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PedroPanRabbit 29/02/2024
    Petit bijou. Gourmandise. Délice. Merveille. Difficile de trouver le mot qui qualifie le mieux "Leçons de chimie". Aussi difficile que de répondre à cette question : à quoi tient l’inimitable saveur d'un roman ? A l'audace de la recette ? A l'ordre dans lequel on ajoute les ingrédients ? A l'arrière-goût que la préparation laisse sur les papilles ? Probablement à tout cela à la fois. On pourrait poursuivre la métaphore culinaire à l'infini, tant elle se prête bien, dans le fond comme dans la forme, à tout ce qui fait le sel de ce livre doux-amer. Premier roman de l'autrice américaine Bonnie Garmus, 66 ans, dont le tout premier manuscrit avait été refusé par 98 éditeurs, "Leçons de chimie" rassemble des éléments qui font l'unanimité. Une héroïne atypique, l'atmosphère rétro des années 60, un message féministe. Oui, mais encore faut-il avoir le tour de main pour éviter les écueils classiques du genre : en littérature, comme en cuisine – et comme en chimie – il suffit d'un faux pas pour que le soufflé retombe ; tout est une question de dosage. Car "Leçons de chimie" aurait pu n'être qu'une simple romance ou un sage feel good book. D'ailleurs, on ne comprend qu'à moitié les critiques et articles qui résument le livre à ces deux étiquettes. Comme les avis qui le vendent sous la seule bannière du féminisme, label malheureusement devenu plus commercial que significatif d'une véritable intrigue de fond, parce que thématique dans l'air du temps et donc revendiquée à foison. Mais, voilà, "Lessons in chemistry" est bien plus que tout cela. Il y a tout d'abord l'écriture (et son excellente traduction en VF !), qui parvient à restituer avec une ironie mordante les années 1960, entre image d’Épinal et tableau au vitriol, mais aussi à donner corps aux différents protagonistes avec une étonnante justesse, jusqu'au personnage (car c'est un personnage) du chien, qu'on rêve tous d'avoir comme animal de compagnie. Cette justesse concerne bien sûr Elizabeth elle-même, qu'on ne se risquera pas à mettre dans une case, mais dont la personnalité très neuro-atypique élève le message du roman non pas seulement à la question de la place des femmes dans un monde d'hommes, mais à la place de tous ceux qui nagent à contre-courant dans un monde un peu trop bien ordonné. Un monde qui n'aime pas qu'on sorte du rang, bien entendu. Contre toute attente, parmi les autres éléments les plus réussis, il y a la construction de l'intrigue et ses revirements de situation, qui semblent toujours tomber à point nommé. Bonnie Garmus abuse-t-elle du Deux Ex Machina ? Très certainement. Et pourtant, sa maîtrise du tour de passe-passe ôte tout sentiment de facilité. Parce qu'elle parvient à intégrer parfaitement bien les hasards, coïncidences et petits miracles au canevas de son scénario, le tout s'apparente à un puzzle dont les pièces attendaient en fait depuis le début d'être assemblées les unes au bout des autres, comme une évidence. Et puis, parce que ce qu'elle raconte ne verse jamais dans le conte de fée, rien dans l'écriture de Leçons de chimie ne semble trop commode. En effet, loin de servir une histoire lisse, Bonnie Garmus n'hésite pas parler de traumas et à semer des embûches dans le parcours de ses personnages – car il est bien connu que la route de celles et ceux qui se sentent trop à l'étroit dans le costume des conventions est rarement bordée de roses. En dépit de l'originalité de son intrigue et du caractère parfois extraordinaire de certains rebondissements, l'autrice, probablement aussi pragmatique et réaliste que son héroïne, nous parle finalement de la vie telle qu'elle est : un chemin long et souvent sinueux, mais avec aussi de belles étapes et une ligne d'arrivée. Elizabeth Zott, attachante malgré elle, devient une héroïne inspirante qui nous donne envie de croire à la résilience aussi bien qu'à nos ambitions. En bref : Véritable coup de cœur, "Leçons de chimie" est un roman à la fois délicieux et inattendu. Chroniques aigres-douces d'une jeune femme aussi charismatique que neuro-atypique et à total contre-courant des patriarcales années 60, ce roman nous parle bien entendu de féminisme mais surtout de différence, d'irrévérence, et de résilience. Héroïne résolument inspirante, Elizabeth Zott nous invite à sortir de la case trop étroite dans laquelle on nous a enfermé (quelle qu'elle soit) pour prendre notre destin en main. La chimie comme la cuisine deviennent alors des métaphores pleines de sens, portées par une écriture dont la maîtrise force l'admiration. Une pépite à bien des égards, un livre qui touche comme il enchante. Petit bijou. Gourmandise. Délice. Merveille. Difficile de trouver le mot qui qualifie le mieux "Leçons de chimie". Aussi difficile que de répondre à cette question : à quoi tient l’inimitable saveur d'un roman ? A l'audace de la recette ? A l'ordre dans lequel on ajoute les ingrédients ? A l'arrière-goût que la préparation laisse sur les papilles ? Probablement à tout cela à la fois. On pourrait poursuivre la métaphore culinaire à l'infini, tant elle se prête bien, dans le fond comme dans la forme, à tout ce qui fait le sel de ce livre doux-amer. Premier roman de l'autrice américaine Bonnie Garmus, 66 ans, dont le tout premier manuscrit avait été refusé par 98 éditeurs, "Leçons de chimie" rassemble des éléments qui font l'unanimité. Une héroïne atypique, l'atmosphère rétro des années 60, un message féministe. Oui, mais encore faut-il avoir le tour de main pour éviter les écueils classiques du genre : en littérature, comme en cuisine – et comme en chimie – il suffit d'un faux pas pour que le soufflé retombe ; tout est une question de dosage. Car "Leçons de chimie" aurait pu n'être qu'une simple romance ou un sage feel...
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  • Streala 28/02/2024
    Disons le d emblée : je le classe dans la rubrique :lecture facile et distrayante …ce sont la les points forts , vous serez divertis agréablement sans risque de migraine ou de laisser tomber … Les points faibles : Cela sent l écrit à posteriori, il est facile d avoir raison et de mettre le doigt sur les travers d une epoque 60 ans plus tard , autre temps autres mœurs o tempora… Cette jeune et brillante chimiste issue d une famille dysfonctionnelle ( sinon c est pas marrant ) souhaite poursuivre une thèse de doctorat dans une prestigieuse université américaine . LAs ! C est sans compter le machisme et sexisme ambiant de ses collègues et du pool secrétariat (exclusivement féminin ) Elle tombe amoureuse d un beau chimiste génial, nobelisable , c est réciproque et cela nous fait chaud au cœur Je passe sur le chien qui Ipense et intervient dans le récit Pour nous livrer ses opinions (oui , comme comme snoopy , bill, rantanplan ) Après moultes péripéties, les méchants misogynes arrivent à leur fin et Elisabeth est renvoyée de l université et douT renoncer à sa carrière scientifique . Au passage , elle accouche du e petite fille , géniale et surdouée elle aussi . Elizabeth devient la présentatrice vedette d une émission culinaire féministe » avant la lettre qui connaît un uccès phénoménal Bon j écrus la suite plus tard. Je dois aller travailler Disons le d emblée : je le classe dans la rubrique :lecture facile et distrayante …ce sont la les points forts , vous serez divertis agréablement sans risque de migraine ou de laisser tomber … Les points faibles : Cela sent l écrit à posteriori, il est facile d avoir raison et de mettre le doigt sur les travers d une epoque 60 ans plus tard , autre temps autres mœurs o tempora… Cette jeune et brillante chimiste issue d une famille dysfonctionnelle ( sinon c est pas marrant ) souhaite poursuivre une thèse de doctorat dans une prestigieuse université américaine . LAs ! C est sans compter le machisme et sexisme ambiant de ses collègues et du pool secrétariat (exclusivement féminin ) Elle tombe amoureuse d un beau chimiste génial, nobelisable , c est réciproque et cela nous fait chaud au cœur Je passe sur le chien qui Ipense et intervient dans le récit Pour nous livrer ses opinions (oui , comme comme snoopy , bill, rantanplan ) Après moultes péripéties, les méchants misogynes arrivent à leur fin et Elisabeth est renvoyée de l université et douT renoncer à sa carrière scientifique . Au passage , elle...
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  • SZRAMOWO 20/02/2024
    L'histoire d'Elizabeth Zott se déroule en Californie et en Angleterre dans les années 1960. Je vois d'ici les hordes de baby boomers et les fanas de littérature feelgood se réjouir. Chouette on va avoir du c'était mieux avant, du on savait être heureux à l'époque, qu'est-ce qu'on a fait pour avoir perdu tout ça ! Maldonne ! Ce roman n'est pas du tout dans la nostalgie du c'était mieux avant, il est dans une nostalgie critique, celle du c'était comme ça avant et il fallait le supporter ! Elizabeth Zott s'est employée dès son enfance et son adolescence à combattre les avanies que les femmes s'efforçaient de supporter pour faire comme si de rien n'était. Elizabeth est une chimiste de haut niveau mais dans son université, ses collègues masculins ne cessent de la prendre pour une secrétaire. "Elle n'aimait pas les gens qui se livraient à des suppositions basées sur ce qu'elle considérait comme des indices visuels dépassés, et elle n'aimait pas non plus les hommes qui pensaient - même s'il s'était avéré qu'elle était secrétaire - qu'être secrétaire signifiait être incapable de comprendre d'autres mots que : "tapez ça en trois exemplaires." Elle a décidé de se battre contre ces comportements et ça n'est pas gagné ! Il en faut du courage pour se battre contre ce que toute la société considère comme des évidences, une femme doit se marier, porter le nom de son mari, et faire plusieurs enfants sans penser à sa carrière. "Quand les femmes se marient, elles prennent le nom de leur mari, et 99,9 % d'entre elles s'en accommodent." Lorsqu'elle rencontre Calvin Evans, son alter ego, elle mesure le chemin parsemé d'embûches que cet homme doit parcourir pour affirmer face à des contemporains mâles imbus d'eux mêmes qu'il respectera les souhaits d'indépendance d'Elizabeth. Leur association fonctionne, malgré "la jalousie profonde" de leurs collègues de l'institut Hastings. À l'abri dans leur tour d'ivoire, ils partagent leurs passions communes, la chimie, l'aviron, leur chien Six-Trente. "(...) la plupart de leurs travaux avaient été réalisés alors qu'ils reposaient nus sur un lit." Mais la vie embrasse toujours les idées majoritaires dans l'opinion et ne supporte pas, hélas, les réfractaires. Comme dans la chanson Les feuilles mortes, "la vie sépare ceux qui s'aiment, tout doucement, sans faire de bruit" Veuve, mère d'une enfant, Madeline, Elizabeth s'aperçoit que désormais seule, elle ne bénéficie plus de la considération qu'on lui accordait du fait de sa relation avec Calvin...Elle constate avec amertume qu'elle était malgré tout, Madame Elizabeth Evans. "Et pourtant, bien que ses collègues sachent qu'elle les dépassait, et de loin, sur le plan intellectuel, on attendait d'elle qu'elle fasse l'éloge de tout ce qu'ils pondaient, y compris de leurs résultats médiocres." Eux sont obnubilés par le couple dérangeant Calvin et Elizabeth. "(ils) avaient encore des questions à poser à Calvin ; par exemple : comment avait-il réussi à remporter autant de prix alors qu'il paraissait ne rien faire ? Et qu'en était-il du sexe avec Elizabeth Zott ? N'était-elle pas frigide, comme on le supposait ?" Elizabeth quitte Hastings pour une carrière TV que le hasard lui offre. le ton du roman, dans cette partie , n'est pas sans rappeler l'esprit de la série TV Mad Men consacrée aux publicistes dans les années 1960, les chaines TV s'emparent alors de l'iconoclastie pour faire de l'audience. Elizabeth déclare : "Il n'y a rien de normal dans la femme au foyer normal." et sans le savoir elle entre dans un système qui accepte ses incartades jusqu'à un certain point. "Certains disent qu'il n'y a pas de mauvais publicité et, dans ce cas, ils eurent raison. le taux d'audience de À table ! C'est l'heure du souper battit tous les records." "Et ce fut ainsi qu'elle découvrit l'autre truisme de la célébrité : son obsolescence programmée. La seule Elizabeth Zott qui suscitait un intérêt était celle qui avait porté un tablier." Ce roman suggère une ligne de conduite sans en avoir l'air. Un exemple et un modèle. Peut-être qu'à la fin de sa lecture, en le reposant sur notre chevet nous nous dirons "il faut arrêter de déconner si on veut que ça change" Diable ! Je l'ai écrit ! L'histoire d'Elizabeth Zott se déroule en Californie et en Angleterre dans les années 1960. Je vois d'ici les hordes de baby boomers et les fanas de littérature feelgood se réjouir. Chouette on va avoir du c'était mieux avant, du on savait être heureux à l'époque, qu'est-ce qu'on a fait pour avoir perdu tout ça ! Maldonne ! Ce roman n'est pas du tout dans la nostalgie du c'était mieux avant, il est dans une nostalgie critique, celle du c'était comme ça avant et il fallait le supporter ! Elizabeth Zott s'est employée dès son enfance et son adolescence à combattre les avanies que les femmes s'efforçaient de supporter pour faire comme si de rien n'était. Elizabeth est une chimiste de haut niveau mais dans son université, ses collègues masculins ne cessent de la prendre pour une secrétaire. "Elle n'aimait pas les gens qui se livraient à des suppositions basées sur ce qu'elle considérait comme des indices visuels dépassés, et elle n'aimait pas non plus les hommes qui pensaient - même s'il s'était avéré qu'elle était secrétaire - qu'être secrétaire signifiait être incapable de comprendre d'autres mots que : "tapez ça en trois exemplaires." Elle a décidé de se battre contre ces comportements et ça...
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  • Bill 17/02/2024
    Mais pourquoi donc une jolie femme ne pouvait pas suivre un cursus universitaire dans les années 50 sans que son directeur de thèse n'abuse d'elle , que les policiers se rient de sa volonté de déposer plainte et que pour couronner te tout elle ne puisse donc pas valider son doctorat de chimie. Et pourquoi donc le patron du labo ne donnait aucune chance à ses recherches, que ses collègues lui volaient ses idées ... jusqu'à ce coup de foudre réciproque entre le plus brillant de tous, Calvin Evans, le plus solitaire des chercheurs qui reconnut en elle une âme sœur. Exploitée, dépouillée, mais mère d'une exceptionnelle Madeline, c'est grâce au soutien de sa voisine qu'elle continuera à travailler dans ce labo après la mort de Calvin, jusqu'à son licenciement abusif. C'est ensuite un merveilleux concours de circonstances qui lui permit d'avoir une émission de télé, qui d'apparence culinaire, était en fait un cours de chimie et une formidable source de prise de conscience des femmes et de leurs possibilités. Un roman qui finit bien (c'en est presque dommage) mais qui donne à voir le chemin parcouru depuis ce temps pas si lointain où faire des études et décrocher un job dans son domaine de compétences n'était pas monnaie courante. Bref, faites des études - même, surtout, scientifiques - poussez vos filles dans cette voie.  Il n'est rien que les filles ne peuvent faire !  Un roman presque parfait (je me suis ennuyée un tout petit peu dans le troisième quart) à mettre dans toutes les mains. Des personnages bien campés et attachants, des situations qui vont du rire aux larmes, une résilience implacable, et une foi constante dans l'avenir font de ce livre un de ceux que je n'oublierai pas !  A vous ! Mais pourquoi donc une jolie femme ne pouvait pas suivre un cursus universitaire dans les années 50 sans que son directeur de thèse n'abuse d'elle , que les policiers se rient de sa volonté de déposer plainte et que pour couronner te tout elle ne puisse donc pas valider son doctorat de chimie. Et pourquoi donc le patron du labo ne donnait aucune chance à ses recherches, que ses collègues lui volaient ses idées ... jusqu'à ce coup de foudre réciproque entre le plus brillant de tous, Calvin Evans, le plus solitaire des chercheurs qui reconnut en elle une âme sœur. Exploitée, dépouillée, mais mère d'une exceptionnelle Madeline, c'est grâce au soutien de sa voisine qu'elle continuera à travailler dans ce labo après la mort de Calvin, jusqu'à son licenciement abusif. C'est ensuite un merveilleux concours de circonstances qui lui permit d'avoir une émission de télé, qui d'apparence culinaire, était en fait un cours de chimie et une formidable source de prise de conscience des femmes et de leurs possibilités. Un roman qui finit bien (c'en est presque dommage) mais qui donne à voir le chemin parcouru depuis ce temps pas si lointain où faire des études et décrocher un job dans son domaine...
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  • Socrazycats 03/02/2024
    Difficile de qualifier ce livre … le personnage d’Elizabeth est pénible à la longue . Blanc / noir , voilà la palette de couleurs du personnage . Pas de nuance . Elle est intelligente, plus que la moyenne , elle le sait . Je n’ai pas réussi à m’attacher à elle. Trop caricaturale . Mais l’histoire de fond sur la situation de la femme dans les années 50 reste crédible et intéressante .
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