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Seuls les enfants savent aimer
Lu par Cali, Cali
Date de parution : 06/09/2018
Éditeurs :
Lizzie
En savoir plus
PRIX CONSEILLÉ
17.99 €

Seuls les enfants savent aimer

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Lu par Cali, Cali
Date de parution : 06/09/2018
L’enfance et ses blessures, sous la plume de Cali.
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir...
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l'amour s'en va.
Seuls les enfants meurent d'amour.
Seuls les enfants jouent leur coeur à chaque instant,...
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l'amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l'amour s'en va.
Seuls les enfants meurent d'amour.
Seuls les enfants jouent leur coeur à chaque instant, à chaque souffle.
À chaque seconde le coeur d'un enfant explose.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu'à quand vas-tu mourir ?

Seuls les enfants savent aimer est lauréat du Prix Méditerranée Roussillon 2018.
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EAN : 9791036600630
Façonnage normé : MP3
Durée : 271 min
Lizzie
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EAN : 9791036600630
Façonnage normé : MP3
Durée : 271 min

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cora_lit_et_ecoute 25/03/2024
    Lecture n°21 de 2024 📖 Seuls les enfants savent aimer ✒️ @caliofficiel 🏠 @lecherchemidi (papier) et @editions_pocket (poche) 📆 18 Janvier 2018 📱Papier Lu dans le cadre d'une lecture commune organisée par @lire1x sur @lecturecommune (avec du retard...) Ce roman s'ouvre de manière très forte puisque c'est l'enterrement d'une femme. Et cette femme, c'est la maman de Bruno, 6 ans. Et la famille de Bruno a décidé qu'il n'assisterait pas aux obsèques. Il va alors suivre l'évènement à travers les autres. Ce roman est poignant, très émouvant avec une écriture à la fois très poétique et très enfantine. Les mots utilisés par Cali pour décrire le deuil et l'absence de sa maman m'ont parfois troublée et beaucoup émue. Je découvre avec ce roman la plume de Cali, que j'ai beaucoup apprécié. Dans ce récit, on parle deuil, souffrance, reconstruction, amitié et Amour avec un grand A avec beaucoup de pudeur et beaucoup de douceur.
  • Orphee3 04/10/2023
    Un récit très poétique, qui nous bouleverse, qui nous affecte. Un long cri de désespoir, de souffrance de la part d'un enfant de 6 ans…. de l'auteur face a la mort de sa mère. Un court roman qui se lit délicieusement, qui nous donne la boule au ventre et les yeux qui brillent. L'écriture est tellement belle que nous ressentons chaque sentiment. On ne peut pas y rester insensible.
  • LaetiF 24/09/2022
    Le démarrage est terriblement triste puisque les premières lignes relatent l'enterrement d'une jeune trentenaire, vu par son fils de 6 ans, interdit de cérémonie car trop jeune... Ce sera donc un livre sur le deuil, celui qui brise une famille, qui casse une enfance trop tôt. L'écriture est poétique et rythmée : des phrases courtes, des mots bien choisis, on reconnaît bien là l'auteur de chansons. Cali s'adresse à sa maman et lui raconte sa vie après sa mort. Trop émotive, trop touchée par l'histoire et la sensibilité qui s'en dégage, je préfère abandonner (p57) cette lecture pour quelques temps. J'y reviendrai à un meilleur moment...
  • Nastie92 31/03/2022
    Un petit garçon de six ans perd sa maman et son monde s'écroule. Sa vie bascule. Ce petit garçon, c'est Bruno, du moins dans le livre. Dans la vraie vie, c'est l'auteur. Cali a su exprimer avec des mots simples la profondeur de la blessure, l'intensité de la détresse. Il arrive à nous faire sentir, voire ressentir, tout le désarroi de ce petit garçon. Au-delà de cette faille qui l'engloutit, Cali nous parle de l'enfance, et j'ai trouvé qu'il en parlait plutôt bien. L'enfance, cette période de grande fragilité où ce qui apparaît parfois sans importance aux yeux des adultes prend des proportions gigantesques. Où tout se vit très intensément, en positif comme en négatif. Une maman, c'est important pour traverser ces années tourbillonnantes et pour bien grandir. Bruno n'a plus la sienne, alors il se débrouille avec ce (et ceux) qu'il a sous la main. Ce texte, écrit très simplement, n'est pas de la grande littérature, mais Cali a gardé son âme d'enfant et se glisse parfaitement dans la peau de Bruno. La justesse de Cali rend Bruno extrêmement touchant et ce court roman bien émouvant.
  • DOMS 16/03/2022
    Alors qu’il a 6 ans, le jeune Bruno voit sa vie basculer avec la mort de sa mère, une jeune femme de trente-trois ans. Bien sûr, il y avait des semaines qu’elle luttait contre la maladie, qu’elle était partie à l’hôpital, mais elle était revenue à la maison. « Tu es revenue. Pour partir à jamais. » Une plaie ouverte qui ne se refermera pas. Il n’a pas été autorisé à accompagner à son enterrement celle qu’il aime par-dessus tout, qui compte tant pour lui, trop jeune, trop fragile. C’est dans une pièce obscure de la maison qu’il va deviner, inventer, la mise en terre, les adieux, pourtant passage quasi obligé pour la plupart des vivants pour arriver à faire son deuil de celui qui part. Un amour filial dont personne dans la famille n’a su prendre la mesure. Des années après, celui qui s’appelle pour nous tous Cali, va enfin écrire, avec les mots du petit garçon de cette époque, la perte, le chagrin, les évènements qui ont bouleversé son horizon, pendant les mois qui vont suivre le deuil. Un père qui meurt peu à peu de l’absence et sera plus souvent au café qu’à la maison, une grande sœur qui tente tant bien que mal de pallier au manque en faisant les tâches ménagères de cette mère disparue, la famille qui ne trouve rien de mieux que de détruire toute trace de celle qui est décédée, en brulant tout, scène marquante du roman j’avoue. Puis il y a l’école, Carole, celle qui focalise tous les sentiments de Bruno, son amour sans retour, Alec, le meilleur ami, celui des secrets, des bêtises, des câlins aussi, enfin le départ en colonie, comme une punition suprême, un éloignement de plus du lieu où repose sa mère. Des souvenirs forts pour l’enfant qui sont tantôt écrits avec le langage du petit garçon, tantôt avec celui du poète, mais qui du coup tiennent également le lecteur à distance de la douleur. chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2018/05/21/seuls-les-enfants-savent-aimer-cali/Alors qu’il a 6 ans, le jeune Bruno voit sa vie basculer avec la mort de sa mère, une jeune femme de trente-trois ans. Bien sûr, il y avait des semaines qu’elle luttait contre la maladie, qu’elle était partie à l’hôpital, mais elle était revenue à la maison. « Tu es revenue. Pour partir à jamais. » Une plaie ouverte qui ne se refermera pas. Il n’a pas été autorisé à accompagner à son enterrement celle qu’il aime par-dessus tout, qui compte tant pour lui, trop jeune, trop fragile. C’est dans une pièce obscure de la maison qu’il va deviner, inventer, la mise en terre, les adieux, pourtant passage quasi obligé pour la plupart des vivants pour arriver à faire son deuil de celui qui part. Un amour filial dont personne dans la famille n’a su prendre la mesure. Des années après, celui qui s’appelle pour nous tous Cali, va enfin écrire, avec les mots du petit garçon de cette époque, la perte, le chagrin, les évènements qui ont bouleversé son horizon, pendant les mois qui vont suivre le deuil. Un père qui meurt peu à peu de l’absence et sera plus souvent au café qu’à la maison, une grande sœur qui tente tant...
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