La fois où Mémé a échappé aux guêpes - album dès 3 ans | Vincent Cuvellier,Marion Piffaretti

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LoupAlunettes 06/03/2021

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Le premier réflexe des jeunes lecteurs sera de rire. On a pas idée d'appeler une petite fille Mémé. Non, chers lecteurs, les parents du personnage ne lui auront pas fait ce drôle de cadeau. Mémé est la mémé d'un narrateur de quatrième de couverture. "...ma Mémé, quand elle était petite, c'était pas encore ma mémé...". Nous retrouverons donc une Mémé toute petite, avec son fichu à pois rouges sur la tête, ses couettes et sa robe salopette à la bonne mode champêtre. Le personnage nous amusera dès les premières lignes et c'est le narrateur ( donc son petit-fils ou sa petite-fille puisque c'est une Mémé) qui racontera son enfance et ses facéties. Avec ses souvenirs d'enfance, il y aura de l'espièglerie. Du haut niveau. Le ton naïf du narrateur, enfantin et irrésistiblement disposé à dire tout ce qui lui passe par la tête est craquant. Les phrases seront à rallonge et avec les mots de l'enfance, comme on les aime chez les plus jeunes pour expliquer une situation. " Aujourd'hui, c'est jeudi, y a pas école, et comme tous les les jeudis, Mémé doit aider sa maman à faire un truc. Des fois, le truc, c'est de garder les vaches, ramasser les patates, chercher les oeufs des poules, accompagner sa maman chez des dames...". C'est un enfant qui racontera et il nous rappellera un peu Émile du même auteur Vincent Cuvellier. Mémé a curieusement une tête a faire des bêtises ( d'instinct on les reconnait). Notre Mémé sera invitée par maman à aller chercher le journal de papa cette fois et sollicitera la compagnie de son copain "Mimile", petit garçon joufflu en sabots. Il y aura une histoire de guêpes et ça ne sera pas beau à voir. L'aventure sera courte mais très éloquente aussi d'une capacité de l'enfance aussi à se déconcentrer, à se détourner facilement de la voie recommandée. Le Chaperon prendra le temps de cueillir des fleurs sur le chemin pour chez Mère-Grand, le gang Mimile et Mémé trouvera une activité bien plus déconseillée. Pas sûr que la leçon sera retenue à la fin et ça aussi devrait faire pouffer de rire. Une série à ne pas prendre au sérieux et à découvrir.Le premier réflexe des jeunes lecteurs sera de rire. On a pas idée d'appeler une petite fille Mémé. Non, chers lecteurs, les parents du personnage ne lui auront pas fait ce drôle de cadeau. Mémé est la mémé d'un narrateur de quatrième de couverture. "...ma Mémé, quand elle était petite, c'était pas encore ma mémé...". Nous retrouverons donc une Mémé toute petite, avec son fichu à pois rouges sur la tête, ses couettes et sa robe salopette à la bonne mode champêtre. Le personnage nous amusera dès les premières lignes et c'est le narrateur ( donc son petit-fils ou sa petite-fille puisque c'est une Mémé) qui racontera son enfance et ses facéties. Avec ses souvenirs d'enfance, il y aura de l'espièglerie. Du haut niveau. Le ton naïf du narrateur, enfantin et irrésistiblement disposé à dire tout ce qui lui passe par la tête est craquant. Les phrases seront à rallonge et avec les mots de l'enfance, comme on les aime chez les plus jeunes pour expliquer une situation. " Aujourd'hui, c'est jeudi, y a pas école, et comme tous les les jeudis, Mémé doit aider sa maman à faire un truc. Des fois, le truc, c'est de garder les vaches, ramasser les patates, chercher les oeufs des poules,...

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