Mohand Ouahrani, né en 1974 dans la banlieue parisienne, est passionné par la vie de ces quartiers où se dessine l'un des visages de la France de demain.
De nombreux jeunes, des banlieues et d'ailleurs, qu'ils soient issus de l'immigration ou non, ont vibré lors des victoires de l'équipe de France de football (Mondial 1998 et Coupe d'Europe 2000). Au-delà de l'exploit sportif, ils se retrouvaient dans les personnalités de joueurs, symboles de la diversité française et d'une...
De nombreux jeunes, des banlieues et d'ailleurs, qu'ils soient issus de l'immigration ou non, ont vibré lors des victoires de l'équipe de France de football (Mondial 1998 et Coupe d'Europe 2000). Au-delà de l'exploit sportif, ils se retrouvaient dans les personnalités de joueurs, symboles de la diversité française et d'une nation enfin réconciliée avec son idéal républicain d'intégration.
Faisant fi de toutes les difficultés, Mohand Ouahrani, avec un acharnement digne d'éloge, est allé à la rencontre de ces footballeurs, si différents les uns des autres, mais unis par la même volonté de gagner.
Les propos de Zidane, Thuram, Pirès, Petit, Karembeu, Jacquet, et de jeunes joueurs inconnus des banlieues, représentent un fantastique message d'espoir et d'humanité et un pied de nez à tous les préjugés.
Mohand Ouahrani, né en 1974 dans la banlieue parisienne, est passionné par la vie de ces quartiers où se dessine l'un des visages de la France de demain.
« FOOT ET INTEGRATION. Aborder le football à travers l'intégration, c'est la démarche très originale adoptée par l'auteur de ce livre. Le but : mettre en parallèle les mémoires familiales et l'intégration des jeunes de banlieue. A la première personne, footballeurs et fans du ballons rond racontent leur parcours, leurs souvenirs à travers des dates marquantes. Des portraits intimes, des messages, notamment celui de Zidane : "Que l'on soit pauvre ou riche, il faut se souvenir de trois points importants : le travail, le respect et avoir un but dans la vie." Un livre pour démontrer la valeur essentielle du sport : l'égalité. »
Le Parisien