Le nouvel élève - Nono - Dans le bois de Coin joli - album illustré - Ecole, rentrée des classes - Dès 3 ans

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• aaahhh 06/12/2017

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  Au premier abord je n'ai pas été convaincue, pas immédiatement séduite disons, par les graphismes un peu grossiers et vraiment très colorés. Mais Tom, 6 ans n'était pas d'accord "Mais si il est génial ce livre" et Leo, 4 ans, de renchérir, "Mais oui nous on l'adore et toi aussi!". Ainsi embarquée malgré moi, je lui ai donné une deuxième chance et une troisième et, comme il en va avec les lectures enfantines, même une vingtième au bout d'une semaine. Et il s'avère que mes fils avaient raison! Finalement ils ne sont pas si grossiers ces dessins, plutôt rigolos et engageant! Et surtout cette petite histoire de sanglier malpoli est tellement riche sous ses airs de rien! Au fil de mes relectures, "Le nouvel élève" m'a donné l'occasion d'évoquer avec mes enfants des thèmes majeurs et délicats tels que l'adaptation, la solitude, le harcèlement, le racket, la solidarité. Ils m'en ont cité des élèves qu'ils reconnaissaient dans Becafoin le marcassin chafoin et ont même admis être parfois eux aussi moins gentils quand en manque d'amis... Très beaux moments de partage autour de ce petit album que je recommande vivement !
• lessorcieres 28/11/2017

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  C'est avec plaisir que nous retrouvons Coin Joli. Chez les sorcières on aime beaucoup cette collection chez Langue de chat dont nous avons plusieurs titres. Cette fois Nono et ses amis rencontrent un nouveau camarade. Si Nono est ravi à l'idée de se faire un nouvel ami tout ne sera pas si simple. En effet Becafoin le marcassin n'est pas très gentil, fait des pitreries en classe et vole le goûter des autres. Mais à Coin Joli on trouve toujours une solution. L'auteure aborde ici le sujet de l'intégration, du racket, de la violence. Que faire dans ce genre de situation ? En parler à un grand ! Comme toujours cela fini bien. C'est parfait pour aborder des sujets graves avec les tout petits. Cette collection permet de lancer le débat sur différents sujets avec les enfants et je trouve que c’est bien fait. Les illustrations sont très belles. J’adore le graphisme qui rend les animaux trop mignons. Je travaille avec des enfants et ce titre tombe pile dans une des problématiques du moment. Parfait ! Merci à la Masse critique de Babelio ainsi qu’au éditions Langue de chat pour cette découverte.
• Titania 21/11/2017

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  Comment parler des petits conflits ...des garnements qui tapent, jouent aux gros durs, peuvent intimider et pourrir le quotidien à l'école ? Cette fable animalière, la meilleure façon depuis La Fontaine de brocarder les défauts des humains, peut ouvrir le débat avec les enfants. Peut-être l'occasion de faire un quart d'heure de philo sur le vivre ensemble avec des petits, la manière d'accueillir ou de s'intégrer selon la position d'un individu par rapport à un groupe. On a des petits personnages bien caractérisés, comme un petit ours sympa, des hermines pipelettes au fond de la classe, des écureuils peureux, un petit marcassin insupportable qui veut se faire remarquer, car il ne sait pas comment s'y prendre avec les autres. Le dessin très classique presque vintage, semble être la signature de la collection, dont on a un aperçu sur la 4ème de couverture , avec une couleur dominante par album. Quelque chose me chiffonne quand même dans les options de résolution du conflit... Envoyer voir « un plus grand »pour démêler un litige entre petits ne me parait pas vraiment la meilleure des idées, surtout si c'est pour lui faire montrer les muscles. C'est un peu risqué ! Un grand à l'école est encore un petit, pas un professionnel de la médiation. Le personnage du grand cerf est mal défini. C'est qui, un élève plus âgé ? Un grand frère d'un autre gamin? Personnellement, je préférerais envoyer les enfants, vers un adulte, les parents ou la maîtresse, mademoiselle Chou curieusement pas très active dans cette affaire. Mais je ne vais pas réécrire l'histoire à la place des auteurs. Toutefois l'idée d'une fête des voisins pour faire connaissance est assez judicieuse, la convialité est un remède universel à tous les malentendus. Elle permet échanges et partages, comme cette opération Masse Critique pour laquelle je remercie Babelio et les éditions Langue au chat. Comment parler des petits conflits ...des garnements qui tapent, jouent aux gros durs, peuvent intimider et pourrir le quotidien à l'école ? Cette fable animalière, la meilleure façon depuis La Fontaine de brocarder les défauts des humains, peut ouvrir le débat avec les enfants. Peut-être l'occasion de faire un quart d'heure de philo sur le vivre ensemble avec des petits, la manière d'accueillir ou de s'intégrer selon la position d'un individu par rapport à un groupe. On a des petits personnages bien caractérisés, comme un petit ours sympa, des hermines pipelettes au fond de la classe, des écureuils peureux, un petit marcassin insupportable qui veut se faire remarquer, car il ne sait pas comment s'y prendre avec les autres. Le dessin très classique presque vintage, semble être la signature de la collection, dont on a un aperçu sur la 4ème de couverture , avec une couleur dominante par album. Quelque chose me chiffonne quand même dans les options de résolution du conflit... Envoyer voir « un plus grand »pour démêler un litige entre petits ne me parait pas vraiment la meilleure des idées, surtout si c'est pour lui faire montrer les muscles. C'est un peu risqué ! Un grand à l'école est encore un petit,...

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