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Paris vs New York l'intégrale
Date de parution : 14/11/2013
Éditeurs :
10/18

Paris vs New York l'intégrale

Date de parution : 14/11/2013

Un match visuel amical entre ces deux villes, c’est le regard croisé d’un amoureux de Paris sur un New York, rempli de détails, de clichés et de contradictions. Suivez le guide !

EAN : 9782264062536
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 288
Format : 195 x 285 mm
EAN : 9782264062536
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 288
Format : 195 x 285 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • thierrygibert 22/03/2018
    il fera sourire tous les connaisseurs et amoureux des deux métropoles avec ses observations de qui a vécu intimement les deux rivales
  • MonCharivariLitteraire 10/08/2017
    Vahram Muratyan est né à Paris et aime profondément cette ville mais lorsqu'il découvre New York enfant il décide d'y retourner. De cette fascination pour ces deux métropoles naitra un duel Paris vs New York. De manière intelligente et drôle il les renvoie l'une à l'autre dans de belles illustrations, simples, belles et colorées. Un livre à avoir pour toute personne fascinée par Paris et New York
  • Juliedlbrt 28/12/2014
    Un très beau recueil d'illustrations comparant Paris à New York, ou New York à Paris, c'est comme on veut. J'ai pris beaucoup de plaisir à le parcourir, j'aime beaucoup beaucoup et je le trouve très réussi. Un coup de coeur.
  • nathavh 21/12/2014
    un véritable coup de coeur
  • Presence 18/11/2014
    Ce tome est paru pour la première fois en 2011, dans une édition de poche. Cette nouvelle édition (ISBN 978-2264062536) date de 2013, et a été complétée par de nouvelles illustrations de Vahram Muratyan. Il est en grand format. Ce tome constitue un recueil d'illustrations pleine page. À chaque double page, l'une est consacrée à Paris, l'autre à New York, sur un thème donné. Par exemple, il commence avec une comparaison sur le surnom : la ville lumière pour Paris, la grosse pomme pour New York. Sur la page de gauche, Muratyan a représenté la forme d'une ampoule électrique ; sur la page de droite se trouve la silhouette d'une pomme. Il y a quelques exceptions dans cette présentation : les images peuvent être superposées à l'horizontale plutôt qu'en vis-à-vis à la verticale, ou encore quelques unes peuvent occuper une double page et la comparaison occuper la double page suivante. Sur ce mode de représentation, l'auteur réalise 135 comparaisons thématiques, allant des façades des immeubles, aux banlieues, en passant par le shopping, les voitures, le parking, etc. Chaque thème est illustré par 2 dessins pleine page (1 pour chaque ville), qui prennent la forme d'icônes, à mi-chemin entre le figuratif et le... Ce tome est paru pour la première fois en 2011, dans une édition de poche. Cette nouvelle édition (ISBN 978-2264062536) date de 2013, et a été complétée par de nouvelles illustrations de Vahram Muratyan. Il est en grand format. Ce tome constitue un recueil d'illustrations pleine page. À chaque double page, l'une est consacrée à Paris, l'autre à New York, sur un thème donné. Par exemple, il commence avec une comparaison sur le surnom : la ville lumière pour Paris, la grosse pomme pour New York. Sur la page de gauche, Muratyan a représenté la forme d'une ampoule électrique ; sur la page de droite se trouve la silhouette d'une pomme. Il y a quelques exceptions dans cette présentation : les images peuvent être superposées à l'horizontale plutôt qu'en vis-à-vis à la verticale, ou encore quelques unes peuvent occuper une double page et la comparaison occuper la double page suivante. Sur ce mode de représentation, l'auteur réalise 135 comparaisons thématiques, allant des façades des immeubles, aux banlieues, en passant par le shopping, les voitures, le parking, etc. Chaque thème est illustré par 2 dessins pleine page (1 pour chaque ville), qui prennent la forme d'icônes, à mi-chemin entre le figuratif et le conceptuel. Est-ce une bande dessinée ? À l'évidence, la réponse est a priori non : pas de personnages, pas d'histoires, pas de passage de temps. Néanmoins, en reprenant la définition de Scott McCloud, il s'agit de plusieurs séquences juxtaposant 2 images entre elles, ce qui fait apparaître un sens supplémentaire à celui de chaque image prise séparément. De ce point de vue, on pourrait qualifier cet ouvrage de bande dessinée, d'un genre très particulier. "Paris versus New York" est un ouvrage avant tout ludique, et un peu culturel. Le lecteur l'appréciera d'autant plus qu'il connaît les stéréotypes attachés à chacune des 2 capitales. La première comparaison relative aux surnoms permet de poser la règle de ce jeu : un thème, 2 images relevant du symbole graphique ou de l'icône, charge au lecteur d'établir le lien logique avec le thème, et de réfléchir à ce que met en valeur la comparaison. Par exemple, les pages 16 17 sont consacrées au thème "Le taxi". Sur la page de gauche, l'auteur a représenté de manière épurée la forme du signal lumineux sur le toit des taxis parisiens. Sur la première ligne il est vert, la deuxième rouge et la troisième noir. Sur la page de droite, se trouvent 3 représentations du signal lumineux d'occupation des taxis newyorkais, avec les 3 dispositions de lumière possible. Dans un premier temps, le lecteur assimile le thème, puis il identifie la nature de ce que représente le symbole graphique, et enfin il peut s'interroger sur cette différence de formes et de nature des signaux lumineux des taxis (leur historique). Deuxième exemple, les pages 28 29 sont consacrés à un schéma simplifié du plan des rues de l'une et l'autre cité. À gauche, le lecteur peut identifier une percée haussmannienne et un lacis de ruelle. À droite il reconnaît le quadrillage géométrique des avenues, que vient perturber une seule voie. Là encore il faut reconnaître ce qui est représenté de manière schématique. Le lecteur peut alors s'interroger sur les différences culturelles et historiques qui ont abouti à des tracés de rue aussi dissemblables, et à celui qu'il préfère comme cadre de vie. Ce dispositif très simple de comparaison permet également à Vahram Muratyan de brocarder gentiment les comportements des habitants. Ainsi pour le thème "La reine" (pages 92 93), il oppose Marie Antoinette (pour les parisiens, évidemment), à Madonna, c'est-à-dire la culture historique au monde du divertissement. Plus loin (pages 146 147), il met en parallèle Amélie Poulain et Carrie Bradshaw, comme femmes emblématiques de chacune des 2 villes. Suivant les thèmes, le lecteur peut constater un jugement de valeur en faveur de l'une ou l'autre ville, ou même une critique humoristique. Par exemple, pages 152 153, Muratyan montre que les parisiens apprécient leur champagne dans une flute, là où les newyorkais le dégustent sans chichi dans un gobelet en carton. Pages 234 235, ce sont les créateurs de mode qui en prennent pour leur grade quand le lecteur constate la similitude frappante entre la marque de fabrique de Jean-Paul Gaultier et celle de Ralph Lauren. Ce rapprochement fonctionne d'autant mieux que c'est le lecteur qui fait l'effort de reconnaître un élément emblématique de ces créateurs, dans les 2 symboles visuels représentés. Pages 32 33, c'est au tour des parisiens de trinquer, avec la phrase emblématique "J'suis parisien, j'aime rien" mise au regard de "Never take no for an answer". Au final, Vahram Muratyan ne réalise pas une étude sociologique comparative entre 2 modes de vie découlant chacun d'un milieu urbain différent. Il réalise une suite de comparaisons thématiques, forcément réductrices, mais tout aussi révélatrices pour peu que le lecteur accepte de jouer le jeu et les confronte à sa propre culture.
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