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1Q84 Livre 3
Hélène Morita (traduit par)
Date de parution : 07/02/2013
Éditeurs :
10/18

1Q84 Livre 3

Hélène Morita (traduit par)
Date de parution : 07/02/2013

Sous le double scintillement de 1Q84, le temps s’accélère et les vérités se confondent. La voix du détective Ushikawa s’invite, oscillant entre révélation et menace, sur la trace d’Aomamé et...

Sous le double scintillement de 1Q84, le temps s’accélère et les vérités se confondent. La voix du détective Ushikawa s’invite, oscillant entre révélation et menace, sur la trace d’Aomamé et Tengo. D’un reflet à l’autre, dans la clairvoyance hypnotique de ce troisième volet, le passé s’apprête à livrer son chaos...

Sous le double scintillement de 1Q84, le temps s’accélère et les vérités se confondent. La voix du détective Ushikawa s’invite, oscillant entre révélation et menace, sur la trace d’Aomamé et Tengo. D’un reflet à l’autre, dans la clairvoyance hypnotique de ce troisième volet, le passé s’apprête à livrer son chaos au seuil d’un nouveau rêve… 

« Pour traverser les miroirs et aller gamberger dans le Grand Ailleurs, le mot de passe tient en quatre syllabes : Murakami. Ce Japonais volant n'a pas son pareil, en effet, pour distiller les nectars d'une œuvre délicieusement somnambulique, de bout en bout hypnotique. »
André Clavel - L’Express 

Traduit du japonais
par Hélène Morita

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EAN : 9782264059260
Code sériel : 4645
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264059260
Code sériel : 4645
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Diane2209 25/02/2024
    Tout comme les deux tomes précédents, mon intérêt fluctue beaucoup en cours de lecture. Exaspérée par les commentaires très présents sur les seins et pénis, etc. La conclusion m'a déçue, un grand détour pour un aboutissement ordinaire...j'ai peut-être passé à côté de quelque chose. Je ne recommanderais pas cette série. Trop long pour l'intérêt moyen de l'histoire.
  • sylire 25/08/2023
    Disposant de temps devant moi, j'ai entrepris de découvrir la trilogie de Murakami qui m'attendait depuis un bon moment. J'ai choisi de panacher les modes de lecture, papier et audio. Un éditeur reçoit par la poste, pour un concours de jeunes auteurs, un manuscrit écrit par une jeune fille. Il a un coup de cœur pour l'histoire mais le texte comporte des imperfections et ne peut être édité en l'état. Il a l'idée de confier sa réécriture à Tengo, un des jeunes auteurs de son "écurie" qui a du potentiel mais n'a pas encore percé. Tengo, bien qu'ayant des scrupules, accepte de relever le challenge, après avoir rencontré la jeune fille. Parallèlement, nous suivons Anomamé, une jeune femme assez solitaire, animatrice sportive dans une association et coach pour des particuliers. Nous découvrons qu'elle a une activité très spéciale en parallèle puisqu'elle est chargée d'éliminer des hommes qui se sont montrés violents avec des femmes. Comme vous pouvez vous en douter, les deux histoires finissent par se rejoindre... Comme à son habitude, Murakami flirte avec le fantastique de façon subtile et dosée. Nous côtoyons deux mondes : celui de l'année 1984 et celui de l'année 1Q84, qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Tout du moins au premier abord car en1Q84 on peut voir deux lunes dans le ciel et les humains doivent composer avec les "Little People". Cela peut sembler farfelu de prime abord mais tout se tient et on y croit ! Je me suis passionnée pour cette histoire qui mélange les genres : histoire d'amour, thriller, conte fantastique et poétique... J'ai beaucoup aimé suivre les deux personnages, aussi attachants l'un que l'autre et j'ai eu beaucoup de mal à les quitter. J'aurais vraiment aimé qu'il y ait un quatrième tome. J'ai autant aimé la version papier que la version audio. Pour une trilogie (ou un pavé), c'est très plaisant d'alterner les modes de lecture. Cela permet d'avancer plus vite dans l'histoire. En effet, je lis audio en voiture, en me baladant ou en m'occupant des tâches ménagères, ce qui augmente de façon conséquente les plages de lecture dans la journée. Une belle aventure littéraire !Disposant de temps devant moi, j'ai entrepris de découvrir la trilogie de Murakami qui m'attendait depuis un bon moment. J'ai choisi de panacher les modes de lecture, papier et audio. Un éditeur reçoit par la poste, pour un concours de jeunes auteurs, un manuscrit écrit par une jeune fille. Il a un coup de cœur pour l'histoire mais le texte comporte des imperfections et ne peut être édité en l'état. Il a l'idée de confier sa réécriture à Tengo, un des jeunes auteurs de son "écurie" qui a du potentiel mais n'a pas encore percé. Tengo, bien qu'ayant des scrupules, accepte de relever le challenge, après avoir rencontré la jeune fille. Parallèlement, nous suivons Anomamé, une jeune femme assez solitaire, animatrice sportive dans une association et coach pour des particuliers. Nous découvrons qu'elle a une activité très spéciale en parallèle puisqu'elle est chargée d'éliminer des hommes qui se sont montrés violents avec des femmes. Comme vous pouvez vous en douter, les deux histoires finissent par se rejoindre... Comme à son habitude, Murakami flirte avec le fantastique de façon subtile et dosée. Nous côtoyons deux mondes : celui de l'année 1984 et celui de l'année 1Q84, qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Tout...
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  • Audreymanboou 09/08/2023
    [masquer]J'ai hésité entre 3 et 4 étoiles, car j'ai adoré les deux premiers tomes, j'ai donc apprécié cette lecture et je m'attendais à une fin en apothéose. Je dois avouer que je suis un peu (beaucoup ?) restée sur ma faim en refermant ma liseuse... J'aurais aimé davantage d'explications. Dommage! Je quitte à regret les personnages auxquels je m'étais tant attachée.[/masquer]
  • soryan 09/07/2023
    Il y a quelques années maintenant, j’étais à bord d’un TGV, au beau milieu de mon adolescence, lorsque j’ai commencé à feuilleter un magazine de la SNCF pour passer le temps. En tant qu’amoureux de la culture japonaise (comme beaucoup de personnes de ma génération, initié par le soft power japonais), j’étais avide de tout ce qui s’en rapprochait, car ce pays m’intriguait. Les pages défilaient et puis la dernière page de ce fameux magazine me présentait quelques livres, dont une seule couverture attira mon attention : un roseau rouge, avec pour inscription “1Q84”. Le résumé m’emporta, j’en étais décidé ! Étant à l’époque un lecteur occasionnel, je me lançai dans la lecture des trois tomes. Une lecture s’étalant sur plusieurs années, ayant lu les deux premiers tomes au lycée et terminé le troisième au milieu de la vingtaine. Aomamé, Tengo, Fukaéri… tous ces personnages font désormais partie de moi et m’ont accompagné. Les deux premiers tomes installent l’histoire et une tension palpable, ponctués de moments poétiques et d’un développement psychologique des personnages d’une grande précision. Il y a une minutie dans les détails qui pourrait sembler excessive, mais qui trouve une beauté dans la banalité. Cependant, la fin me laisse insatisfait. Pourquoi avoir installé une telle tension pour une finalité si attendue, si “happy end” ? [masquer] Pourquoi avoir introduit et développé Ushikawa pour le voir mourir de manière insignifiante et brutale ? On se demande même s’il n’a pas été intentionnellement écarté pour enfin s’en débarrasser… Je m’attendais à des retrouvailles entre Tengo et Aomamé, certes, mais pas aussi facilement, pas sans certains sacrifices, avec Ushikawa et les précurseurs fanatiques à leurs trousses…[/masquer] Le troisième tome est, à mon sens, le moins bien construit. Il comporte beaucoup de longueurs et me semblait moins captivant que les deux premiers tomes. Cependant, je garderai en mémoire les moments cinématographiques que j’ai construits dans mon esprit en lisant ces livres, imprégnés d’une imagerie et d’un univers qui me rappellent les mangas qui m’ont introduit au pays du soleil levant. Cela clôt finalement cette période de ma vie.Il y a quelques années maintenant, j’étais à bord d’un TGV, au beau milieu de mon adolescence, lorsque j’ai commencé à feuilleter un magazine de la SNCF pour passer le temps. En tant qu’amoureux de la culture japonaise (comme beaucoup de personnes de ma génération, initié par le soft power japonais), j’étais avide de tout ce qui s’en rapprochait, car ce pays m’intriguait. Les pages défilaient et puis la dernière page de ce fameux magazine me présentait quelques livres, dont une seule couverture attira mon attention : un roseau rouge, avec pour inscription “1Q84”. Le résumé m’emporta, j’en étais décidé ! Étant à l’époque un lecteur occasionnel, je me lançai dans la lecture des trois tomes. Une lecture s’étalant sur plusieurs années, ayant lu les deux premiers tomes au lycée et terminé le troisième au milieu de la vingtaine. Aomamé, Tengo, Fukaéri… tous ces personnages font désormais partie de moi et m’ont accompagné. Les deux premiers tomes installent l’histoire et une tension palpable, ponctués de moments poétiques et d’un développement psychologique des personnages d’une grande précision. Il y a une minutie dans les détails qui pourrait sembler excessive, mais qui trouve une beauté dans la banalité. Cependant, la fin me laisse insatisfait....
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  • Seika_Chuyo 25/06/2023
    Et c’est ainsi que se termine le monde d’IQ84, qui n’a pas cessé de m’envouter tout du long. Ce dernier tome est un peu différents des deux autres, avec l’arrivé d’un troisième protagoniste dans l’histoire qui est relativement intéressant. J’ai cependant un peu moins apprécié ce livre, on a l’impression que l’intrigue est déjà résolu assez rapidement et l’histoire se concentre bien plus sur la romance entre Tengo et Aomamé, un peu mièvre tout de même. On est dans une attente tout le long du tome, ce qui correspond bien a la situation d’Aomamé, enfermée et cachée dans un appartement. Tout les autres personnages en dehors de nos deux tourtereaux semblent s’effacer, afin de les laisser tout les deux seuls. J’ai été un peu déçu par la fin et sa simplicité, même si elle peut promettre de nouvelles aventures et difficultés pour nos deux protagonistes. On a réellement une impression de destin en marche qui m’a un peu ennuyé. On a également bien moins de pensée que l’on pouvait retrouvé dans le tome 1 et 2 et que j’aime beaucoup chez Murakami. On est un peu moins dans le métaphysique. Cependant, étant déjà attaché aux personnages et à l’histoire, j’ai tout de même aimé ce livre. Et le style de l’auteur, précis et imprécis a la fois, est vraiment très intéressant a lireEt c’est ainsi que se termine le monde d’IQ84, qui n’a pas cessé de m’envouter tout du long. Ce dernier tome est un peu différents des deux autres, avec l’arrivé d’un troisième protagoniste dans l’histoire qui est relativement intéressant. J’ai cependant un peu moins apprécié ce livre, on a l’impression que l’intrigue est déjà résolu assez rapidement et l’histoire se concentre bien plus sur la romance entre Tengo et Aomamé, un peu mièvre tout de même. On est dans une attente tout le long du tome, ce qui correspond bien a la situation d’Aomamé, enfermée et cachée dans un appartement. Tout les autres personnages en dehors de nos deux tourtereaux semblent s’effacer, afin de les laisser tout les deux seuls. J’ai été un peu déçu par la fin et sa simplicité, même si elle peut promettre de nouvelles aventures et difficultés pour nos deux protagonistes. On a réellement une impression de destin en marche qui m’a un peu ennuyé. On a également bien moins de pensée que l’on pouvait retrouvé dans le tome 1 et 2 et que j’aime beaucoup chez Murakami. On est un peu moins dans le métaphysique. Cependant, étant déjà attaché aux personnages et à l’histoire, j’ai tout...
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