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La Symphonie du hasard
Chloé Royer (traduit par)
Date de parution : 11/10/2018
Éditeurs :
Pocket

La Symphonie du hasard

Chloé Royer (traduit par)
Date de parution : 11/10/2018
« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. »
En lisant ces mots, Alice reste frappée par leur justesse. Les secrets, les non-dits, elle connaît. Chez les Burns, on en a...
« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. »
En lisant ces mots, Alice reste frappée par leur justesse. Les secrets, les non-dits, elle connaît. Chez les Burns, on en a fait une spécialité. La dernière en date ? Cette révélation que son trader de frère, Adam, vient de lui faire...
« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. »
En lisant ces mots, Alice reste frappée par leur justesse. Les secrets, les non-dits, elle connaît. Chez les Burns, on en a fait une spécialité. La dernière en date ? Cette révélation que son trader de frère, Adam, vient de lui faire depuis le parloir de sa prison… Et qui la ramène une quinzaine d’années en arrière. C’était l’Amérique des années 70, celle des droits civiques et des campus en ébullition. Un vent de liberté attisait les désirs et Alice rêvait d’évasion. C’était l’heure des choix. Les premières notes d’une symphonie à venir…

« Du grand Douglas Kennedy. Une fois dans la peau d'Alice, on ne peut plus la lâcher. » Sandrine Bajos – Le Parisien

« Pas de doute, cet homme-là sait raconter des histoires. » Pascale Frey – ELLE

« Alcool, secrets, mensonges, trahisons : la famille américaine que décrit Kennedy a tout pour plaire. » Amélie Cordonnier – Femme actuelle
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EAN : 9782266286725
Code sériel : 17293
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266286725
Code sériel : 17293
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Douglas Kennedy a montré depuis longtemps qu'il savait se glisser au sein d'un couple, d'une famille, pour en capter, tel un sismographe de l'émotion et de l'inconscient, toutes les facettes: bonheurs, lâchetés, tempêtes, incertitudes. Un remarquable portrait de femme et une description de la lutte passionnante d'une société avide de liberté et de bonheur, confrontée au racisme, au harcèlement et à l'homophobie... » Marie France, Bernard Babkine
« Alcool, secrets, mensonges, trahisons : la famille américaine que décrit Kennedy dans le premier tome de sa trilogie a tout pour plaire. »  Femme actuelle, Amélie Cordonnier
« Du grand Douglas Kennedy. Une fois dans la peau d'Alice, on ne peut plus la lâcher. » Le Parisien, Sandrine Bajos
« Pas de doute, cet homme-là sait raconter des histoires. » ELLE, Pascale Frey
« Disséquant le puritanisme de la société américaine, Douglas Kennedy parvient à mêler l'analyse des crispations politiques à la peinture d'une tragédie familiale. Avec ce palpitant roman noir, Douglas Kennedy revient en grande forme. » L'Express, Estelle Lenartowicz
« Douglas Kennedy dissèque notre acharnement à être les artisans de nos malheurs et raconte tout en subtilité, combien les fantômes du passé nous hantent. Magnifique. » Télé Loisirs, Marina Kacan
« Une famille américaine que Douglas Kennedy prend un malin plaisir à ausculter à travers les décennies, avec un tel bagou et une telle empathie qu'on a l'impression d'y être. » Avantages, Françoise Feuillet
« Une fresque haletante. Unissant petite et grande histoire, autobiographie et fiction, Douglas Kennedy réussit une fresque sociale et familiale pleine de trahisons, de mensonges et de culpabilité. » Télérama, Christine Ferniot
« Douglas Kennedy brosse un remarquable portrait de femme en explorant avec acuité l'Amérique des années 1970, où les forces de la liberté et de la contestation se heurtent à celles du racisme, du sexisme, de l'homophobie et de la corruption. » Madame Figaro, Minh Tran Huy
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • alainde 18/01/2024
    On ne choisit pas sa famille, c'est "La Symphonie du Hasard" qui dicte les réalités. Tel est le thème des trois volets nous faisant découvrir La famille Burns. Dans ce premier volet, Alice ses deux frères Adam, Peter et les parents ont quitté NYC pour aller vivre à Old Greenwich. Alice, évoque ses années difficiles de lycée et devient une étudiante brillante savourant sa liberté. Aux années soixante légères vont succéder les années soixante-dix tapageuses pour faire exploser toutes ces familles qui croyaient encore au rêve américain… Alice a 44 ans quand elle raconte cette histoire, malgré ce coté flash-back assez dérangeant, j'ai apprécié les talents de conteur de Douglas Kennedy. Il a l'art de nous connecter à ces personnages pour le moins très typés.
  • PapierBuvard 19/07/2023
    3,75/5 Ni plus ni moins. On m’avait parlé de La symphonie du hasard il y a un bout de temps déjà. Alors quand je l’ai vu dépassé d’un meuble, hop, je l’ai emporté avec moi et ma serviette de plage. J’ai beaucoup aimé le personnage d’Alice que ce soit par son intelligence, sa justesse ou son caractère. Quelques longueurs sont à déplorer mais je n’ai jamais été saisie d’ennui. L’écriture est fluide et se lit très bien. Les émotions sont très bien retranscrites : des sourires et des larmes qui montaient. Malheureusement mon plaisir a été entaché par une incompréhension des nombreuses références culturelles américaines et les images dépeintes ne me venaient pas. Je me suis réellement sentie ignorante en tant que petite Française haha. Je garde un bon moment passé avec ce bouquin entre les mains. Le tome 1 a satisfait mes attentes, cependant, emprunter le second opus ne fait pas partie de mes urgences. Bonne lecture !
  • mfrance 07/06/2023
    Après avoir abandonné Douglas Kennedy, car très déçue par ses derniers livres, dont je n'avais pas apprécié le côté « romance à deux sous », me voici à nouveau sous le charme de la plume alerte et vive de l'auteur. Ses talents de conteur ne sont plus à démontrer et on est vite conquis par son héroïne Alice Burns, fantasque et attachante, vive, intelligente que l'on suit du lycée à l'université, dans l'ébullition du début des années 70 : la réélection de Nixon et ses démêlés avec la justice et les manifestations contre la guerre du Viet-Nam principalement. Le séjour à Bowdoin occupe une place prédominante dans le roman et Douglas Kennedy s'en donne à cœur joie en épinglant les excentricités de ce monde universitaire si différent du modèle européen, où les fraternités étudiantes tiennent une si grande place, où les sportifs sont encensés tels des héros et où leurs exploits sur les terrains sont plus appréciés que leurs résultats scolaires ! On retrouve dans ce roman le thème largement abordé par l'auteur dans plusieurs de ses romans précédents et beaucoup plus longuement évoqué ici : les rapports conflictuels entre parents et enfants, faisant de la famille un modèle répulsif, le père souvent absent, fantasque et bizarre, la mère névrosée et castratrice ….. à se demander dans quelle famille tourmentée le jeune Douglas a passé ses années de jeunesse ! Ce portrait de jeune femme – et l'auteur sait se couler avec aisance dans la psyché féminine - fait largement place aux premières amours, aux premières désillusions, aux premières angoisses existentielles, tout cela retracé dans un récit clair et agréable où le lecteur est vite emporté dans le flot des événements qui vont amener Alice à s'exiler en Irlande, ce qui fait l'objet du 2ème tome, sur lequel le lecteur n'a plus qu'à se jeter voracement. Après avoir abandonné Douglas Kennedy, car très déçue par ses derniers livres, dont je n'avais pas apprécié le côté « romance à deux sous », me voici à nouveau sous le charme de la plume alerte et vive de l'auteur. Ses talents de conteur ne sont plus à démontrer et on est vite conquis par son héroïne Alice Burns, fantasque et attachante, vive, intelligente que l'on suit du lycée à l'université, dans l'ébullition du début des années 70 : la réélection de Nixon et ses démêlés avec la justice et les manifestations contre la guerre du Viet-Nam principalement. Le séjour à Bowdoin occupe une place prédominante dans le roman et Douglas Kennedy s'en donne à cœur joie en épinglant les excentricités de ce monde universitaire si différent du modèle européen, où les fraternités étudiantes tiennent une si grande place, où les sportifs sont encensés tels des héros et où leurs exploits sur les terrains sont plus appréciés que leurs résultats scolaires ! On retrouve dans ce roman le thème largement abordé par l'auteur dans plusieurs de ses romans précédents et beaucoup plus longuement évoqué ici : les rapports conflictuels entre parents et enfants, faisant de la famille un modèle répulsif, le père souvent absent, fantasque et...
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  • Nathalire 02/03/2023
    "On ne connaît jamais toute l'étendue de notre malheur jusqu'à ce que, un jour, un détail, parfois insignifiant, déclenche en nous une avalanche de tristesse refoulée depuis des mois, voire des années." Douglas Kennedy est un écrivain que j'ai découvert, il y a quelques années, avec "L'homme qui voulait vivre sa vie" et "Les Charmes discrets de la vie conjugale". J'avais beaucoup aimé ces romans. J'aime son écriture et certaines réflexions qu'il prête à ses personnages, notamment féminins, comme celle que j'ai notée en introduction.  Lorsque j'ai vu "La symphonie du hasard" à la bibliothèque, j'ai immédiatement eu envie de le lire, surtout après avoir consulté le résumé : "Comme chaque semaine, Alice Burns, éditrice new-yorkaise, s'apprête à rendre visite à son jeune frère Adam. Jadis jeune loup de Wall Street en pleine ascension, ce dernier croupit désormais en prison. Mais cette rencontre hebdomadaire va prendre un tour inattendu. Décidé à soulager sa conscience, Adam révèle un secret qui pourrait bien venir rompre les derniers liens qui unissent encore leur famille. Et Alice de replonger dans l'histoire des siens, celle d'un clan à l'image de l'Amérique : volontaire, ambitieux, assoiffé de réussite, souvent attaqué, blessé parfois, en butte à ses propres démons, mais inlassablement en quête de rachat..." Dans ce roman, Douglas Kennedy a choisi de parler de la complexité des relations familiales mais aussi de réaliser un portrait de l'Amérique des années 70 à travers le regard d'une jeune femme, Alice. Je suis vraiment fan du procédé narratif qu'il a choisi : démarrer le livre par un seul chapitre situé temporellement à une époque plus récente - où Alice est adulte - puis faire un flashback sur l'adolescence de celle-ci, flashback qui durera finalement tout le reste du roman. Cela donne envie de lire la suite - les autres tomes, puisqu'il semble qu'il s'agisse d'une trilogie. De plus, je trouve que les personnages sont bien construits, leur psychologie est réaliste et assez poussée. J'apprécie particulièrement son aisance à exprimer les sentiments, émotions et pensée de personnages féminins, et son style agréable, assez littéraire et efficace. J'ai beaucoup aimé aussi la description de l'époque avec des références musicales et à différents événements, ainsi que la plongée dans la vie universitaire américaine - notamment l'évocation des fraternités et sororités. Il en profite pour dénoncer le racisme et l'intolérance particulièrement exacerbés à l'époque et  susciter la réflexion.  Vous aurez compris que j'ai trouvé cette lecture plaisante, sans que cela soit un véritable coup de coeur. En résumé, si vous êtes friands de romans au suspense haletant et aux nombreux rebondissements, passez votre chemin. Par contre, si vous aimez les longues sagas familiales, vous devriez apprécier celle-ci - sur fond d'une critique de la société américaine de Nixon - et passer un agréable moment de lecture."On ne connaît jamais toute l'étendue de notre malheur jusqu'à ce que, un jour, un détail, parfois insignifiant, déclenche en nous une avalanche de tristesse refoulée depuis des mois, voire des années." Douglas Kennedy est un écrivain que j'ai découvert, il y a quelques années, avec "L'homme qui voulait vivre sa vie" et "Les Charmes discrets de la vie conjugale". J'avais beaucoup aimé ces romans. J'aime son écriture et certaines réflexions qu'il prête à ses personnages, notamment féminins, comme celle que j'ai notée en introduction.  Lorsque j'ai vu "La symphonie du hasard" à la bibliothèque, j'ai immédiatement eu envie de le lire, surtout après avoir consulté le résumé : "Comme chaque semaine, Alice Burns, éditrice new-yorkaise, s'apprête à rendre visite à son jeune frère Adam. Jadis jeune loup de Wall Street en pleine ascension, ce dernier croupit désormais en prison. Mais cette rencontre hebdomadaire va prendre un tour inattendu. Décidé à soulager sa conscience, Adam révèle un secret qui pourrait bien venir rompre les derniers liens qui unissent encore leur famille. Et Alice de replonger dans l'histoire des siens, celle d'un clan à l'image de l'Amérique : volontaire, ambitieux, assoiffé de réussite, souvent attaqué, blessé parfois, en butte à ses propres démons, mais inlassablement en quête...
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  • Errant 29/11/2022
    Cet auteur a un don prodigieux d'observateur de la nature humaine, que ce soit dans sa dimension psychologique ou sociologique. Et comme écrivain, il sait nous faire partager ses trouvailles avec classe et sans aucune pédanterie. Ses livres se lisent généralement comme si tout coule de source, sans effort, et induisent un émerveillement proche de l'envoutement. À tout le moins c'est le cas ici ,dans ce début de la trilogie “La symphonie du hasard” où on suit la narratrice de ses quinze ans jusqu'au début de la vingtaine. Relations familiale compliquées, contexte universitaire des années 70, angoisses existentielles, expériences d'amitié et de trahisons, tout y passe dans un enchainement fluide, captivant. Les personnages sont forts, les situations crédibles, les dialogues intelligents. Alice, la narratrice, est admirable de perspicacité, d'une franchise inébranlable quant à ses états d'âme et fait montre d'une résilience enviable. Tout pour nous inciter à la découverte du tome suivant !
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