Arsène Lupin. Les huit coups de l'horloge

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• MelanieCotobelc 29/07/2023

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  Un Lupin original car il ressemble à un recueil de mini-récits. Lupin va tenter de conquérir le coeur d'Hortense en l'associant à des énigmes qu'il résoudra avec une logique implacable. le tout s'enchaine agréablement, et on est curieux de découvrir à chaque fois comment Lupin va intriguer la belle et résoudre tous les mystères rencontrés. Pas le Lupin le plus grandiose, mais original et divertissant ! je conseille évidemment !
• Plumefil 27/05/2023

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  Ce livre est, en fait, un recueil de huit nouvelles successives, reliées entre elles par le fil rouge de la complicité entre le Prince Rénine et la charmante Hortense Daniel. Après leur rencontre lors de la première aventure, ils allient leurs efforts pour résoudre des énigmes. Toutes différentes, elles permettent à Maurice Leblanc d'exceller sur le mode de déduction de son héros qui possède un sens aiguisé de l'observation et un don de déduction accru, une sorte de Sherlock tricolore. Ici, pas d'Arsène Lupin en vue, donc pas de cambriolages de haute volée, cependant, le Prince Rénine lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Raffiné, mondain et visiblement amoureux des femmes, il porte haut les couleurs de la distinction française à la mode du début du siècle dernier. Il se dégage un subtil parfum de roses fanées dès les premières pages de ce livre, publié en 1923, comme intermède aux aventures du célèbre gentleman cambrioleur, Arsène Lupin (1905-1941), si élégamment chanté en 1973 par Jacques Dutronc. Il faut se laisser emporter par l'ambiance des années folles, pour en apprécier la lecture et la verve de l'écrivain, sinon les ficelles des intrigues paraissent un peu trop simplistes alors que leur narration est réellement bien plus élaborée que beaucoup de polars d'aujourd'hui, usant, trop souvent d'artifices peu vraisemblables. Cependant, suivre un bel aristocrate perspicace, plein d'humour, offre le charme désuet de son époque. Les huit histoires courtes ne m'ont pas satisfaite de la même façon. "Au sommet de la tour" est l'une de mes préférées avec "La dame à la hache". Malgré tout, chacune propose des situations bien différentes, tant sur les protagonistes, leurs relations et les lieux géographiques. En résumé, "Les huit coups de l'horloge" est un divertissement agréable, de lecture rapide et relaxante, instillant l'ambiance (littéraire) dans laquelle vivaient nos aïeux, à un détail près, et de taille... les crimes ! Ce livre est, en fait, un recueil de huit nouvelles successives, reliées entre elles par le fil rouge de la complicité entre le Prince Rénine et la charmante Hortense Daniel. Après leur rencontre lors de la première aventure, ils allient leurs efforts pour résoudre des énigmes. Toutes différentes, elles permettent à Maurice Leblanc d'exceller sur le mode de déduction de son héros qui possède un sens aiguisé de l'observation et un don de déduction accru, une sorte de Sherlock tricolore. Ici, pas d'Arsène Lupin en vue, donc pas de cambriolages de haute volée, cependant, le Prince Rénine lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Raffiné, mondain et visiblement amoureux des femmes, il porte haut les couleurs de la distinction française à la mode du début du siècle dernier. Il se dégage un subtil parfum de roses fanées dès les premières pages de ce livre, publié en 1923, comme intermède aux aventures du célèbre gentleman cambrioleur, Arsène Lupin (1905-1941), si élégamment chanté en 1973 par Jacques Dutronc. Il faut se laisser emporter par l'ambiance des années folles, pour en apprécier la lecture et la verve de l'écrivain, sinon les ficelles des intrigues paraissent un peu trop simplistes alors que leur narration...

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• Delicesdelivres 13/04/2023

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  Qui est vraiment le mystérieux prince Rénine ? Le voici bien décidé à rompre la vie monotone de la belle Hortense et à lui prouver que l'aventure l'attend au coin de la rue. Ce séduisant duo se lance dans la résolution de 8 énigmes avec un pacte à la clé qui devrait s'accomplir trois mois plus tard, au huitième coup de l´horloge du château d'Halingre. Avis : Un recueil de huit nouvelles policières menées tambour battant avec humour et élégance par un couple digne des écrans d´Hollywood.
• MisterBoucman 17/03/2023

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  De tous les recueils de nouvelles dédiés aux aventures du célèbre gentleman cambrioleur, ce livre est de loin mon préféré. On y suit comme d'habitude Arsène Lupin dans une première aventure autour d'une histoire d'horloge dans une bâtisse abandonnée qui a sonné huit coups (je préfère éviter d'entrer dans les détails afin de ne rien divulguer de cette aventure palpitante). Il y fait la rencontre d'une jeune femme qu'il choisit d'emmener avec lui dans huit aventure: une pour chaque coup de l'horloge en question. J'ai adoré cette lecture où Lupin se fait essentiellement détective, un peu comme dans "L'agence Barnett Cie" si ce n'est que cette fois-ci, Lupin ne vole rien, il se contente de divertir la jeune femme. Il y a plusieurs apparitions de policiers, des enquêtes autour de meurtres, des innocences à prouver, le tout avec une logique totalement digne de Maurice Leblanc. PS: Je sais que dans un premier, au moment où Maurice Leblanc a écrit "L'agence Barnett Cie, il avait pensé Barnett comme un ennemi de Lupin, mais je tiens à rappeler qu'il en a fait une identité de Lupin dans "La barre-y-va".
• Sio 07/03/2023

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  Cela faisait un moment que je n’avais plus lu de « nouvel » Arsène Lupin (même si je suis sûre qu’il m’en reste certains que je n’ai pas encore lus !), aussi étais-je très contente d’enfin lire ce recueil de nouvelles. Et si j’ai passé une agréable lecture dans l’ensemble, je dois avouer que ce n’est clairement pas mon titre préféré. Les nouvelles sont intéressantes et souvent originales, avec des plans machiavéliques bien troussés. Mais parfois on passe un peu vite sur les détails ou développements (format nouvelle oblige) et au bout de trois-quatre répétitions, le syndrome de la faible femme en détresse a commencé à me taper sur les nerfs (je sais que c’est l’époque, tout ça, mais au bout d’un moment : trop, c’est trop). Quoi qu’il en soit, j’ai retrouvé ce que j’apprécie dans les aventures du personnage : le verbe haut, une confiance excessive en soi, des batailles psychologiques acharnées, des raisonnements tortueux mais brillants et des récits bien tournés.