Lisez! icon: Search engine
Arsène Lupin. L'île aux trente cercueils
Date de parution : 04/02/2021
Éditeurs :
Archipoche

Arsène Lupin. L'île aux trente cercueils

Date de parution : 04/02/2021
Alors que Netflix diffuse une série inspirée des aventures d’Arsène Lupin, avec Omar Sy pour interpréter le personnage créé par Maurice Leblanc, Archipoche publie, dans une élégante édition collector, les meilleures aventures du gentleman cambrioleur. Opération « 2 achetés = Les Milliards d’Arsène Lupin offert ».
Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis son apparition en 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et... Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis son apparition en 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et bagarreur, scélérat et charmeur, ce gentleman a sévi dans plus d’une vingtaine d’œuvres, nées de l’imagination de Maurice Leblanc (1864-1941).

L’Île...
Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis son apparition en 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et bagarreur, scélérat et charmeur, ce gentleman a sévi dans plus d’une vingtaine d’œuvres, nées de l’imagination de Maurice Leblanc (1864-1941).

L’Île aux trente cercueils (1919) mêle intrigue policière, fantastique et horreur. Venue retrouver son fils après quatorze ans d’absence, Véronique d’Hergemont prend la mer jusqu’à l’île bretonne de Sarek, défendue par trente récifs redoutés des marins. La jeune femme va apprendre à ses dépens que la malédiction attachée à cette terre n’est pas une légende. Quant à Lupin, il lui faudra arracher Véronique aux griffes de l’infâme comte Vorski. Mais saura-t-il empêcher que sa raison ne vacille ?
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782377359530
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 10,8 x 17,7 mm
EAN : 9782377359530
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 10,8 x 17,7 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bfauriaux 07/04/2024
    La serie des Arsene Lupin est une des séries policiere les plus connu au monde.Les livres n'ont pas vieilli et restent modernes et agreables a lire encore aujourd'hui.Action,humour et style rythmé et classique font le succes de ces aventures.Encore ici l'auteur fait mouche et cette lecture se revele passionnante.
  • Petitpoiscarotte 16/02/2024
    Véronique d'Hergemont decide d'aller dans un couvent suite à un drame familial. Tout ne se passe pas comme prévu. Au premier abord, cela n'a pas l'air d'une aventure d'Arsène Lupin puisque qu'il n'apparait pas dès le début, mais sur le tard du l'histoire (d'après mes souvenirs, au trois quarts du roman), cependant, il est bien présent et contrairement au autre œuvres d'Arsène Lupin que j'ai lu, se comporte comme un héros au lieu de jouer les robins des bois.
  • vilvirt 10/12/2023
    Une héroïne en prise avec le mal qui étouffe une île bretonne dépeuplée... Des évènements dramatiques... Des disparitions mystérieuses... Des fous... Des trésors et des prophéties macabres qui font froid dans le dos... Voilà le pitch de L'île aux trente cercueils, une histoire publiée au début du siècle dernier par Maurice Leblanc et qui s'éloigne des univers policiers habituels de l'auteur. Si la première partie respecte toutes ses promesses et fait planer une atmosphère lourde et angoissante aux accents gothiques sur le récit de Virginie – décor à la fois sauvage et inquiétant, falaises menaçantes, menhirs, champs de fleurs étranges, passages secrets et scènes sanglantes qui flirtent avec l'étrange – la suite est malheureusement une légère déception. L'arrivée en fanfare d'un personnage bien connu de l'auteur vient malmener le récit et y apporter une touche de grotesque lors de la résolution de l'enquête. Ce qui, à mon sens, gâche un peu la recette et transforme le tout en farce indigeste. Cependant, même si l'ensemble a mal vieilli et que les dialogues surannés peuvent rebuter, il est difficile de ne pas s'incliner devant l'imagination débridée de l'auteur (à défaut de maîtrise policière) – capable de construire des intrigues passionnantes très tordues, de vous immerger dans un univers gothique et violent, et de maintenir le suspense d'un bout à l'autre sans faillir. Le fil du récit se déroule avec fluidité, l'écriture est belle (évidemment) et les personnages secondaires ne sont jamais en reste. Quant à Virginie, c'est agréable d'avoir affaire à une femme courageuse qui n'attend pas le secours des hommes pour survivre et affronter ses ennemis. Chaque élément du décor est soigné, rien n'est oublié. C'est jouissif de suivre jusqu'au bout de l'enfer la malheureuse Virginie au destin maudit qui va enfin lever le voile sur les drames de son passé.Une héroïne en prise avec le mal qui étouffe une île bretonne dépeuplée... Des évènements dramatiques... Des disparitions mystérieuses... Des fous... Des trésors et des prophéties macabres qui font froid dans le dos... Voilà le pitch de L'île aux trente cercueils, une histoire publiée au début du siècle dernier par Maurice Leblanc et qui s'éloigne des univers policiers habituels de l'auteur. Si la première partie respecte toutes ses promesses et fait planer une atmosphère lourde et angoissante aux accents gothiques sur le récit de Virginie – décor à la fois sauvage et inquiétant, falaises menaçantes, menhirs, champs de fleurs étranges, passages secrets et scènes sanglantes qui flirtent avec l'étrange – la suite est malheureusement une légère déception. L'arrivée en fanfare d'un personnage bien connu de l'auteur vient malmener le récit et y apporter une touche de grotesque lors de la résolution de l'enquête. Ce qui, à mon sens, gâche un peu la recette et transforme le tout en farce indigeste. Cependant, même si l'ensemble a mal vieilli et que les dialogues surannés peuvent rebuter, il est difficile de ne pas s'incliner devant l'imagination débridée de l'auteur (à défaut de maîtrise policière) – capable de construire des intrigues passionnantes très tordues, de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • BenedicteBiblio 27/11/2023
    Sarek, une île bretonne à la réputation sinistre, réunit déjà quelques âmes égarées lorsque Véronique d’Hergemont pose le pied sur cette terre hostile. A la recherche de son fils, enlevé quatorze ans plus tôt pour échapper aux griffes du violent et instable Vorski, notre héroïne se heurtera à une terrible prophétie. Trente cercueils. Quatre femmes en croix. La Pierre-Dieu qui donne mort ou vie. Les habitants de l’île croient dur comme fer à ce qui sonne comme une malédiction. Ils n’attendent qu’un geste, un signe, avant que la mécanique infernale se mette en branle. L’île aux trente cercueils signe mes retrouvailles avec Maurice Leblanc et son héros emblématique : Arsène Lupin. Monocle, haut-de-forme et revolver en poche, celui-ci se montre volontiers gouailleur et séducteur pour parvenir à ses fins. Si je le trouve peu sympathique, je reviens toujours à lui tant j’apprécie son art de brouiller les pistes et son talent du déguisement. Charismatique en diable, c’est aussi un personnage de la littérature original et inoubliable. Lupin n’apparaît ici que fort peu. L’accent est mis sur Véronique d’Hergemont, une jeune femme de la bonne société. Marquée au fer rouge par son passé, Véronique doit toute sa force à l’amour qu’elle porte à son enfant. Et si François était toujours en vie… Rien ne lui semble aujourd’hui impossible. Ses recherches vont la mener à Sarek, alors même que cette abominable phrase, révélée sous forme de prophétie à Alexis Vorski (son époux disparu) résonne impitoyablement à ses oreilles : “Vorski, fils de roi, tu mourras de la main d’un ami et ton épouse sera mise en croix.” L’île aux trente cercueils (1919) est un roman étrange et glaçant. Violence, folie, combats à mort ou encore crucifixions, rien n’est épargné à nos personnages et l’on sentirait presque que ce roman a été rédigé peu après la fin de la Grande Guerre. Les derniers mots du récit prennent alors un autre sens avec cet espoir de reconstruction et de résilience après la tempête. J’ai été surprise de découvrir dans ce roman des scènes ô combien violentes. J’ai accroché à l’atmosphère mystérieuse et surnaturelle du récit, avant que le soufflé finisse quelque peu par retomber (la faute à un enchaînement de péripéties parfois peu crédibles ; à un dénouement final tiré par les cheveux). Le personnage d’Arsène Lupin reste pour autant toujours aussi intéressant. Après avoir montré quelques failles dans L’aiguille creuse, le voici qui cabotine et apparaît sous un déguisement qui prête à sourire. Toujours là où on ne l’attend pas ce Lupin ! Sans compter qu’il développe ici une nouvelle arme pour traquer le mal : inverser la vapeur en faisant tourner en bourrique, mais aussi en ridicule, le monstre du récit ! Malgré un ressenti en demi-teinte, je reste donc toujours autant sous le charme de notre héros imaginé par Maurice Leblanc. Il se réinvente tout le temps, réussit le tour de force de toujours nous surprendre. Nul doute que ma curiosité est relancée pour ce qui est de découvrir ses autres aventures.Sarek, une île bretonne à la réputation sinistre, réunit déjà quelques âmes égarées lorsque Véronique d’Hergemont pose le pied sur cette terre hostile. A la recherche de son fils, enlevé quatorze ans plus tôt pour échapper aux griffes du violent et instable Vorski, notre héroïne se heurtera à une terrible prophétie. Trente cercueils. Quatre femmes en croix. La Pierre-Dieu qui donne mort ou vie. Les habitants de l’île croient dur comme fer à ce qui sonne comme une malédiction. Ils n’attendent qu’un geste, un signe, avant que la mécanique infernale se mette en branle. L’île aux trente cercueils signe mes retrouvailles avec Maurice Leblanc et son héros emblématique : Arsène Lupin. Monocle, haut-de-forme et revolver en poche, celui-ci se montre volontiers gouailleur et séducteur pour parvenir à ses fins. Si je le trouve peu sympathique, je reviens toujours à lui tant j’apprécie son art de brouiller les pistes et son talent du déguisement. Charismatique en diable, c’est aussi un personnage de la littérature original et inoubliable. Lupin n’apparaît ici que fort peu. L’accent est mis sur Véronique d’Hergemont, une jeune femme de la bonne société. Marquée au fer rouge par son passé, Véronique doit toute sa force à l’amour qu’elle porte à...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Shirubamun 10/09/2023
    [masquer]Venue retrouver son fils après quatorze ans d'absence, Véronique d'Hergemont prend la mer jusqu'à l'île bretonne de Sarek, défendue par trente récifs redoutés des marins. La jeune femme va apprendre à ses dépends que la malédiction attachée à cette terre n'est pas une légende. Quant à Lupin, il lui faudra arracher Véronique aux griffes de l'infâme comte Vorski. Mais saura-t-il empêcher que sa raison ne vacille ? Dur de dire ça tant je suis fan d'Arsène... mais cette aventure est probablement de celle que j'ai le moins apprécié... peut-être tout simplement parce que notre héros n'y apparaît que trop peu... Je ne conseillerais donc cette lecture qu'aux amateurs de notre héros, mais surtout pas en découverte de l'univers de Maurice Leblanc.[/masquer]
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés

Lisez maintenant, tout de suite !

  • Focus
    Archipoche

    Une édition collector d'Arsène Lupin préfacée par Michel Bussi

    Les éditions Archipoche rééditent, sous jaquette stylisée, six volumes rassemblant les plus célèbres aventures d’Arsène Lupin, dont L’Aiguille creuse et L’île aux trente cercueils. Dans sa préface, Michel Bussi explique comment Arsène Lupin fut à l’origine de sa vocation.

    Lire l'article