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Béru et ces dames
Date de parution : 24/02/2022
Éditeurs :
Pocket

Béru et ces dames

Date de parution : 24/02/2022
EAN : 9782266327862
Code sériel : 00003
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 496
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266327862
Code sériel : 00003
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 496
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • galyalain 23/04/2023
    * Beaucoup de passages à tabac orchestrés par Béru. Evidemment, c’est amusant car ce sont des méchants qui trinquent… * De bons mots, comme s’il en pleuvait * Je pense faire une pause dans les San Antonio ; peut-être que je ressens comme une lassitude. Et puis, j'ai envie de lire d'autres opus, que j'ai mis de côté...
  • TmbM 17/03/2023
    Ce hors-série, plus long et plus consistant que les épisodes classiques, permet à "l'anarchiste gentil de la littératouille policouille" de développer sa pensée en profondeur. Il glisse de nombreuses remarques assez justes sur la société, son fonctionnement, et prend le temps de s'interroger sur les vices et les dérives de ses contemporains, ainsi que, évidemment, sur le plus vieux métier du monde. À ce sujet, il frappe quelques statistiques au coin du bon sens puis d'autres considérations à ceux du pessimisme et de la lucidité, le tout avec un humour ravageur. Un régal ! Touchez mon blog, Monseigneur...
  • alberthenri 23/04/2020
    Tout commence à St Locdu-Le-Vieux, village natal de Bérurier où sont célébrées les obsèques de son oncle Prosper. Bérurier, accompagné de San-Antonio, et flanqué d'une cousine avare se rendent chez le notaire qu'il leur apprend que Béru et sa cousine héritent des biens de l'oncle dont un "immeuble de rapport". Or, ledit immeuble est en fait une maison close… Très bonne cuvée (1967) que ce "Béru et ces dames". Frédéric Dard est très en verve, ne manquant aucune situation cocasse, ni aucun bon mot, sans tomber dans l'outrance scabreuse qui sera plus tard souvent présente dans ses romans .Il faut dire que nous sommes dans cette période faste des années 60/70, que nombre d'amateurs, dont je fais partie, pensent qu'elle est la meilleure de la production de Dard pour ce qu'il est des San-Antonio. L'édition de 67, constituée d'un volume hors-série relié, est abondamment illustrée par Rogersam, alias Roger Samard, dessinateur humoristique en vogue à l'époque, et accessoirement beau-frère de Dard. Ce roman, a fait l'objet en 1968, d'une adaptation cinématographique sympathique mais pâlichonne comparée au roman, avec Gérard Barray dans le rôle de San-Antonio, et Jean Richard dans celui de Béru. Un roman détente très recommandable, qui peut être une bonne entrée en matière à qui voudrait découvrir les personnages emblématiques créés par Frédéric Dard.Tout commence à St Locdu-Le-Vieux, village natal de Bérurier où sont célébrées les obsèques de son oncle Prosper. Bérurier, accompagné de San-Antonio, et flanqué d'une cousine avare se rendent chez le notaire qu'il leur apprend que Béru et sa cousine héritent des biens de l'oncle dont un "immeuble de rapport". Or, ledit immeuble est en fait une maison close… Très bonne cuvée (1967) que ce "Béru et ces dames". Frédéric Dard est très en verve, ne manquant aucune situation cocasse, ni aucun bon mot, sans tomber dans l'outrance scabreuse qui sera plus tard souvent présente dans ses romans .Il faut dire que nous sommes dans cette période faste des années 60/70, que nombre d'amateurs, dont je fais partie, pensent qu'elle est la meilleure de la production de Dard pour ce qu'il est des San-Antonio. L'édition de 67, constituée d'un volume hors-série relié, est abondamment illustrée par Rogersam, alias Roger Samard, dessinateur humoristique en vogue à l'époque, et accessoirement beau-frère de Dard. Ce roman, a fait l'objet en 1968, d'une adaptation cinématographique sympathique mais pâlichonne comparée au roman, avec Gérard Barray dans le rôle de San-Antonio, et Jean Richard dans celui de Béru. Un roman détente très recommandable, qui peut être une bonne entrée en matière à...
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  • Wyoming 14/01/2019
    Un San-Antonio hors-série, paru en 1967, présente Bérurier en tenancier d'un claque; on peut donc imaginer les moments intimes et publics qui vont agrémenter l'histoire dont la loufoquerie est à son comble. Pour les inconditionnels de la bande à Dard.
  • lecassin 12/01/2019
    On est en 1967. La période dont au sujet de laquelle je vous ai déjà dit que c’est une période commak dans la série des San-Antonio… « Béru et ses Dames », il serait bien possible que ce soit ma première lecture liée au célèbre commissaire. Un Hors-série qui vaut le déplacement ! Certes, il s’agit du troisième, après « L’Histoire de France… », en 1964 un peu différent dans la démarche, et « Le standinge selon Bérurier », en 1965, pas si mal, mais sans Pinaud… L’oncle Prosper glorieux habitant de Saint Locdu le Vieux, la commune natale de Béru, est mort ; Prosper (Yop la boum !) l’oncle de Béru… Inhumation… Ouverture de testament : « C‘est toujours émouvant, l’ouverture d’un testament, même comme, lorsque c’est mon cas, on n’est pas concerné. Ca radine de l’au-delà, ce genre de message. D’accord, quand le testateur a testé, il était vivant, mais sa mort fait que le papier aussi est mort. Une surprenante métamorphose réussit à transformer les dernières volontés d’un vivant en premières volontés d’un défunt. » Pas concerné, San-Antonio ! Tu parles ! D’autant que la pièce principale dont Béru va hériter n’est rien moins qu’une maison close. Oui, non seulement, elle est fermée, mais c’est un claque, un bordel, quoi… Et puis autour de la maison, ça tombe comme des mouches… Et puis, on a enlevé Berthe ! Si , la fameuse BB, Berthy, la gravosse à Béru… Avec « Bérurier au sérail », paru en 1964, il me semble qu’on a là mes deux préférés, avec une mention particulière pour « Béru et ses Dames » dans la mesure où, hors-série grand format cartonné, Frédéric Dard bénéficie d’un plus grand espace pour développer son intrigue et sa recette, maintenant bien posée : des calembours à chaque page, des pin-up, une intrigue farfelue à souhait, des notes en bas de page, des digressions fantaisistes accompagnées d’énumérations non moins fantaisistes ; Béru, Pinaud, San-Antonio… Béru qui s’affirme #8722; mais on le voyait venir – comme l’attraction principale de la série : une espèce de faire valoir grotesque par opposition au si élégant commissaire… Oh, naturellement, il s’agit de littérature dite « de gare », mais comme dirait cécoinse Béru : je m’en bats les… enfin, vous me comprenez… Oui, un San-Antonio, c’est con… Mais moi, ça me fait marrer... On est en 1967. La période dont au sujet de laquelle je vous ai déjà dit que c’est une période commak dans la série des San-Antonio… « Béru et ses Dames », il serait bien possible que ce soit ma première lecture liée au célèbre commissaire. Un Hors-série qui vaut le déplacement ! Certes, il s’agit du troisième, après « L’Histoire de France… », en 1964 un peu différent dans la démarche, et « Le standinge selon Bérurier », en 1965, pas si mal, mais sans Pinaud… L’oncle Prosper glorieux habitant de Saint Locdu le Vieux, la commune natale de Béru, est mort ; Prosper (Yop la boum !) l’oncle de Béru… Inhumation… Ouverture de testament : « C‘est toujours émouvant, l’ouverture d’un testament, même comme, lorsque c’est mon cas, on n’est pas concerné. Ca radine de l’au-delà, ce genre de message. D’accord, quand le testateur a testé, il était vivant, mais sa mort fait que le papier aussi est mort. Une surprenante métamorphose réussit à transformer les dernières volontés d’un vivant en premières volontés d’un défunt. » Pas concerné, San-Antonio ! Tu parles ! D’autant que la pièce principale dont Béru va hériter n’est rien moins qu’une maison close. Oui, non...
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