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Cet ouvrage n’est pas un témoignage de plus sur la Première Guerre mondiale. À l’heure où le dernier Poilu a disparu, voici une chronique de la guerre unique en son...
Cet ouvrage n’est pas un témoignage de plus sur la Première Guerre mondiale. À l’heure où le dernier Poilu a disparu, voici une chronique de la guerre unique en son genre, vue des bureaux de l’arrière, où l’on s’occupe du matériel et de la logistique. Ce livre est un reportage...
Cet ouvrage n’est pas un témoignage de plus sur la Première Guerre mondiale. À l’heure où le dernier Poilu a disparu, voici une chronique de la guerre unique en son genre, vue des bureaux de l’arrière, où l’on s’occupe du matériel et de la logistique. Ce livre est un reportage quasi quotidien observant les faiblesses de l’organisation, les inepties de la bureaucratie, le brassage social, les inimitiés et la camaraderie, la couardise et le courage.
Écrites au fil de la plume, sans presque aucune rature, par un de ces fils de la IIIe République dont l’école permit à un jeune paysan franc-comtois de devenir un intellectuel profondément patriote, ces pages frappent aussi par la qualité de l’écriture et la finesse de l’analyse.
Édouard Cœurdevey était adjudant-chef durant la Première Guerre mondiale. Instituteur en Franche Comté avant guerre, il sera après-guerre instituteur en Alsace.
« Ce n’est pas un témoignage de plus sur le conflit, mais la guerre vue de l’arrière, ce qui donne à l’auteur un recul suffisant pour observer le système. » Terre Magazine
Jean Malaurie
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