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Ceux que je suis
Date de parution : 20/08/2020
Éditeurs :
Pocket

Ceux que je suis

Date de parution : 20/08/2020
Cette nuit, Papa est mort. Des années, il a trimé. Sans vacances. Sans dimanches. Il n’avait pas soixante ans.
Mais pourquoi donc Tarek, garagiste à Clichy depuis longtemps exilé en France,...
Cette nuit, Papa est mort. Des années, il a trimé. Sans vacances. Sans dimanches. Il n’avait pas soixante ans.
Mais pourquoi donc Tarek, garagiste à Clichy depuis longtemps exilé en France, tenait-il à être enterré là-bas... à Casablanca ? Un pays, des racines, dont il n’a jamais ou très peu parlé...
Cette nuit, Papa est mort. Des années, il a trimé. Sans vacances. Sans dimanches. Il n’avait pas soixante ans.
Mais pourquoi donc Tarek, garagiste à Clichy depuis longtemps exilé en France, tenait-il à être enterré là-bas... à Casablanca ? Un pays, des racines, dont il n’a jamais ou très peu parlé à ses fils. Prof d’histoire-géo, parfaitement intégré, Marwan ne comprend pas. C’est pourtant lui qu’on a choisi pour accompagner le cercueil au bled. Double-culture, non-dits et secrets de famille : c’est tout un pan de sa propre histoire que Marwan s’apprête à découvrir, sous les orangers…

« Un petit bonheur. » Bernard Lehut – RTL

« Un formidable premier roman. » Marianne Payot – L’Express
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EAN : 9782266300803
Code sériel : 17722
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266300803
Code sériel : 17722
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un très beau livre sur les origines et l’identité, d’une étonnante justesse de ton. » Jérôme Garcin, le Masque et la Plume, France Inter
« Ceux que je suis est un vrai roman, et derrière l’intrigue admirablement ficelée du roman familial, il traite du sujet très sensible de l’identité, mais avec les armes de la littérature. » Augustin Trapenard, 21 cm, Canal Plus
« Une touchante histoire de résilience, de famille et d’amitié à l’ombre des orangers. » Libération
« C’est la sincérité du narrateur, qui dit ce qu’il ressent sans égard pour ce qu’il est bon ton de penser, qui fait la force de ce roman. Pour se réconcilier avec son histoire, il faut la connaître. » Astrid de Larminat, Le Figaro
« Les membres de différents jurys ne se sont pas trompés en sélectionnant ce formidable premier roman. » Marianne Payot, L’Express
« Un petit bonheur de libraire. » Bernard Lehut, RTL
« On est troublé par la faculté d’Olivier Dorchamps à se glisser dans la peau de Marwan, cet "Arabe de France", et à exprimer si bien, si simplement, son désarroi. » Jérôme Garcin, L’Obs
« Une quête sur les deux rives [de la Méditerranée], retracée d’une écriture concrète et juste. » Valérie Marin la Meslée, Le Point
« Un premier roman incroyablement émouvant, d’une écriture belle et pudique sur le deuil, la honte, l’amour. Et qui atteste une fois encore, si besoin en était, de la richesse d’avoir plusieurs cultures. » Isabelle Potel, Madame Figaro
« Olivier Dorchamps nous entraine au Maroc dans un voyage initiatique sur fond de double culture. Un premier roman plus vrai que nature… » Isabelle Chenu, RFI
« La langue élégante et très vivante d’Oliver Dorchamps raconte avec tendresse et humour comment le deuil peut devenir un révélateur de soi. » Isabelle de Montvert-Chaussy, Sud Ouest
« D’une subtile simplicité. » Nathalie Six, Avantages
« Olivier Dorchamps creuse la question de l’identité multiple, voire contrariée. Les dialogues sont naturels, le ton calme, sans acrimonie, ce qui n’empêche pas la lucidité. » Sean J. Rose, Livres-Hebdo
« D’une écriture sobre, authentique, qui martèle les mots quand il le faut, Olivier Dorchamps dresse un portrait savoureux et humain du Maroc, du bon sens et de la générosité qui le gouvernent. » Laurence Bertels, La Libre Belgique
« C’est bien la lumière qui éclate entre les lignes de ce très beau récit de transmission et de retour aux sources. Le lecteur en ressort le cœur gros, la larme à l’œil, tant sont positives les valeurs et les émotions délivrées. » Amandine Glévarec, Le Courrier
« Un voyage qui va épousseter les secrets et révéler une histoire familiale plus complexe que la version officielle. Un souvenir de lecture inoubliable. » Christine Pinchart, RTBF
« C’est à un voyage dans l’intimité d’une famille franco-marocaine qu’Olivier Dorchamps nous convie, dans une langue simple, avec pudeur, avec des touches d’humour pour rendre plus léger un propos qui ne l’est pas. » Le Télégramme
« Un très beau roman sur le deuil, l’identité, la honte. » Ariane Valadié, Voici
« Un roman tout en rondeur délicate. » Le Quotidien de Luxembourg
« J’ai trouvé ce roman magistral, toujours très juste et remarquablement bien écrit. » Laurence Hilaire, RCF
XXX
« Une écriture d’une rondeur délicate qui aborde les thèmes difficiles de l’exil, des liens du sang et de ceux du cœur. » Maison de la presse, Mérignac.
« Une belle lecture qu’on ne lâche pas. » Librairie Ruc, Colmar.
« De Clichy à Casablanca, le cheminement d’un deuil, d’une filiation, d’une histoire tue. Un récit tout en pudeur, souvent drôle, toujours juste. » La Chouette librairie, Lille.
« Avec Ceux que je suis, Olivier Dorchamps nous raconte une quête. On découvre avec Marwan l’histoire de ses parents, de sa famille, de ses origines. Au fil des pages se dénouent les secrets de famille, les exils. Tout cet héritage qui nous façonne. Un premier roman d’une grande sensibilité. » Librairie Deux Degrés Est, Sannois.
« Ce roman aborde avec beaucoup de justesse et de délicatesse la complexité des liens familiaux et le rapport ambigu aux origines. » Librairie Les 3 souhaits, Morteau.
« Ce premier roman m’a cueillie avec une grande délicatesse. L’auteur nous entraine avec douceur, humour et philosophie dans la question de l’identité et du poids des secrets. » Librairie La Pléiade, Cagnes sur Mer.
« La langue extrêmement fluide séduit dès les premières phrases. » Librairie Lajarrige, La Baule.
« C’est une jolie émotion de lecture, un livre poignant et sans pathos, une belle réussite ! » Le Pavé du canal, Montigny-le-Bretonneux.
« Lire le roman d’un franco britannique qui raconte l’histoire d’un franco marocain qui vient de perdre son père, c’est accepter de boire du thé à la menthe plutôt que du Earl Grey à l’ombre des orangers. » Librairie Rue de Verneuil, Annecy.
« Sensible et poignant; une écriture délicate, toujours juste, fluide et teintée d’humour… ce récit sur l’identité, les origines et l’exil séduit et ravit par sa justesse et sa douceur. Un formidable premier roman. » Librairie Port Maria, Quiberon.
« Olivier Dorchamps a ce talent de raconteur d’histoires, celles qui nous émeuvent et nous font rire, celles qui nous touchent au cœur et nous obligent à écraser la larme au coin de l’oeil. Il touche à l’essentiel de ce qu’est l’exil, avec tout ce qui s’y attache, la peur, les non-dits, les secrets enfouis avec une écriture subtile dans laquelle on aurait laissé infuser quelques gouttes d’eau de fleur d’oranger. » Librairie St Christophe, Lesneven.
« Magnifique roman, émouvant et délicat. » Librairie du Courreau, Marennes.
Paroles de Libraires

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Danilan 29/03/2023
    Premier roman d’Olivier Dorchamps, français exilé à Londres, ce roman nous parle de l’exil, de la difficulté à s’intégrer pour ces familles venues en France; puis du ressenti de la génération suivante qui se sent plus française que marocaine et qui ne se reconnait pas au Maroc et se sent mal acceptée en France. Autre thème, plus intime, celui de la filiation, de la place de la femme, de l’importance de la famille. L’écriture de l’auteur est toute en pudeur, délicatesse. Il a su nous traduire toutes les émotions des différents personnages. La révélation de secrets de famille est toujours bouleversante quel que soit le pays. Un récit sensible, émouvant qui m’a bouleversée et au titre magnifique.
  • SarahTwente 23/02/2023
    Voilà vraiment un livre superbe. Ce questionnement sur l'identité, ces témoignages sur la vie de ces immigrés arrivés en France, la vie de leurs enfants. Leurs espoirs, leurs rêves, les obstacles. Le repport de ces attentes sur les enfants. Les différences culturelles. Tout est ici magnifiquement dit.
  • FlowerN 20/02/2023
    Magnifique premier roman qui traite de quête d'identité, de deuil, d'exil et de secrets de famille. Ce fut une très bonne lecture pour moi, c'était doux, drôle, grave et tellement prenant!!! Et je crois bien que j'aime la plume de Oliver Dorchamps, donc à quand le nouveau roman?
  • liliterre 29/01/2023
    Ce livre retrace l'épreuve de Marwan qui vient de perdre son père et qui a été choisi pour ramener celui-ci au Maroc afin qu'il soit enterré. Outre la surprise (ses parents, pourtant encore jeunes, avaient tout prévu, notamment avec l'assurance, sans jamais en parler), l'incompréhension (son père n'a jamais été un fervent musulman, n'a jamais montré son attachement profond pour sa terre natale...), la colère (comment pourrait-il se recueillir sur la pierre de son père si celle-ci se trouve si loin?), s'ajoutent pléthore d'autres sentiments, très justement décrits. Si justement d'ailleurs que j'ai refermé le livre pour relire le nom de l'auteur: j'avais tellement l'impression que c'était le récit d'un vécu!!! Mon mari, d'origine tunisienne, est parti en mars dernier pour enterrer son père: voyage avec le cercueil, mise en terre selon la coutume, quarantième jour... Tout y est. Mais surtout, ce que j'ai aimé, c'est assimiler une des phrases de mon mari qui me disait ne pas se sentir à sa place, ne pas se sentir légitime... Je ne comprenais pas, alors qu'il est le fils, qui pouvait être plus légitime que lui!!! Ce qu'il avait certainement du mal à me faire percevoir, c'est la difficulté de devoir assurer... Ce livre retrace l'épreuve de Marwan qui vient de perdre son père et qui a été choisi pour ramener celui-ci au Maroc afin qu'il soit enterré. Outre la surprise (ses parents, pourtant encore jeunes, avaient tout prévu, notamment avec l'assurance, sans jamais en parler), l'incompréhension (son père n'a jamais été un fervent musulman, n'a jamais montré son attachement profond pour sa terre natale...), la colère (comment pourrait-il se recueillir sur la pierre de son père si celle-ci se trouve si loin?), s'ajoutent pléthore d'autres sentiments, très justement décrits. Si justement d'ailleurs que j'ai refermé le livre pour relire le nom de l'auteur: j'avais tellement l'impression que c'était le récit d'un vécu!!! Mon mari, d'origine tunisienne, est parti en mars dernier pour enterrer son père: voyage avec le cercueil, mise en terre selon la coutume, quarantième jour... Tout y est. Mais surtout, ce que j'ai aimé, c'est assimiler une des phrases de mon mari qui me disait ne pas se sentir à sa place, ne pas se sentir légitime... Je ne comprenais pas, alors qu'il est le fils, qui pouvait être plus légitime que lui!!! Ce qu'il avait certainement du mal à me faire percevoir, c'est la difficulté de devoir assurer des rites qui ne font pas partie de lui ayant grandi en France, c'est la complexité de devoir parler la langue avec ce fameux accent qui est méprisé par les autochtones... J'ai aimé également ce que ce roman peut apprendre: il n'y a pas un Maroc mais des Maroc. Chacun en retient ce qu'il veut, ce qu'il aime. Et cela rejoint le titre, "Ceux que je suis": nous ne sommes pas un, nous sommes la somme de nos ancêtres, de nos rencontres, de nos erreurs en même temps que celles d'autres personnes ayant croisé notre chemin ou celui de nos parents.
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  • Didilit 24/12/2022
    Ali, Marwann et Foued, fils d'immigrés marocains sont tous brillants et promis à un futur confortable. Leurs parents ont tout sacrifié pour cela, les ont poussé, ont tout fait pour que leurs enfants soient intégrés à la culture française. Aussi, lorsque le père garagiste décède prématurément et que les enfants découvrent que les dernières volontés du défunt consistent à une inhumation à Casablanca selon les rites funéraires musulmans, c'est l'incompréhension. C'est Marwann qui accompagnera le corps lors du rapatriement tandis que le reste de la famille rejoindra le Maroc par d'autres moyens. Un voyage identitaire, un rendez-vous surprenant avec l'histoire de la famille et la tradition marocaine. Le regard des frères et surtout de Marwann sur leur patrimoine culturel, leur identité, la vie de leurs parents et sur les rites qu'ils doivent respecter sans les connaître est vraiment intéressant.
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