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La Belgariade - tome 4 : La Tour des maléfices
Dominique Haas (traduit par)
Date de parution : 09/03/2007
Éditeurs :
Pocket

La Belgariade - tome 4 : La Tour des maléfices

Dominique Haas (traduit par)
Date de parution : 09/03/2007

Garion monta sur le trône de basalte et plaça l'Orbe sur le pommeau de l'énorme épée. Il y eut un déclic ; la force vive de la pierre fusa dans...

Garion monta sur le trône de basalte et plaça l'Orbe sur le pommeau de l'énorme épée. Il y eut un déclic ; la force vive de la pierre fusa dans la garde. La lame se mit à luire et se détacha du mur. Il la rattrapa des deux mains. La...

Garion monta sur le trône de basalte et plaça l'Orbe sur le pommeau de l'énorme épée. Il y eut un déclic ; la force vive de la pierre fusa dans la garde. La lame se mit à luire et se détacha du mur. Il la rattrapa des deux mains. La foule dans la salle réprima un halètement.
Garion sidéré vit l'Orbe jeter une formidable langue de feu bleu. Sans trop savoir pourquoi, il souleva le glaive.
« Ô joie, le roi est revenu, la prophétie s'accomplit ! clama Belgarath. Inclinons-nous devant Belgarion, roi de Riva, suzerain du Ponant ! »
Et la prophétie suivit son cours.

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EAN : 9782266174404
Code sériel : 5424
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266174404
Code sériel : 5424
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Itsas 17/07/2023
    Un tome en deux souffles. jai replongé avec grand plaisir dans l'univers et la grande épopée de Garion, Polagara et leurs acolytes. On voit un premier cycle se clôre avec un temps suspendu oú il n'est plus question d'aventure à travers tout le Ponant. Ce temps à Riva marque un vrai tournant vers de la bataille finale mais surtout vers l'évolution de nombreux personnages. La plume est toujours palpitante, tinté d'humour à travers les personnages secondaires toujours aussi riches, attachants et indispensable au récit. Un rythme toujours juste où chaque action est justifié, chaque ligne trouve son écho dans la nécessité. Les derniers chapitres nous poussent avidemment vers le dernier Chant pour retrouver notre Héros et son grand moment. Toutefois quelques frustrations dans ce tome : - certains personnages secondaires sont trop négligés et disparaissent parfois pendant de nombreux chapitres. Ce qui est assez frustrant car l'auteur nous amène à nous attacher avec beaucoup d'affection à tout ce petit groupe - l'un des personnages principaux semble denuer de toute capacité de déduction sur certains grands sujets ou mystères qui le concernent. Personnage pourtant brillant et plutôt intelligent il en est également trop souvent le plus parfait des benêts complètement aveugle à ce qu'il a sous les yeux ou incapable d'additionner deux et deux pour obtenir quatre. (J'avais la même impression concernant Fitz dans l'assassin Royal #x1f92d) - l'un des jeunes personnages principaux va devoir nous surprendre er donc au centre de beaucoup de chapitres. . Manipulateur, imbu, capricieux, versatile, immature, égocentrique et parfaitement conscient du mal fait intentionnellement aux autres. Même si cela fait partie de son évolution je n'arrive pas à m'attacher. - l'écriture des personnages féminin... Malheureusement la plume vieillit mal, elle est parfois un peu trop tournée autour du mythe du mystère imprenable de l'âme et l'humeur féminine. C'est le tome que j'ai mis le plus de temps à lire, comme tout livre dont le but est de préparer les personnages à la Grande aventure qui arrive ensuite. Toutefois malgré tout il reste palpitant et de grande qualité, j'ai hâte de lire la suite ! Un tome en deux souffles. jai replongé avec grand plaisir dans l'univers et la grande épopée de Garion, Polagara et leurs acolytes. On voit un premier cycle se clôre avec un temps suspendu oú il n'est plus question d'aventure à travers tout le Ponant. Ce temps à Riva marque un vrai tournant vers de la bataille finale mais surtout vers l'évolution de nombreux personnages. La plume est toujours palpitante, tinté d'humour à travers les personnages secondaires toujours aussi riches, attachants et indispensable au récit. Un rythme toujours juste où chaque action est justifié, chaque ligne trouve son écho dans la nécessité. Les derniers chapitres nous poussent avidemment vers le dernier Chant pour retrouver notre Héros et son grand moment. Toutefois quelques frustrations dans ce tome : - certains personnages secondaires sont trop négligés et disparaissent parfois pendant de nombreux chapitres. Ce qui est assez frustrant car l'auteur nous amène à nous attacher avec beaucoup d'affection à tout ce petit groupe - l'un des personnages principaux semble denuer de toute capacité de déduction sur certains grands sujets ou mystères qui le concernent. Personnage pourtant brillant et plutôt intelligent il en est également trop souvent le plus parfait des benêts complètement aveugle à ce qu'il...
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  • Entournantlespages 23/03/2023
    Beaucoup moins mouvementé que les tomes précédents, La Tour des maléfices prend davantage le temps d’explorer la psychologie de son personnage central, Garion, qui découvre enfin son rôle contre le dieu Torak. Ce temps de “repos” à Riva permet de réunir tous les personnages rencontrés lors des trois premiers tomes dans une atmosphère joyeuse de paix et de renouveau. Ce temps pris par David Eddings pour faire évoluer ces deux personnages centraux de La Belgariade m’a particulièrement plu. Le fait que toute la bande soit réunie loin des champs de bataille m’a fait également un bien fou, avant de retourner au combat dans le dernier tome de la saga. Le dernier tiers du roman en compagnie de Garion, Belgarath et Silk est particulièrement intéressant entre ce nouveau périple incertain, la rencontre avec Vordaï, la sorcière des marais, et la conviction de Garion de sauver les différents royaumes dont il se sent maintenant responsable. En suivant le jeune homme dans son apprentissage de la vie et de ses pouvoirs, difficile de ne pas avoir en mémoire Fitz de L’Assassin royal même si Garion est bien plus discipliné. Je pense retourner très prochainement dans La Belgariade pour connaître l’avenir de notre héros et des différents royaumes sous sa protection.Beaucoup moins mouvementé que les tomes précédents, La Tour des maléfices prend davantage le temps d’explorer la psychologie de son personnage central, Garion, qui découvre enfin son rôle contre le dieu Torak. Ce temps de “repos” à Riva permet de réunir tous les personnages rencontrés lors des trois premiers tomes dans une atmosphère joyeuse de paix et de renouveau. Ce temps pris par David Eddings pour faire évoluer ces deux personnages centraux de La Belgariade m’a particulièrement plu. Le fait que toute la bande soit réunie loin des champs de bataille m’a fait également un bien fou, avant de retourner au combat dans le dernier tome de la saga. Le dernier tiers du roman en compagnie de Garion, Belgarath et Silk est particulièrement intéressant entre ce nouveau périple incertain, la rencontre avec Vordaï, la sorcière des marais, et la conviction de Garion de sauver les différents royaumes dont il se sent maintenant responsable. En suivant le jeune homme dans son apprentissage de la vie et de ses pouvoirs, difficile de ne pas avoir en mémoire Fitz de L’Assassin royal même si Garion est bien plus discipliné. Je pense retourner très prochainement dans La Belgariade pour connaître l’avenir de notre héros...
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  • Link85 04/06/2022
    Je viens de mettre à profit mes vacances pour dévorer le quatrième tome de la Belgariade (en troisième lecture, vingt ans après les premières !). L'histoire dans "La Tour des Maléfices" reprend exactement là où elle s'est arrêtée au tome précédent - en queue de poisson il faut bien le dire. Le voyage des héros se poursuit, et leur groupe s'étoffe encore un peu, mais l'intrigue est un peu moins (uniquement) itinérante que jusque-là, ce qui n'est pas un mal. En effet, cela donne l'occasion de développer un peu les personnages (Ce'Nedra et Garion, qui se comportent de plus en plus en adultes ; Belgarath, dont on découvre une certaine fragilité, tout comme Silk ). Un peu avant la moitié du tome arrive toute une série d'événements que l'on attend depuis bien longtemps et que l'on voit enfin se produire avec plaisir. Dommage que l'auteur n'ait pas su ménager un peu mieux son suspense, et que tout cela soit annoncé avec des indices tellement gros qu'il est impossible de les manquer...! La toute dernière partie est plutôt originale et bien amenée, avec - ce qui change là aussi - une toile de fond y est plutôt sombre (je ne peux pas en dire plus sans spoiler !). Ce qui me perturbe le plus, à ce niveau de l'intrigue, est le fait que les sorciers n'utilisent au final que très peu leurs pouvoirs... Et le fait qu'une idée vraiment structurante émane au final de Garion et non de Belgarath. Belgarath et Polgara sont mis depuis le début sur un piédestal pour leur rôle dans l'Histoire, mais on se demande parfois un peu pourquoi...! Au final, la lecture de ce tome est toute aussi plaisante que celle des tomes précédents, et comme sa structure change un peu, que l'intrigue générale avance beaucoup... C'est du tout bon ! Une seule question me reste : quelle est cette "Tour des Maléfices" qu'évoque le titre ?!Je viens de mettre à profit mes vacances pour dévorer le quatrième tome de la Belgariade (en troisième lecture, vingt ans après les premières !). L'histoire dans "La Tour des Maléfices" reprend exactement là où elle s'est arrêtée au tome précédent - en queue de poisson il faut bien le dire. Le voyage des héros se poursuit, et leur groupe s'étoffe encore un peu, mais l'intrigue est un peu moins (uniquement) itinérante que jusque-là, ce qui n'est pas un mal. En effet, cela donne l'occasion de développer un peu les personnages (Ce'Nedra et Garion, qui se comportent de plus en plus en adultes ; Belgarath, dont on découvre une certaine fragilité, tout comme Silk ). Un peu avant la moitié du tome arrive toute une série d'événements que l'on attend depuis bien longtemps et que l'on voit enfin se produire avec plaisir. Dommage que l'auteur n'ait pas su ménager un peu mieux son suspense, et que tout cela soit annoncé avec des indices tellement gros qu'il est impossible de les manquer...! La toute dernière partie est plutôt originale et bien amenée, avec - ce qui change là aussi - une toile de fond y est plutôt sombre (je ne peux pas en dire...
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  • Tinaju 01/05/2022
    C'est avec une certaine avidité que j'ai ouvert ce 4e tome des aventures de Garion. J'ai envie de progresser dans la quête de nos héros. Les aventures sont encore une fois multiples et rocambolesques. Dans ce tome, on a aussi plusieurs passages teintés de politique et de diplomatie. Un roi doit aussi savoir gouverner et cela s'apprend en écoutant les conseils de personnes avisées. Certains personnages passent au 2e plan et c'est un peu dommage. J'aurais aimé que le groupe reste entier comme lors de leur voyage. Mais on voit l'éclosion de Ce'Nedra qui s'impose en tant que reine. Elle a grandi et muri et commence à comprendre ce qu'on attend d'elle. Bref, un excellent tome qui amorce la conclusion qui va être apportée par le 5e (que j'ai hate de lire bien-sur).
  • Symphonie42 11/08/2021
    L’Algarie On avait déjà effleuré l’Algarie, mais cette fois, on va y rester un peu plus longtemps. Suite aux évènements du tome précédent, Belgarath, le pilier de l’équipe, n’est pas très en forme. Pour tout dire, sa survie et la persistance de ses pouvoirs sont incertaines. L’intérêt de ce passage, c’est surtout que, Polgara étant occupée, il faut un nouveau dirigeant pour nos compagnons, et Garion est désigné volontaire. Contrairement au lecteur qui aura deviné depuis longtemps la véritable identité de Garion, les personnages secondaires l’ignorent, mais se doutent bien qu’il n’est pas un simple garçon de ferme, et qu’il aura un rôle à jouer avant la fin de cette aventure. Du coup, c’est l’occasion d’avoir une idée si Garion se montrera à la hauteur ou se défilera (bon, il chouine toujours un peu, mais beaucoup moins. Lui aussi se doute depuis un moment qu’il y a anguille sous roche, même s’il ne sait pas trop quoi) On rencontrera aussi Adara, un personnage secondaire cousine de Garion, qui n’a… pas vraiment d’intérêt, et je trouve que c’est l’un des personnages féminins les moins réussis. Elle avait tout pour être une cavalière badass, mais elle ne se définit que par l’amour qu’elle porte à un autre personnage secondaire. Meh. Le couple Eddings nous avait habitués à mieux. Riva Ca y est ! C’est le moment qu’on attendait tous ! Garion entre enfin en possession de son héritage et découvre le rôle qu’on attend de lui. Même si ça n’a rien d’une surprise, je ne vous en dirai pas trop. Je trouve quand même que Garion le prend un peu trop bien, on aurait pu s’attendre à davantage de déni, même si son héritage de magicien a servi de d’exercice d’entraînement en la matière. Garion va du coup prendre une décision capitale qui va entraîner le cycle sur un chemin plus sérieux. La Drasnie Pas la partie la plus intéressante du cycle, mais bon, on n’avait pas encore fini notre tour des royaumes du Ponent, et puis pour se rendre au tome 5, il fallait bien passer par là. Par contre, j’aime décidemment beaucoup la reine Porenn de Drasnie. Le monde de la Belgariade est patriarcal, mais la Drasnie accorde (quasiment) autant de pouvoirs à leur roi qu’à leur reine, de sorte que Porenn se retrouve à la tête des services secrets. (Un exemple pour les autres reines, d’ailleurs, qui sont plus en retrait, mais qui voient aussi en elle un exemple à suivre). La Reine de Riva Première partie du cycle sans Garion en point de vue, puisqu’on suit Ce’Nedra. Je crois que c’est la partie du tome que j’aime le plus. J’aime beaucoup Ce’Nedra, déjà, je trouve qu’elle change des héroïnes habituelles : elle a un sale caractère, elle est pourrie gâtée, capricieuse etc… Mais elle n’a pas que des défauts. Pour les personnes qu’elle aime, elle est prête à tout mettre de côté et à déplacer des montagnes. Ou en l’occurrence, des armées. Ce’Nedra n’est pas censée prendre un rôle actif dans cette guerre contre Torak, en tout cas c’est ce que considèrent les autres monarques, et en particulier les hommes. Ben oui, hors de question qu’une gamine de 16 ans interfère dans ces trucs de bonhommes. Sauf que Ce’Nedra est aussi têtue, et elle n’a aucunement l’intention de servir de plante verte. Il faut une armée pour ces bonhommes ? Eh bien elle leur lèvera la plus grande armée qu’on ait jamais vu. Heureusement, à côté de pots de fleurs comme Adara ou Arianna, on a aussi des Porenn, des Ce’Nedra et des Polgara (bon, par contre faudra m’expliquer pourquoi elles cassent tout le mobilier chaque fois qu’elles sont en colère). Bilan Même s’il y a toujours pas mal d’humour, ce tome prend un tour davantage sérieux : l’heure est grave, l’ennemi s’est réveillé, plus question de folâtrer dans la campagne. L’équipe se divise, on a accès désormais au point de vue de Ce’Nedra, qui accède a un vrai rôle actif dans l’histoire et n’est plus un simple love interest. Quant à Garion, il a grandi et même s’il n’a pas du tout envie de devenir un héros en armure, il embrasse complètement sa destinée. Les ingrédients des tomes précédents sont toujours là, mais cette fois, Garion et Ce’Nedra ne peuvent plus se cacher derrière Belgarath et Polgara.L’Algarie On avait déjà effleuré l’Algarie, mais cette fois, on va y rester un peu plus longtemps. Suite aux évènements du tome précédent, Belgarath, le pilier de l’équipe, n’est pas très en forme. Pour tout dire, sa survie et la persistance de ses pouvoirs sont incertaines. L’intérêt de ce passage, c’est surtout que, Polgara étant occupée, il faut un nouveau dirigeant pour nos compagnons, et Garion est désigné volontaire. Contrairement au lecteur qui aura deviné depuis longtemps la véritable identité de Garion, les personnages secondaires l’ignorent, mais se doutent bien qu’il n’est pas un simple garçon de ferme, et qu’il aura un rôle à jouer avant la fin de cette aventure. Du coup, c’est l’occasion d’avoir une idée si Garion se montrera à la hauteur ou se défilera (bon, il chouine toujours un peu, mais beaucoup moins. Lui aussi se doute depuis un moment qu’il y a anguille sous roche, même s’il ne sait pas trop quoi) On rencontrera aussi Adara, un personnage secondaire cousine de Garion, qui n’a… pas vraiment d’intérêt, et je trouve que c’est l’un des personnages féminins les moins réussis. Elle avait tout pour être une cavalière badass, mais elle ne se définit que par l’amour qu’elle porte à...
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