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Dans ma rue y avait trois boutiques
Date de parution : 19/05/2022
Éditeurs :
Pocket

Dans ma rue y avait trois boutiques

Date de parution : 19/05/2022
Tout public. 
Dans l’une, la mercière gardait parfois l’auteur de ce livre, entre boutons et bobines.
Dans l’autre, cette vieille papeterie qui sentait la colle, il a mâchouillé ses premiers stylos.…
C’était les années...
Dans l’une, la mercière gardait parfois l’auteur de ce livre, entre boutons et bobines.
Dans l’autre, cette vieille papeterie qui sentait la colle, il a mâchouillé ses premiers stylos.…
C’était les années 70, à Quimper, avant que la grande distribution ne vienne balayer la vie des rues… C’était le temps béni des...
Dans l’une, la mercière gardait parfois l’auteur de ce livre, entre boutons et bobines.
Dans l’autre, cette vieille papeterie qui sentait la colle, il a mâchouillé ses premiers stylos.…
C’était les années 70, à Quimper, avant que la grande distribution ne vienne balayer la vie des rues… C’était le temps béni des bistrots, des cageots, des quat’saisons – viendra celui des boutiques de fringues et les agences bancaires… Comme on décharge, aux halles, les fruits et légumes, l’enfant devenu grand étale sa mémoire en vrac : tout à la fois autobiographie et ode aux petits commerces. Dernier inventaire avant fermeture complète.
 
« Un vade-mecum dont je conseille la lecture aux estivants en vadrouille. » Jérôme Garcin, L’Obs
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EAN : 9782266328371
Code sériel : 18794
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266328371
Code sériel : 18794
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Dans ma rue y avait trois boutiques n’est pas seulement un recueil de souvenirs, où l’on entend la clochette du rémouleur, le jabloir du tonnelier, les voix alcoolisées de Jacques Laurent et Bernard Frank, c’est aussi un vade-mecum, dont je conseille la lecture aux estivants en vadrouille. “Car tout est poésie dans cette France des boutiques”, écrit Anthony Palou, qui refuse d’être “un pousseur de Caddie” et pour qui les bazars de Touraine et du Vaucluse, les cavernes d’Ali Baba de la Drôme et de l’Allier n’ont aucun secret. » 
Jérôme Garcin, L’Obs

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • chloergs 29/12/2022
    C’est un livre qui fait l’effet d’un album photo d’antan que l’on retrouve et dans lequel on se plonge avec nostalgie. L’écriture est simple, agréable, et nous emmène facilement vers le charme d’une autre époque. Pourtant, je suis un peu déçue. J’ai apprécié la lecture, mais je n’en retire pas grand chose et je l’ai vite oublié. C’est un livre pour passer un bon moment.
  • CAZAUX 25/10/2022
    Issu d’une famille de maraîchers quimpérois, Anthony Palou a baigné durant son enfance dans l’ambiance chaleureuse et populeuse des marchés et des rues commerçantes de sa ville avant que les boutiques ne ferment progressivement au profit des grandes surfaces et des hypermarchés, plus compétitifs. Il y a comme un parfum de nostalgie dans son témoignage qui nous fait voyager de ville en ville, aux quatre coins de l’Hexagone, au temps où les commerces de quartiers étaient encore florissants. Profitant du confinement obligatoire pour cause de COVID, le romancier a choisi de prendre sa plus belle plume afin de nous faire partager ses souvenirs de jeunesse, ses regrets ainsi que ses ressentiments et sa tristesse face aux nouveaux modes de consommation moderne, superficiels et propices à la déshumanisation des individus. Rédigée dans un esprit parfois caustique, la deuxième partie de son récit entraîne le lecteur dans un « tour de France gourmand » des régions, exaltant les spécialités culinaires de chacune d’entre elles, un peu à la façon de Jean-Pierre Coffe. Une lecture qui fait saliver et aiguise l’appétit des lecteurs. A déguster sans modération…
  • brochardclip 10/06/2022
    l'Essai est transformé haut la main, c'est une Madeleine de Proust a dégusté sans modération, un ode aux petits commerces qui animaient nos centres villes, remplacés aujourd'hui par des boutiques de fringues. D'ailleurs, tous les centres villes se ressemblent maintenant que l'on se trouve à Limoges ou à Nancy. j'ai adoré ces petites anecdotes distillées tout au long du bouquin. Les paragraphes sont assez cours et évitent la monotonie du sujet. Un vrai régal.
  • misstoupin29 06/06/2022
    En ouvrant ce livre, je pensais lire autre chose. Dans les premières pages, il nous parle de son Quimper. C'est la plus grande ville du Sud Finistère. On va voyagé à Nantes, Paris et le reste de la France. Il est question des petites boutiques et surtout de commerce de bouche. J'ai trouvé touchant le témoignage du pharmacien. Les marchands de journaux qui disparaisse petit à petit sans que cela fasse coulé de l'ancre... Merci à l'auteur de rende hommage à ses oubliés qui donne la couleur de nos centres villes. Il y a une dénonce comment devient nos centres villes par qui ont été remplacé nos entrepreneurs indépendants par châines. J'ai apprécié le constat que personne dans hypermarché ou centre commercial ne regarde les plafonds. il y a de la poésie dans le livre et un très beau hommage au Finistère Sud Cet ouvrage une ode à défendre nos commerçants indépendants.
  • soazickcl 28/04/2022
    Un bon début, original et bien enlevé, entre plaisanterie et sérieux, deuxième ou troisième degré, une mise en bouche satisfaisante, laissant augurer quelques plats goutus par la suite. Ce fut le ca pendant environ la moitié du livre ! Sympa de retrouver les bruits de son enfance, les petites boutiques odorantes et pleines de sciure, les bls à oreilles de chez Henriot et les assiettes en faïence de chez Fouillen.. dans lesquelles nous prenons encore nos repas dans la maison familiale en Bretagne ! Le rémouleur et le marchand de fruits, la quincaillerie, les petits jobs d'été qu'on n'appelait pas job.. mais qui nous faisaient entrer dans le monde du travail assez tôt, bref j'ai passé de bons moments ; mais je ne sais pas pourquoi j'ai trouvé le livre un peu trop allongé, comme la soupe dans laquelle on rajoute de l'eau avant le vermicelle quand les trois louches restantes sont trop justes pour 5 personnes ! Un peu déçue donc mais le flash back a été le bienvenu tout de même !!
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